Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vidéo - Page 164

  • France Culture, Robert Boyer - Quand la crise oblige à repenser l’économie

    Depuis le début de la crise mondiale de le Covid-19, les questions sur notre avenir économique se multiplient. Les mesures adoptées par la plupart des gouvernements pour endiguer la diffusion du virus ont entraîné un arrêt brutal de pans entiers de la production et de la demande, au nom de la préservation des vies humaines. En dépit des plans de relance, de nombreux observateurs anticipent une sortie de crise difficile pour les économies. Comment appréhender notre avenir alors que nous sommes encore en pleine pandémie ? Notre modèle économique a-t-il atteint ses limites ? 

    Nous en parlons avec Robert Boyer, économiste au CEPREMAP (Centre pour la recherche économique et ses applications), co-fondateur de l’École de la régulation, et auteur de "Les capitalismes à l'épreuve de la pandémie" (éd. La Découverte).

  • Parti Socialiste - PPL sur l'extension du RSA aux moins de 25 ans | Rémi Cardon

    Envie d'en savoir plus sur la proposition de loi pour l'extension du RSA aux moins de 25 ans ? 

  • Non Fiction - De l'extension du temps de cerveau disponible

    Pour le sociologue Gérald Bronner, nous n’avons jamais bénéficié d’autant de temps libre. Pour autant, notre usage cognitif de ce dernier est loin d’être optimal.

    On peut résumer simplement l’argument du nouveau livre de Gérald Bronner, Apocalypse cognitive (PUF, 2021), facile à lire au demeurant. Le développement de la civilisation, explique-t-il, s’est accompagné d’une forte augmentation du temps libre, que Bronner retraduit en temps de cerveau libéré d’autres contraintes (« le plus précieux de tous les trésors »). Dans le même temps, la dérégulation du marché cognitif (Bertrand Labasse, dont on pourra lire ici l’entretien qu’il nous avait accordé à propos de son livre La valeur des informations (Les Presses de l'Université d'Ottawa, 2020), préfère quant à lui parler de « marché discursif », ce qui a l’avantage de ne pas restreindre l’analyse à une seule catégorie de variables) et sa désintermédiation permise par le développement d’internet, du web et des réseaux sociaux ont conduit à ce que l’offre, sur ce marché, s’aligne désormais sans filtre sur une demande largement dominée par nos instincts. Instincts qui nous poussent à accorder prioritairement notre attention aux contenus en rapport avec le sexe, agitant des peurs ou cultivant les conflits. Ce qui explique aussi que l’indignation morale, souvent surjouée, soit un bon moyen pour tout un chacun qui le souhaite d’accroître sa visibilité. Et d’où il résulte pour finir un mauvais emploi de nos capacités cognitives.

    Lire la suite
    _________________________
    _________________________

  • Kanner : "Il y a un décalage entre les potentiels vaccinés et la réalité vaccinale"

  • Chômage, défaillances d'entreprise : l'hécatombe est inévitable [Alexandre Mirlicourtois]

    Jamais la France n’a connu pire récession depuis la 2nd guerre mondiale ; oui mais, rarement, la sinistralité des entreprises n’aura été aussi basse. [...]

  • Le Média - Entretien avec Gilles Raveaud sur la crise qui vient

    Un entretien réalisé par Salomé Saqué.

    Presque chaque jour depuis plusieurs mois, le ministre de l’économie Bruno Lemaire se félicite d’un plan de relance à 100 milliards d’euros mis en place pour faire face à la crise du coronavirus : il s’agit de France Relance. Mais ce plan relance-t-il vraiment l’économie ?

    Pour en discuter nous accueillons sur notre plateau Gilles Raveaud, économiste et Maître de conférences à l’Institut d’études européennes, auteur de « Economie, on n’a pas tout essayé » aux éditions du Seuil. Son constat est sans appel : la crise économique qui arrive sera bien plus catastrophique que celle annoncée par le gouvernement. Pendant plus de vingt minutes, l’économiste démonte un par un les arguments avancés par les responsables politiques, et dresse un tableau très pessimiste, mais réaliste selon lui, des mois à venir.

    Entre explosion de la pauvreté, plongée d’une partie des étudiants dans la précarité et augmentation des inégalités, l’avenir proche semble bien sombre. Gilles Raveaud propose cependant une panoplie de solutions, qui impliqueraient un changement radical de doctrine économique, pour prévenir cette crise historique.