Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie1) par Europe1fr
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Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie1)
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Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie 2)
Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie 2) par Europe1fr -
Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie 3)
Le grand rendez-vous avec Julien Dray (Partie 3) par Europe1fr -
L'actualité des socialistes du 30 juin au 13 juillet (mise à jour)
A la une
France Info - Arnaud Montebourg, le révolutionnaire compétitif
Après Manuel Valls a décidé à sortir la France des blocages partisans, et accusé de trop en donner aux patrons, voici Arnaud Montebourg. Le ministre de l’Economie se pose en militant de la croissance. En militant de gauche, surtout.
Le Figaro - «Montebourg a été ambigu dans son rapport à la politique du gouvernement»
INTERVIEW - Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques et spécialiste du PS, le ministre de l'Économie a joué sur deux tableaux jeudi lors de son discours à Bercy, en oscillant entre solidarité et «critiques à fleurets mouchetés».
11, 12, 13 et 14 juillet
Le Nouvel Obs - Montebourg : petite leçon d'économie devant un public déjà conquis
Pour sa conférence sur le redressement économique français, Arnaud Montebourg a été accueilli par un public varié, et visiblement acquis à sa cause. Même Serge Dassault.
Paris Match - Les frondeurs du Parlement, L’exécutif dans les sables mouvants
«On est un peu comme les premiers chrétiens. Même si certains sont dévorés par les lions, on construira l’Eglise. » La métaphore osée est du député Pascal Cherki. Les jeux du cirque, l’hémicycle ? Entre envolées théâtrales et coups bas, les ressemblances sont frappantes ces derniers temps. Dans le rôle des gladiateurs rebelles, quelques dizaines de députés socialistes vent debout contre la ligne proentreprise et les baisses de charge massives promises par Manuel Valls.
Le Figaro - À Marseille comme à Paris, la gauche en crise cherche à rassembler les siens
La situation est grave pour la sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann. «On voit aujourd'hui des choses qui n'ont jamais existé jusque-là!». Une situation «complexe» pour la gauche après les cuisants échecs aux municipales et aux européennes, une «profonde crise démocratique», un Parlement «sans pouvoir» dans lequel s'affronte la majorité… Face à cela, son courant Gauche Avenir vante un travail sur le fond, pour rassembler la gauche.
Le Nouvel Obs - Montebourg : un plan pour "restituer 6 milliards aux Français"
Le ministre de l'Economie présente un plan pour le "redressement économique de la France". Un projet de loi est attendu pour septembre.
BFM TV - Karine Berger veut "proposer un point d'équilibre"
Karine Berger, député PS, était l'invité de BFM Business ce mercredi 9 juillet. Elle est notamment revenue sur la création de "Cohérence socialiste", une nouvelle sensibilité.
10 juillet
Le Nouvel Obs - "Les décisions sont prises a l'Elysée, sans discussion"
Quatre députés lancent "Cohérence socialiste", un collectif qui souhaite ouvrir le débat sur la politique économique au sein du PS.
Les députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay lancent une nouvelle sensibilité, "Cohérence socialiste", pour ouvrir le débat économique au sein du PS. Entretien.
Le Nouvel Obs - François Hollande ? "Plaisir de trahir, joie de décevoir"
Ex-soutien du président, l'écrivain Laurent Binet est stupéfait par la politique menée aujourd'hui. Il l'écrit pour la première fois dans "le Nouvel Observateur", en kiosque le 10 juillet. Extraits.
Les Echos - 69 milliards de prélèvements en plus entre 2011 et 2013
La rapporteure du Budget, Valérie Rabault, a chiffré les hausses de prélèvements depuis 2008, sur les ménages et les entreprises.
Le Monde - Une nouvelle carte des régions adoptée, avec le Limousin uni à l'Aquitaine
Les députés ont voté en commission, mercredi 9 juillet, une nouvelle carte des régions. Seul changement par rapport au projet initial du gouvernement, le Limousin sera désormais uni à l'Aquitaine.
Le Monde - Le budget de la Sécurité sociale adopté malgré l'abstention de 33 «frondeurs»
Les députés « frondeurs » n'ont pas réussi à ébranler le gouvernement de Manuel Valls. L'Assemblée nationale a adopté mardi 8 juillet le projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS) par 272 voix pour, 234 contre et 54 abstentions. Ce vote était un test pour l'exécutif, qui peinait à convaincre l'aile gauche du Parti socialiste sur ce programme qui prévoit 50 milliards d'euros d'économies.
9 juillet
Marianne - Et ils se virent 35 en arrivant au vote...
Ils partirent 41 mais sans un prompt renfort, ils se virent 35 en arrivant au vote du projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale... Ils, ce sont les frondeurs du PS. Mais ces mécontents du hollandisme et du vallsisme ne baissent pas les bras et évoquent déjà les prochaines batailles. Passage en revue des troupes restantes.
Marianne - La Rochelle : quand Aubry joue les filles de l'air
Alors que le programme de la prochaine université d’été du Parti socialiste est pratiquement bouclé, une personne manque encore à l’appel : Martine Aubry. David Assouline, sénateur de Paris et organisateur de cette édition qui se tiendra les 29, 30 et 31 août à la Rochelle, ne sait toujours pas si la maire de Lille fera le déplacement. Une absence qui brouille un peu plus les pistes sur la stratégie de l’ancienne ministre de l’Emploi.
Libre à Gauche - Europe : des efforts mais peut encore mieux faire ! Par Julien Dray
Le Sommet qui s’est tenu à Bruxelles ces 26 et 27 juin a été marqué à la fois par la désignation de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne et par quelques progrès marqués par les tenants d’une inflexion de la politique économique au niveau de l’UE. Juncker désigné, ce n’est pas une surprise. Le groupe auquel il se rattache – le Parti Populaire Européen (PPE) – est majoritaire au Parlement européen après les élections du 25 mai.
Libre à Gauche - Maintenant ! Par Julien Dray
Nos institutions sont désormais mises au défi. Alors que la Vème République était faite pour donner à un homme les clés du pouvoir régalien dans la période de décolonisation, il est désormais urgent de donner à notre République les moyens institutionnels d’affronter l’évolution du monde, en prenant en compte ses mutations.
Rue 89 - Frondeurs : qui sont les vrais, qui sont les dégonflés ?
Ce mardi, l’Assemblée nationale a voté le budget rectificatif de la Sécurité sociale (PLFRSS). Derrière des aspects techniques, ce texte a une importance centrale.
Pour ses conséquences économiques, d’abord : il met en musique le « pacte de responsabilité » voulu par le Premier ministre Manuel Valls. Pour sa résonance politique, ensuite : le vote des lois de finances détermine traditionnellement l’appartenance à la majorité.
Le Figaro - Le PS et ses courants préparent l'université d'été de La Rochelle
LE SCAN POLITIQUE - David Assouline a présenté lundi le programme du rendez-vous annuel du PS, qui aura lieu fin août. Les frondeurs et la Gauche forte préparent eux aussi leur rentrée politique.
8 juillet
Le Nouvel Obs - Conférence sociale : la CGT et FO boycottent, Hollande réplique
Le chef de l'Etat juge que le dialogue social ne peut "pas être une perpétuelle surenchère" et appelle le patronat à "aboutir à de vrais résultats".
Le Figaro - François Hollande et Manuel Valls entre deux feux
C'est un anniversaire amer pour Manuel Valls. Le premier ministre fête ce mardi ses cent premiers jours à Matignon. Cent jours au terme desquels il apparaît au moins aussi «entravé» que ne l'est à ses yeux la France. Cent jours qui s'achèvent sur une rupture historique entre l'exécutif, la CGT et FO, ces deux syndicats ayant décidé de boycotter la seconde journée de la conférence sociale qui a débuté lundi et qu'il clôturera ce mardi après-midi.
Libé - Sapin: «Notre amie c’est la finance: la bonne finance»
Le ministre des Finances, Michel Sapin, a déclaré dimanche que la finance était l'«amie» du gouvernement et de l’économie, précisant «la bonne finance», dans une intervention aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence. «Nous avons à répondre à une très belle question: "Y a-t-il une finance heureuse, au service d’investissements heureux ?" Je l’exprimerai autrement et vous verrez ma part de provocation. Notre amie c’est la finance: la bonne finance», a-t-il lancé, déclenchant des rires dans la salle.
7 juillet
Le Monde - Pour Valls, il est temps de réformer la France, la gauche et le PS
Manuel Valls a prononcé dimanche 6 juillet un plaidoyer pour la réforme et le mouvement et revendiqué un « réformisme assumé », afin de « remettre en marche » une France « bloquée », « coincée dans ses postures partisanes » et « tétanisée » par la peur de l'avenir.
A la veille d'une conférence sociale sous tension et cent jours après sa nomination à Matignon, le premier ministre s'adressait à des militants du Parti socialiste au pouvoir, rassemblés pour un banquet champêtre à Vauvert, dans le Gard
Les Echos - Valls veut « remettre en marche » une France « bloquée »
Le Premier ministre, à Vauvert, dans le Gard, a invité la gauche au pouvoir à se « réinventer », à « sortir des vieilles recettes du passé » et à le suivre dans la voie de son « réformisme assumé ».Le Lab - Les députés frondeurs auront leur propre salle aux universités d’été du PS
Ils seront évidemment là, les Laurent Baumel, Pouria Amirshahi, Pascal Cherki et les autres, ces frondeurs socialistes qui donnent des maux de tête à l’exécutif - et à Bruno Le Roux. Rendez-vous est donc pris pour les universités d’été du PS, fin août, à La Rochelle, pour s'expliquer.
6 juillet
La "fronde" de certains députés socialistes contre la politique économique du gouvernement est-elle dirigée en sous-main par Martine Aubry ? La question se pose étant donnée la forte présence d’élus estampillés "aubrystes" comme Jean-Marc Germain ou Christian Paul parmi les députés rebelles. Mais la maire de Lille, elle, se fait très discrète dans le débat.
Le Figaro - Valls va vanter son «réformisme» à la veille de ses 100 jours à Matignon
Le premier ministre sera dimanche à Vauvert, dans le Gard, où il avait prononcé il y a un an discours remarqué sur le «réformisme assumé». Au programme notamment : un déjeuner républicain en présence de militants socialistes.
Le Lab - Cambadélis renvoie Sarkozy aux conseils qu'il avait prodigué à DSK : "répondre aux juges et éparger les Français de ses commentaires"
LE POINT DSK - Invité à commenter sur RTL ce 3 juillet l'interview de Nicolas Sarkozy sur Europe 1 et TF1 la veille au soir et ses accusations "d'instrumentation politique de la justice", Jean-Christophe Cambadélis a renvoyé l'ancien Président à ses propres propos, tenus en avril 2012 en pleine affaire DSK.
Face aux frondeurs, l’exécutif a menacé d'avoir recours à ce que l’on appelle communément le "vote bloqué". En résumé, le gouvernement impose SA version du texte aux députés, sans aucun amendement que ceux validés – et donc souhaités – par le gouvernement. Vous n’avez plus qu’à signer, là, en bas à droite.
Le Figaro - Les "frondeurs" PS à La Rochelle fin août
Les députés socialistes "frondeurs" ont prévu de présenter leur démarche aux militants lors des journées d'été du PS à La Rochelle fin août, a-t-on appris aujourd'hui auprès de plusieurs d'entre eux.
5 juillet
Libé - Réforme territoriale : le Sénat rejette la carte du gouvernement
Les sénateurs n'approuvent pas la nouvelle carte des régions dessinée par le gouvernement et l'ont fait savoir en votant un amendement supprimant un article clef. Mais celui-ci sera réintroduit à l'Assemblée.
4 juillet
Les décodeurs, Le Monde - Le budget participatif, nouvelle tendance des villes du monde
« Je souhaite donner les clés du budget aux citoyens », a soutenu Anne Hidalgo, la maire socialiste de Paris, mercredi. Ce même jour, elle a lancé son opération de budget participatif, sur la place de la République. Mesure innovante pour la capitale, vecteur de démocratie directe, les arguments pleuvent pour justifier le démarrage d'une telle initiative à la mode.
Le Nouvel Obs - Défense de Sarkozy : "Une méthode de diversion éculée" pour Taubira
Dans un entretien, à paraître ce vendredi, à des quotidiens régionaux, la ministre de la Justice estime que l'ancien président a opté pour "une piètre ligne de défense".
Le Monde - Bartolone accuse Sarkozy de « malmener publiquement la justice »
Au lendemain de l'entretien donné à TF1 et Europe 1 par l'ancien chef de l'Etat où il a dénoncé « l'instrumentalisation politique d'une partie de la justice », Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, a accusé sur iTélé Nicolas Sarkozy de malmener la République.
Le Figaro - Arnaud Montebourg s'imagine en chef des frondeurs
LE SCAN POLITIQUE - Le 10 juillet, le ministre de l'Économie va prononcer un grand discours pour exposer sa ligne économique. L'occasion pour lui de se positionner pour 2017 comme chef incontesté de l'aile gauche du PS.
Europe 1 - Ce discours choc que prépare Montebourg
INFO E1 - Décidé à incarner la gauche de la gauche, le ministre veut marquer les esprits avec un grand "discours de politique générale" économique.
Le jeudi 10 juillet ne sera pas un jour comme les autres pour Arnaud Montebourg. Selon les informations d'Europe 1, le ministre de l’Economie a en effet décidé de marquer les esprits avec un grand "discours de politique générale". Un évènement soigneusement préparé qui doit lui permettre d’incarner l’aile gauche de la majorité socialiste, de plus en plus tentée par la rébellion.
3 juillet
Le Monde - Pénibilité : la CFDT dénonce « une rupture du dialogue social » de Valls
« Cette interview est une rupture en termes de dialogue social », a déclaré au Monde, mercredi 2 juillet, Laurent Berger. Le secrétaire général de la CFDT réagissait aux propos tenus par Manuel Valls dans Les Echos au sujet de la mise en oeuvre du compte pénibilité, prévu par la réforme des retraites, en 2015.
Libé - Manuel Valls, l'écho du patronat
Sur RMC-BFMTV comme dans «les Echos», le Premier ministre ouvre des brèches sur le terrain du social, au grand dam des syndicats.
Pourquoi se priver ? Depuis qu’il est monté en première ligne sur les conflits des cheminots et des intermittents il y a quinze jours, Manuel Valls veut du «mouvement». Alors ce mercredi, au lendemain d’un vote large de sa majorité sur le budget rectificatif, le Premier ministre, bien conscient des rapports de force actuels, fonce sur le terrain — miné — du social.
Le Monde - L'Assemblée a voté à une très large majorité l'allègement des cotisations salariales
L'Assemblée nationale a voté très largement, mardi 1er juillet, le premier article du projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale, prévoyant une exonération de cotisations salariales jusqu'à 1,3 smic. Ces exonérations, jusqu'à 1,5 smic pour les fonctionnaires, ont été adoptées par 182 voix contre 3 dans l'Hémicycle.
Libé - Réforme de l'Etat : ça va simplifier
Et maintenant… la réforme de l’Etat. La plus belle arlésienne de la vie politique française, pour l’instant grande oubliée du début de quinquennat de François Hollande, fait son entrée ce mercredi matin en conseil des ministres. Ce sera sans fioritures, juste une communication, a priori du Premier ministre, sur la feuille de route du gouvernement et plus particulièrement celle de Thierry Mandon, le nouveau secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification.
Les Echos - Gel des retraites : échec des «frondeurs» du PS
Les retraites supérieures à 1.200 euros par mois seront bien gelées. Les « frondeurs » du PS et l’opposition de droite ne sont pas parvenus à supprimer cette mesure d’économie à l’Assemblée.
Le Parisien - Les députés votent le gel des retraites au-delà de 1 200 euros
Ce mercredi, les députés ont voté le gel pour un an des pensions de retraite supérieures à 1 200 euros par mois qui auraient dû être revalorisées au 1er octobre. Dans les faits, cela revient à un gel de 18 mois puisque la date de revalorisation annuelle des retraites avait déjà été décalée cette année d'avril à octobre à l'occasion de la réforme des retraites.
Europe 1 - Montebourg lance son comité contre l'austérité
AUSTÉRITÉ VS RELANCE - Le ministre de l'Economie a inauguré mercredi le "conseil indépendant pour la croissance et le plein emploi".
Arnaud Montebourg est en persuadé : les politiques d'austérité sont moins efficaces qu'une relance de l'économie. Le ministre de l'Economie a donc constitué un groupe de choc chargé de plancher sur la question, le "conseil indépendant pour la croissance et le plein emploi" qu'il a inauguré mercredi.
Huffington Post - Royal l'emmerdeuse : la Une de "L'Express" indigne Manuel Valls et les socialistes
"Royal l'emmerdeuse". Ce titre provocateur du magazine L'Express a fait bondir Manuel Valls. Invité à réagir ce mercredi 2 juillet sur BFMTV, le premier ministre a jugé cette Une "dégradante" avant de chanter les louanges de sa ministre de l'Environnement.
Alors que le patronat menace de boycotter la conférence sociale, le Premier ministre annonce de nouvelles mesures en faveur des entreprises.
Les Echos - Manuel Valls : «Je veux sortir la France de ses blocages»
A la veille de la conférence sociale et en plein débat budgétaire au Parlement, Manuel Valls donne aux « Echos » sa première grande interview économique. « Notre politique est bien calibrée, elle a été longuement mûrie », défend le Premier ministre, se posant comme « le Premier ministre qui redonne confiance ». Il répond aux critiques du patronat et des frondeurs du PS. Il annonce un report partiel du compte pénibilité et affiche sa volonté de réformer le code du Travail
2 juillet
Les Echos - Le collectif budgétaire adopté à une vaste majorité
Les députés PS "frondeurs" qui s'étaient abstenus lors du vote des 50 milliards d'euros d'économies avaient décidé, lors d'une réunion mardi, de voter le projet de loi de finances rectificative (PLFR). Les écologistes avaient indiqué qu’ils le voteraient "en majorité"
Le Nouvel Obs - Mise sous tutelle de la fédération PS du Gard
Cette mise sous tutelle intervient alors qu'une enquête préliminaire a été ouverte le mois dernier sur la comptabilité de la fédération socialiste du Gard.
Marianne - Ces amendements des "frondeurs" que le gouvernement ne voulait pas voir
Ce lundi débutait l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale rectificative (PLFSSR) à l’Assemblée. Un enjeu pour les députés "frondeurs" du PS et leurs homologues écolos et Front de gauche qui souhaitaient continuer le rapprochement opéré la semaine dernière. Mais le gouvernement, paniqué à l'idée de se retrouver mis en minorité, a choisi d'autoriser les parlementaires à ne voter que sur ses propres amendements…
Le Parisien - Budget de la Sécu : le gouvernement verrouille le vote pour contrer les «frondeurs»
Au lendemain de la décision du gouvernement de reporter les votes à l'Assemblée sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la Sécu pour 2014, le recours au vote bloqué se précise.
Le Monde - Les députés approuvent le budget rectificatif de l'Etat
Les députés ont adopté en première lecture, mardi 1er juillet, le projet de budget rectificatif de l'Etat pour 2014, par une large majorité de 307 voix contre 232. Ce texte prévoit notamment une réduction d'impôt sur le revenu pour les ménages modestes, et 4 milliards d'euros d'économies pour poursuivre la réduction du déficit public à 3,8 % du PIB. Y figure aussi le remplacement de l'écotaxe par un péage de transit poids lourds.
Libé - Les «frondeurs» PS votent finalement le budget
Les socialistes contestataires ont prévu de concentrer leurs forces sur le projet de loi de finances de la Sécurité sociale, mardi prochain
BFM TV - Les frondeurs du PS vont voter pour le budget rectificatif de l'Etat
Les frondeurs du PS vont voter pour le budget rectificatif de l'Etat, a annoncé mardi l'un de leurs leaders, le député Christian Paul. Par contre, ils "ne voteront pas en l'état" celui de la Sécurité sociale, actuellement en discussion.
1er juillet
Confronté à une fronde au sein de la majorité, le gouvernement a annoncé lundi soir qu'il suspendait les votes des députés sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la sécurité sociale pour l'année 2014. Une décision surprenante qui a été fortement décriée par l'opposition et les députés frondeurs qui dénoncent un blocage institutionnel majeur.
Le JDD - Budget : frondeurs du PS, un vote à plusieurs inconnues
Heure de vérité mardi dans l'Hémicycle, lors du vote du budget rectificatif. Les frondeurs du PS, qui contestent la ligne économique du gouvernement, doivent arrêter mardi matin leur position.
Questions sociales, Le Monde - Les acteurs sociaux du « Réseau 812″ prônent un nouveau modèle
Ils ne sont ni « frondeurs », ni « affligés », ni même déçus. Le think tank hollandiste R812 – appellation née d’une contraction de deux dates, celles de 1981 et de 2012 qui ont vu l’élection d’un socialiste à la présidence de la République – a toujours la foi. Il vient de produire un texte qui préconise de « nouveaux marqueurs de gauche ».
Lui Président, Le Monde - La promesse oubliée : le non-cumul des mandats pour les ministres
Dans sa ville de Boulogne-sur-Mer, l’irréductible Frédéric Cuvillier se cramponne à son poste de maire. Pourtant, François Hollande promettait lors de l'entre-deux tours qu’aucun de ses ministres ne cumulerait de mandat local avec ses fonctions dans le gouvernement
Le Monde - A la surprise générale, le gouvernement reporte les votes sur le budget de la Sécu
Le gouvernement a décidé lundi 30 juin, tard dans la soirée, de remettre à plus tard les votes à l'Assemblée sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale, provoquant la consternation dans l'hémicycle et l'indignation d'une partie de la majorité.
Libé - Pour Cambadélis, le Medef joue à «l'enfant gâté»
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, regrette que, depuis janvier, le Medef se «comporte comme un enfant gâté» et exige «toujours plus», après «le cri d’alarme» à destination de l’exécutif lancé dimanche par huit organisations patronales.
Libé - Jean-Christophe Cambadélis critique «l’immobilisme» du Sénat
Le patron du PS se fâche contre le Sénat, où une majorité d’élus UMP, communistes et radicaux de gauche veulent retarder la discussion sur la réforme territoriale. «Il y a de l’immobilisme dans l’air, il faut le surmonter», a déclaré lundi Jean-Christophe Cambadélis au site MYTF1News
Europe 1 - Face aux "frondeurs", le double jeu de l'exécutifL'INFO POLITIQUE - Les ténors de la majorité appellent les députés rebelles à la responsabilité. Mais en coulisses, l'inquiétude est toute relative.
Europe 1 - Bruno Le Roux appelle les socialistes frondeurs au rassemblement
DOC E1 - Dans une lettre adressée aux députés de la majorité, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale rappelle que “nul ne réussira seul”.
Le Monde - A Bruxelles, François Hollande estime avoir marqué des points
C'est presque avec le sourire que François Hollande a quitté la table du Conseil européen, vendredi 27 juin, à Bruxelles. Un déjeuner entre chefs d'Etat qui s'est prolongé jusqu'à 16 h 30, avec au menu, la crise ukrainienne, et en digestif, la désignation de Jean-Claude Juncker pour présider la Commission européenne.
Le Parisien - Dans la peau de Mathieu Hanotin, frondeur socialiste
Cette semaine encore, on ne parlera que d'eux, ces députés PS qui contestent la politique du gouvernement. Parmi eux, Mathieu Hanotin, 36 ans.
Le Monde - Réforme de l'Etat : « Il faut passer la surmultipliée »
Dans un entretien au Monde, Thierry Mandon, le tout nouveau secrétaire d'Etat à la réforme de l'Etat et à la simplification, dévoile son programme pour relancer la modernisation de l'action publique.
30 juin
La Nouvelle République - Une vingtaine d'amendements déposés par les contestataires
Les députés socialistes « frondeurs » ont déposé une vingtaine d'amendements au projet de budget rectificatif de la Sécu (PLFSSR) pour 2014, malgré les directives du président du groupe PS. Une soixantaine de députés PS ont signé un ou plusieurs de ces amendements, c'est-à-dire davantage que les 41 recensés abstentionnistes lors du vote de confiance de Manuel Valls.
Bien Public - Face aux frondeurs du PS, l’épreuve de vérité
Parce que le budget rectificatif de la Sécurité sociale examiné ce matin engage sa politique économique et sociale, le gouvernement doit convaincre les députés socialistes récalcitrants de le voter.
Libé - Education: Hamon arrondit les angles
Le ministre a assoupli la semaine des quatre jours et demi, mis fin à l’expérience de l’ABCD de l’égalité, et sa réforme de la notation se limitera à davantage de «bienveillance».
Adéfaut de laisser une œuvre, Benoît Hamon s’est fixé deux objectifs rue de Grenelle : «usiner» les réformes de son prédécesseur, Vincent Peillon, afin de les faire passer, et pacifier une ambiance jugée beaucoup «trop nerveuse» autour de l’école.
Le Figaro - Hollande et Valls sous la pression des frondeurs du PS
Le bras de fer entre le gouvernement et les députés PS «frondeurs», qui s'opposent à la politique de l'offre de François Hollande, se poursuit. La semaine dernière, consacrée à l'examen du collectif budgétaire (PLFR), a été tendue, à l'Assemblée. La semaine qui s'ouvre devrait l'être davantage, avec l'examen dès lundi du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSSR), qui entérine plusieurs volets du pacte de responsabilité pour les entreprises. «Un rendez-vous tendu», reconnaît un conseiller du premier ministre, qui s'attend à des «difficultés plus fortes que sur le premier texte», le PLFR, qui sera voté mardi.
Libé - Hollande joue la fermeté sur l'affaire Le Guen
L'Autorité chargée de vérifier les déclarations de patrimoine a adressé une «appréciation» au secrétaire d'Etat concernant la sous-valorisation de ses biens immobiliers. Jean-Marie Le Guen a depuis rectifié les données transmises.
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Dray : «Je ne suis pas vallsien, je suis contre les a priori» par Lefigaro.fr
Dray : «Je ne suis pas vallsien, je suis contre... par lefigaro -
L'actualité des socialistes du 31 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le Monde - Hollande-Valls, l'histoire secrète du remaniement
Depuis quand le président a-t-il compris qu’il y avait quelque chose de dysfonctionnel dans le couple qu’il formait avec Jean-Marc Ayrault ? « En réalité, il a tranché depuis très longtemps, assure un intime. Depuis la fin de l’été 2012, il sait que cela ne marche pas. » Il aura pourtant fallu patienter jusqu’à la dernière minute de la dernière réunion pour que M. Hollande, après avoir laissé pendant des mois planer un anxiogène suspense, signifie à Manuel Valls qu’il le nommait premier ministre. Et encore le président ne l’a-t-il pas complètement verbalisé. En mai 2012, il le lui avait annoncé sans ambages, en tête à tête : « Tu seras le ministre de l’intérieur. » Cette fois, il est resté plus sibyllin : « Jean-Marc Ayrault m’a adressé sa lettre de démission. »
5 et 6 avril
Le Monde - Cent députés PS en colère réclament un « contrat de majorité »
Ils considèrent que plus rien ne doit jamais être comme avant. Selon nos informations, près de cent députés socialistes – soit un tiers du groupe à l'Assemblée nationale – ont signé une lettre, que Le Monde et BFM TV se sont procurés, réclamant un « contrat de majorité » avec le nouveau gouvernement. La liste définitive des signataires devrait être connue ce week-end, avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement, mardi 8 avril.
Le Nouvel Obs - Vote de confiance : 100 députés PS posent leurs conditions
Près de cent députés socialiste en colère ont signé une lettre réclamant un "contrat de majorité" avec le nouveau gouvernement, juste avant le discours de politique générale de Manuel Valls mardi.
Le Monde - Comment Hollande et Valls ont défini leur plan de bataille
Le remaniement a poursuivi François Hollande jusqu'à Bruxelles. Le président n'a pu profiter de l'entrée servie au dîner des chefs d'Etat et de gouvernement réunis pour le sommet Union européenne-Afrique, mercredi 2 avril : il suivait en direct la première prestation télévisée de Manuel Valls, à 20 heures sur TF1.
Le Monde - L'urgence d'une refondation du Parti socialiste
Henri Emmanuelli aime le parler dru. A 68 ans, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste – de juin 1994 à octobre 1995 –, auquel il a adhéré dès 1971, a perdu de l'influence, mais il cultive son image de sage un peu « archaïque ». La déroute historique du PS aux élections municipales l'a conduit à assener un véritable coup de semonce. « Le PS n'existe plus, a martelé le député et président du conseil général des Landes, jeudi 3 avril, à Mediapart. Ni à l'attaque ni en défense. » Il est devenu, enchaîne-t-il, « un parc à moutons » en état de « coma profond ».
Le Monde - Le ministère « voiture-balai » de Najat Vallaud-Belkacem
Un « ministère fourre-tout » ou une mission inspirée de Léo Lagrange, secrétaire d'Etat aux sports et aux loisirs du Front populaire ? L'étendue du portefeuille de Najat Vallaud-Belkacem, promue ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports n'a pas manqué d'interroger les acteurs des quatre domaines concernés. Est-ce le signe d'une promotion pour la jeune et brillante ex-porte-parole du gouvernement Ayrault ? Ou un ministère sans cohérence dans lequel sont rassemblés tous les dossiers sensibles mais sur lesquels le gouvernement ne compte pas faire grand-chose ?
Le Nouvel Obs - Ce que Valls a vraiment proposé aux écolos
Nucléaire, EPR, gaz de schiste, OGM, décentralisation… Voici comment le Premier ministre a tenté de convaincre EELV.
Le Monde - Valls-Montebourg-Hamon : le pacte des ambitieux
C'est l'histoire d'un trio qui ne fait plus qu'un. Depuis mercredi 2 avril, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont deux des poids lourds – le premier comme copatron de Bercy, le second à la tête du ministère de l'éducation nationale – du gouvernement d'un troisième, Manuel Valls. S'il peut paraître détonant, vu le parcours de chacun, ce ménage à trois n'est pas une surprise au regard des rapprochements tissés au fil des derniers mois
4 avril
Libé - Le PS est dans un état de «coma profond» pour Emmanuelli
Le député et ex-premier secrétaire du parti appelle à un congrès extraordinaire ou à la démission d'Harlem Désir.
Le député socialiste Henri Emmanuelli a appelé à la tenue d’un congrès extraordinaire du Parti socialiste ou à une démission de son premier secrétaire, Harlem Désir, estimant dans une interview à Mediapart diffusée jeudi que ce parti, «parc à moutons», était plongé dans un état de «coma profond».
L'Humanité - Crise politique et maintenant? On n’a jamais redressé un pays dans l’austérité
Par Christian Paul, député PS de la Nièvre, représentant de la Gauche durable. Le 30 mars, la gauche a subi une des pires déroutes électorales de son histoire sur fond d’abstention massive. Avec la crise politique qui touche droite et gauche, et le poids menaçant de l’extrême droite, quelles réponses apporter à cette coupure profonde avec les Français ? Et pour la gauche, où sont les alternatives ? L’Humanité ouvre d’urgence le débat.
Libé - Ségolène Royal souhaite «remettre à plat» l'écotaxe
La nouvelle ministre de l'Ecologie a indiqué n'être pas favorable à une «écologie punitive» assortie de taxes qui frapperaient ceux qui n'ont pas accès à des transports propres.
Le Figaro - Avec Moscovici à Bruxelles, le PS pourrait perdre la majorité absolue à l'Assemblée
Le député du Doubs serait obligé de remettre en jeu son mandat lors d'une législative partielle risquée pour le PS. En cas de défaite, le Parti radical de gauche deviendrait indispensable au Parti socialiste à l'Assemblée.
Libé - Des députés PS et écolos proposent une loi sur la famille
Après le report de la loi Bertinotti sur la famille, des élus ont déposé une proposition de loi en reprenant le contenu.
Une proposition de loi PS-écologistes concernant «l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant» a été déposée à l’Assemblée nationale, traduction de la promesse de textes spécifiques faite après le report sine die du projet de loi Bertinotti.
Le Point - Lyon : le torchon brûle entre les Verts et l'exécutif
Les membres d'EELV, élus sur les listes PS, ne participeront pas à l'exécutif faute d'avoir trouvé un accord avec le maire de la ville Gérard Collomb.
Les Echos - La France veut négocier le rythme de réduction des déficits, affirme Michel Sapin
Selon Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, "le rythme" de réduction du déficit public sera "discuté" à Bruxelles, car il est dans "l'intérêt commun de l'Europe de trouver le bon rythme".
Libé - A la télé, Manuel Valls joue la carte de la loyauté
Pour sa première intervention télévisée en tant que Premier ministre, Manuel Valls a évoqué avec déférence le président Hollande et a insisté sur le besoin de justice dans la société française.
Le banquier d’affaires et patron de presse Matthieu Pigasse, ancien conseiller de DSK, a été reçu par Manuel Valls jeudi. L’économiste, qui éreinte dans son dernier livre la politique menée par François Hollande, plaide pour des réformes structurelles associées à une relance économique à l’italienne...
Les Echos - Sondage : pas d’état de grâce pour Manuel Valls
Selon le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique, 41% seulement des Français font « confiance » à Manuel Valls pour « résoudre les problèmes ». Un niveau très bas. 47% ne lui font pas confiance.
Le Monde - Védrine torpille les illusions françaises
Pays en état dépressif mais aux atouts substantiels. Puissance moyenne confirmée mais sur le déclin. Economie largement mondialisée mais victime de blocages structurels et psychologiques. Personnalité collective encline à entretenir des illusions, sur elle-même et sur le monde, victime d'un système politico-médiatique narcissique et hostile au changement. Ce diagnostic porté sur la France, sans complaisance mais sans catastrophisme, est signé Hubert Védrine.
Slate, Laurent Bouvet - L'équation Manuel Valls, ou la nouvelle bataille des deux gauches
Par son réformisme en matière économique comme son républicanisme sur le plan des valeurs et de l’ordre, Manuel Valls incarne une synthèse nouvelle de la gauche qui s'oppose terme à terme à celle défendue par Christiane Taubira, EELV ou l'aile gauche du PS. Mais les deux mouvances sont condamnées à s'unir pour accéder au pouvoir.
Huffington Post - Anciens ministres : les pouvoirs sont passés, que vont-ils devenir?
Ministres, ils ne le sont plus. Par choix personnel ou parce que François Hollande et Manuel Valls l'ont décidé, ils sont une petite dizaine -sur 20 membres de l'équipe Ayrault- à ne pas avoir intégré le gouvernement resserré annoncé mercredi matin. Depuis, ils ont passé les pouvoirs aux nouveaux ministres, au cours de cérémonies souvent convenues où ils ont loué leur bilan et adressé leurs encouragements à leur successeur.
3 avril
Le Monde - Royal, Montebourg, Hamon... l'équation risquée de Manuel Valls
Au lendemain de la passation de pouvoir à Matignon entre Jean-Marc Ayrault et le nouveau premier ministre, Manuel Valls, la composition du gouvernement a été annoncée par le secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas, mercredi matin. Seuls les ministres de plein exercice ont été donnés, il faudra attendre la semaine prochaine pour connaître les secrétaires d'Etat.
Le Monde - L'éducation, un « short » ministériel taille XL pour Benoît Hamon
Ces derniers mois, Benoît Hamon s'estimait à l'étroit au ministère délégué à l'économie sociale et solidaire et à la consommation. « Il trouve que Hollande lui a donné un short trop petit dans l'équipe du gouvernement », plaisantait un cadre socialiste. En privé, ce quadra, fan de rugby, hésitait entre trois futurs possibles: soit un «short» ministériel taillé plus grand, soit la tête du PS, soit briguer la présidence de la région Ile-de-France en 2015. Ce sera donc le «short» taille XL.
Le Monde - La revanche de Ségolène Royal
Ségolène Royal, ministre de François Hollande. Comment ne pas sourire ? Comment ne pas penser à tout ce qu'a d'extraordinaire une telle situation ? En entendant Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l'Elysée, annoncer mercredi 2 avril que « Madame Ségolène Royal » était nommée « ministre de l'écologie », il était évidemment impossible de rester impassible.
Libé- Cambadélis (PS): Manuel Valls ne sera pas «le droitier de service»
Le député et secrétaire national du PS Jean-Christophe Cambadélis a jugé mardi qu’il existait «une confusion» au sujet de Manuel Valls, qui ne sera pas «le droitier de service» mais a été nommé à Matignon pour «mettre en mouvement la feuille de route de François Hollande».
2 avril
Libé - Valls à Matignon : de nouveaux espaces pour «l'opposition de gauche» ?
Très remontée vis-à-vis du nouveau Premier ministre, la gauche radicale espère rallier les mécontents dans la rue le 12 avril – et pourquoi pas s'entendre avec les écologistes, si ceux-ci quittent l'exécutif
Le Nouvel Obs, Laurent Joffrin - Valls est-il trop à droite ?
Le nouveau Premier ministre, au profil jugé "droitier", correspond à la demande des Français exprimée dans les urnes. Encore faut-il qu'il obtienne des résultats.
Le Nouvel Obs, Renaud Dély - Manuel Valls, l'évidence
Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.
Le Nouvel Obs - Ces chantiers qui attendent le gouvernement Valls
Economie, chômage, énergie, éducation... Les chantiers qui attendent le nouveau Premier ministre Manuel Valls s'annoncent difficiles.
Le Nouvel Obs - Le non de EELV à Valls : "C’est de la folie !"
"Il y a une fracture énorme entre les parlementaires et les instances dirigeantes du parti", fait savoir François-Michel Lambert, député EELV qui, lui, "veut gouverner". Interview.
Le Huffington Post, Julien Dray - 1977 à l'envers...
Les urnes ont parlé et, comme toujours en pareille circonstance, on aurait tort de se focaliser sur le seul Front National. On a d'ailleurs tort de succomber à la fascination, tort de s'en remettre aux seuls anathèmes et à des discours incantatoires. Le FN obtient des victoires dans plusieurs communes, comme Hayange, Hénin-Beaumont, Fréjus et a soutenu la victoire de Robert Ménard à Béziers... Ce sont des faits, mais il faut savoir les comprendre rationnellement. Au-delà de ces quelques très emblématiques communes, c'est le bleu horizon des listes UMP, UDI, DVD qui a coloré la carte de notre pays et c'est cela la leçon première à tirer de ces élections.
LE PLUS. François Hollande a fini par trancher. Fragilisé par la claque reçue par le PS lors des élections municipales, le président de la République a choisi de changer de Premier ministre : Jean-Marc Ayrault s'en va et c'est Manuel Valls qui le remplace à Matignon. Une nomination qui est loin de réjouir notre contributeur Roland Greuzat, militant socialiste proche de la gauche du parti.
RTL - Remaniement ministériel : les guerriers de Manuel Valls seront avant tout "hollandais"
DÉCRYPTAGE - Depuis sa nomination, Manuel Valls est est à la manœuvre pour composer son gouvernement, dont les membres seront annoncés mercredi dans la matinée.
Les Echos - Valls aurait proposé aux Verts un grand ministère de l'Ecologie
Pour convaincre les Verts de participer à son gouvernement, Manuel Valls leur aurait proposé un grand ministère de l'Ecologie. Il se serait également engagé sur trois thèmes : la transition énergétique, la décentralisation et la justice sociale.
Lyon Capitale - Bret engage le bras de fer avec Collomb
Jean-Paul Bret annonce, ce mardi, qu'il veut monter avec les socialistes de Villeurbanne son propre groupe politique. Il se démarque de Gérard Collomb, engageant ainsi un rapport de force. Le maire réélu avec 45% des voix veut récupérer plus de projets et de financements pour sa commune. Pour lui, "la métropole doit être moins polarisée" sur Lyon.
Libé - Seine-Saint-Denis : de la ceinture rouge à la vague bleue
Malgré la conquête de Montreuil et d'Aubervilliers, l'emprise communiste a encore reculé dans le département francilien, principalement au bénéfice de la droite, qui y détient désormais plus de communes que la gauche.
Libé - Les syndicats inquiets face à la feuille de route donnée à Valls
Changement de cap ou continuité ? Mardi, plusieurs syndicats ont fait part de leur perplexité au regard des instructions données par François Hollande à son nouveau Premier ministre.
Rue 89 - Grand Lyon : comment Gérard Collomb peut résister à la vague bleue
Maire de Lyon, ce n’est finalement qu’une étape dans la conquête du pouvoir sur le grand territoire lyonnais. Après l’hécatombe de la gauche qui a vu plusieurs de ses villes basculer à droite dans le Grand Lyon, le socialiste Gérard Collomb va devoir batailler pour conserver la présidence de la communauté urbaine, future Métropole.
Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'intervention de Hollande
VIDEO. Manuel Valls est nommé Premier ministre. Le président annonce un pacte de solidarité pour redonner du pouvoir d'achat aux Français.
Le Monde - Hollande nomme Valls à Matignon et promet des baisses d'impôts
Le chef de l'Etat a confirmé lundi 31 mars qu'il avait confié à Manuel Valls la mission de « conduire le gouvernement de la France ». Une triple mission lui incombe, a indiqué le chef de l'Etat lors d'une allocution télévisée diffusée à 20 heures : relancer l'économie, garantir la justice sociale et créer le rassemblement.
1er avril
Libé - Manuel Valls, une ascension depuis l'Intérieur
CHRONO Manuel Valls a été nommé lundi soir Premier ministre, après la démission de Jean-Marc Ayrault. Retour sur ses deux années Place Beauvau
Libé - Presque deux ans de gouvernement Ayrault
BILAN Légalisation du mariage gay, efforts budgétaires dans un contexte économique tendu, chômage record et aussi quelques couacs. Que retenir des gouvernements dirigés par Jean-Marc Ayrault depuis le 15 mai 2012 ?
Le JDD - Hollande s’en remet à Valls pour sauver son quinquennat
ANALYSE - Au terme d’une folle journée émaillée de rumeurs, tensions et même chantage, le chef de l’Etat a fini par trancher en remerciant Jean-Marc Ayrault et nommant Manuel Valls à sa place. Un coup de Poker du Président contraint de tirer les leçons d’une claque monumentale aux municipales. Après vingt-deux mois à l’Elysée, François Hollande joue la suite de son mandat à quitte ou double.
Slate - La nomination de Valls à Matignon va-t-elle faire perdre la majorité absolue au PS?
«Pour gouverner, il faut une majorité nette» à l'Assemblée nationale. Alors encore directeur de la communication du tout fraîchement élu président François Hollande, Manuel Valls appelait le 7 mai 2012 les électeurs à se mobiliser en vue des législatives.
Le JDD - Le remaniement, c'est quand?
François Hollande a confié le soin à Manuel Valls de former un gouvernement « resserré » et « de combat ». Le calendrier du remaniement reste quant à lui inconnu.
Lundi soir, une seule information était certaine quant au remaniement : Manuel Valls remplace Jean-Marc Ayrault à Matignon, à la tête d’un "gouvernement de combat" et "resserré", conformément aux vœux de François Hollande. Combien de ministres composeront cette future équipe, et surtout, quand sa composition sera-t-elle annoncée? Le chef de l’Etat ne l’a pas indiqué.
France Info - Le PS rassuré par le nouveau cap de Hollande
REACTIONS | Le "gouvernement de combat" tel qu'il a été décidé par le chef de l'Etat devra appuyer sur trois leviers : l'économie relancée, la justice sociale renforcée et le pouvoir d'achat privilégié. Message clair, dit-on au PS. Les Verts laissent planer le doute sur leur présence dans la nouvelle équipe. A l'UMP, Jean-François Copé n'a pas entendu de "changement de cap". Marine Le Pen au FN voit Manuel Valls en "homme dangereux."
France Info - Manuel Valls : l'aile droite de la gauche entre à Matignon
Manuel Valls a été désigné par François Hollande pour succéder à Jean-Marc Ayrault. Le nouveau Premier ministre devrait rapidement prendre ses fonctions et composer son gouvernement. Itinéraire de l'ascension politique, de la faculté de Tolbiac à Matignon, de celui que l'on présente souvent comme le "Sarkozy de gauche"
Europe 1 - Le jour où Matignon a valsé
COULISSES - Jean-Marc Ayrault est remplacé par Manuel Valls à Matignon. Retour sur un lundi peu ordinaire.
Un dernier pied de nez. La nouvelle est tombée un communiqué de Matignon, peu avant 18h ce lundi. Fait inédit, Jean-Marc Ayrault a tenu à annoncer lui-même sa démission et celle de son gouvernement, court-circuitant l'Elysée qui avait prévu de le faire. Et dans un ultime défi, le Premier ministre a fait porter sa lettre de démission par son chef de cabinet sans la présenter directement à François Hollande, comme le veut pourtant l'usage de la Ve République. Quelques minutes plus tard, le nom de Manuel Valls bruissait dans tous les médias avant d'être annoncé officiellement par le président en personne, lors d'une allocution télévisée de quelques minutes, enregistrée à l'Elysée et diffusée lundi à 20h.
Le Nouvel Obs - Manuel Valls, l'évidence
Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.
Le Monde - Manuel Valls, un ambitieux à Matignon
Ce sera donc Manuel Valls. Après des semaines de spéculations, qui avaient vu la liste des prétendants crédibles pour Matignon se réduire à son nom et à celui de Jean-Marc Ayrault, après plusieurs jours d'un intense rapport de force entre les deux hommes et quelques heures qui ont vu, dans la foulée de la sévère défaite reçue aux municipales, ministres et conseillers friser la crise de nerfs, la nomination de M. Valls au poste de premier ministre a été confirmée, lundi 31 mars.
Les Echos - DIRECT François Hollande s'adressera aux Français ce soir à 20H
+ VIDEOS - La vague bleue des municipales accélère le calendrier du remaniement. Le président de la République s'adressera ce soir à 20H aux Français lors d'une allocution télévisée. Ce lundi matin, le président s'est longuement entretenu avec son Premier ministre et leur déjeuner a ensuite été annulé.
La Croix - Limoges, symbole de la déroute du PS aux municipales
Bastion historique du PS depuis un siècle, la préfecture de Haute-Vienne a été remportée dimanche 30 mars par Emile-Roger Lombertie (UMP). L’une des plus belles victoires de la droite.
Le Monde - Nuit de défaite pour le « socialisme municipal »
Ce sont de grosses larmes, lourdes et chaudes, qui, dimanche soir, ont coulé dans les mairies socialistes de France. Des larmes que, comme la maire défaite de Reims, Adeline Hazan – une femme qui pourtant « ne pleure pas facilement » – l'on a séchées à l'écart, mais pas tout le temps. A Palaiseau (Essonne), Roubaix, Tourcoing (Nord), Toulouse, et dans tant d'autres salles de conseil municipal en France, des milliers de militants épuisés, de personnels administratifs sonnés et bientôt désoeuvrés, mais aussi d'édiles sidérés ont inauguré leur soirée du 30 mars en sanglotant. Un gros chagrin. Les larmes du « socialisme municipal ».
Le Point - Municipales 2014 : changement de cap ou de méthode ? Les socialistes se divisent.
La fronde monte dans les rangs socialistes, où percent les clivages entre partisans d'un coup de barre à gauche et ceux qui dénoncent un "problème de méthode"
Libé - Municipales : "Ce vote est un rejet du pouvoir socialiste"
Pour le politologue Gérard Grunberg, la défaite du PS marque l'usure du socialisme municipal et peut entraîner une crise politique majeure. Interview.
Libé - «La confiance au gouvernement, cela se mérite»
INTERVIEW Des parlementaires PS se réunissent ce soir pour plancher sur une politique alternative. Parmi eux, le le député Christian Paul, sévère sur les deux premières années du quinquennat
Libé - François, remanie-toi d’abord !
Allez, c’est reparti comme en 14 ! Ayrault contre Valls, Valls contre Ayrault. Voilà une bonne guerre, façon naguère, pas vrai ? Avec Hollande en Dieu le père à la ligne Maginot enfoncée, ou plutôt en sous-Kaiser à casque sans pointe, qui va finir par décider qui il mettra dans la tranchée, qui en bandes molletières et qui en tenue bleu horizon.
Le Monde - L'avertissement de l'aile gauche du PS à Hollande
L'aile gauche du Parti socialiste n'a pas tardé à réagir. Dès les résultats du second tour des élections municipales connus, le courant socialiste « Maintenant la gauche » dirigé par le conseiller régional d'Ile-de-France Emmanuel Maurel, la sénatrice de Paris Marie-Noëlle Lienemann et le député de l'Essonne Jérôme Guedj, a envoyé un coup de semonce à François Hollande. Dans une « adresse » au chef de l'Etat rendue publique près après 20 heures et que s'est procurée Le Monde, ils remettent directement en cause la politique économique suivie depuis bientôt deux ans. « Le sursaut, c'est maintenant! », lancent-ils.
La Vie - "La déroute du PS était prévisible"
Laurent Bouvet est professeur de sciences-politiques à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, auteur de Le sens du peuple (Gallimard, 2012). Il décrypte pour nous les résultats des municipales, alors que ceux du deuxième tour viennent de tomber.
31 mars
Les Echos - Majorité : des députés PS envisagent de ne pas voter la confiance au gouvernement
Des députés socialistes se réunissent demain pour réclamer à François Hollande un changement de politique après des municipales mauvaises pour la gauche. Certains menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement, issu du remaniement.
Le Figaro - Après les municipales, la révolte gronde au Parti socialiste
Menace sur la majorité de François Hollande. Au lendemain de la défaite historique du PS lors des élections municipales, le chef de l'État se trouve confronté à une fronde au sein de son propre camp pour qu'il engage un changement de politique. Faute de quoi, plusieurs députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance lorsque le nouveau gouvernement que compte mettre en place François Hollande se présentera devant l'Assemblée nationale. «Sans réorientation réelle de la politique de la gauche au pouvoir, notre vote de confiance au futur gouvernement n'est pas aujourd'hui acquis», a assuré dès dimanche soir la gauche populaire, mouvement du PS qui compte suffisamment de députés pour pouvoir sérieusement remettre en cause la cohésion de la majorité.
Le Nouvel Obs - Vers un remaniement gouvernemental dès ce lundi ?
A l'heure des résultats des municipales, la question d'un remaniement se pose. François Hollande pourrait être au journal de 20h de TF1 lundi.
Le Figaro - Municipales 2014 : Collomb réélu pour un troisième mandat à Lyon
Gérard Collomb va entamer son troisième mandat à Lyon. Élu pour la première fois en 2001, le sénateur maire PS de la capitale des Gaules, dont les listes ont obtenu 50,65 % des voix au second tour, a remporté dimanche soir six des neuf arrondissements de la ville (IIIe, IVe, Ve, VIIe, VIIIe et IXe), alors que son adversaire UMP, Michel Havard, dont les listes UMP-UDI ont recueilli 34,23 % des suffrages, n'a pas réussi à prendre un seul arrondissement à la gauche, ce qui était la condition sine qua non pour tenter de faire basculer la ville à droite.
Le Nouvel Obs - Municipales : le PS coulé par la vague bleue
VIDEOS. Les appels au sursaut d'entre-deux tours n'auront eu que très peu d'impact. Les basculements annoncés ont eu lieu, touchant jusqu'aux fiefs historiques de gauche.
Le Monde - Municipales : le PS en déroute conserve Paris
Pau, Reims, Saint-Etienne, Limoges, Ajaccio, Roubaix, Belfort basculent à droite. Le FN remporte la mairie à Béziers, Fréjus, Hayange, Beaucaire, Villers-Cotterêts, Le Luc, Le Pontet et Cogolin.
Le Nouvel Obs - Municipales : ce qu'il faut retenir du second tour
VIDEO. Déroute pour la gauche, percée du FN et abstention record : "Le Nouvel Observateur" tire les enseignements du scrutin.
Libé - Municipales : la déroute se confirme pour le PS
Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par les socialistes : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier.
Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par le PS : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier. Libération synthétise ici les principaux enseignements du scrutin, et les mettra à jour tout au long de la soirée.
Le Monde - Grenoble : les écolos arrachent la ville au PS
Eric Piolle, candidat EELV allié au Parti de gauche et à un collectif citoyen, a remporté la mairie, dimanche 30 mars, dans une quadrangulaire avec 40,8 % des voix.
Le Monde - Municipales 2014 : Najat Vallaud-Belkacem reconnaît « l'impatience » des Français
Najat Vallaud-Belkacem a reconnu dimanche sur TF1 la « dimension nationale » des résultats « décevants » de la majorité au second tour des municipales. « Nous entendons le message des électeurs ce soir, a déclaré la porte-parole du gouvernement. Il nous faut plus de clarté, renouer le dialogue sur un certain nombre de points de notre politique. »
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Julien Dray : "des équipes municipales socialistes solides"
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Bourdin Direct: Julien Dray - 04/02