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Le meilleur - Page 3

  • Le meilleur de 2025 - Le Grand Continent - Trump : politique de la destruction spectaculaire

    Une révolution culturelle est en cours. Elle ne produit pas de politiques mais cherchent à étendre les frontières des États-Unis tout en abolissant les institutions démocratiques dans ce pays. Depuis l’Europe, comment comprendre cette transformation ? Alors qu’un pouvoir au visage nouveau s’installe en Amérique, nous publions en continu une série de textes canoniques (de Curtis Yarvin à J. D. Vance) et d’analyses pour tenter de décrire ce qui anime Trump et les nouvelles élites américaines.

    Pour gouverner les États-Unis et rester au pouvoir, Donald Trump a besoin de mettre en scène un rituel sacrificiel continu : détruire l’Amérique et les Américains. Cette nouvelle politique n’a pas de stratégie. Elle ne cherche aucune fin. Elle absorbe toute forme d’opposition.

    Ian Garner forge un concept pour saisir ce vertige : la destruction spectaculaire.

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  • Le meilleur de 2025 - LES « VALEURS » LIBÉRALES SONT UN LEURRE : la liberté est menacée partout - Joseph Stiglitz

  • Le meilleur de 2025 - LVSL - Le numérique, arme de marchandisation de l’humanité

    D’abord cantonnée à la sphère professionnelle, la numérisation a fini par s’étendre à toutes les facettes de l’existence humaine, y compris les plus intimes. Un processus qui ouvre sans cesse de nouveaux marchés pour une poignée d’entreprises, tend à uniformiser nos comportements et à transformer l’être humain en support publicitaire, à l’image des influenceurs. Derrière l’illusion de gratuité et de liberté, le numérique exploite notre attention et nous transforme en simples produits sur un marché global, niant notre intériorité. C’est du moins ce que défend Baptiste Detombe, dans sa critique anticapitaliste du numérique L’homme démantelé. Comment le numérique consume nos existences. Extraits.

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  • Le meilleur de 2025 - Alexeï Navalny | L'ennemi de Poutine | ARTE

    Rediffusion disponible jusqu'au 11/02/2026 Il était le plus célèbre des opposants à Vladimir Poutine, celui contre lequel le Kremlin n'avait de cesse de s'acharner : Alexeï Navalny est mort en détention le 16 février 2024. Raconté par ceux qui l'ont côtoyé au quotidien, le parcours parfois contradictoire d'un combattant au courage indéniable.  Rescapé en août 2020 d'une tentative d'empoisonnement au Novitchok, le poison favori des services secrets russes, hospitalisé à Berlin, puis arrêté dès son retour à Moscou et condamné au total à dix-neuf ans de prison pour "extrémisme", Alexeï Navalny, 47 ans, était le seul opposant ayant su conquérir en Russie une véritable popularité depuis que Vladimir Poutine a pris le pouvoir, au premier jour de l'an 2000. Transféré en secret dans un camp de l'Arctique sous un régime particulièrement sévère, l'ancien avocat continuait d'appeler la Russie à la résistance, jusqu'à sa mort annoncée le 16 février 2024 par l'administration pénitentiaire. Mais au-delà de son impressionnant courage, qu'est-ce qui animait celui qui s'est peu à peu révélé comme un redoutable animal politique ? Militant prodémocratie n'ayant jamais vraiment renié son flirt xénophobe avec l'extrême droite nationaliste, au début de sa carrière, il a construit au fil du temps une puissante machine médiatique, grâce à laquelle sa dénonciation féroce de la dictature et de la corruption a fédéré des milliers, puis des millions de supporters. En 2013, sa campagne pour la mairie de Moscou lui permet de remporter 27 % des suffrages face au candidat du pouvoir, malgré la fraude. Après sa dénonciation de la guerre déclenchée en sous-main contre l'Ukraine, en 2014, sa tentative pour se présenter à la présidentielle, quatre ans plus tard, en fait définitivement l'homme à abattre pour le Kremlin.

  • Le meilleur de 2024 : Fondation Jean Jaurès - Accéder aux services publics en milieu rural : les femmes en première ligne ?

    Principales usagères des services publics en milieu rural, les tâches domestiques et administratives leur incombant encore majoritairement, les femmes subissent les conséquences du manque d’effectifs, des fermetures et des réorganisations de certains services publics. Émilie Agnoux, co-fondatrice du think tank Le sens du service public, et Émilie Nicot, attachée principale dans la fonction publique, analysent comment la disparition des services publics en milieu rural aggrave les inégalités femmes-hommes et formulent six pistes d’action pour tenir compte des impacts genrés de l’action publique.

    Le service public est souvent l’objet de débats sur son efficience eu égard au niveau de dépense publique que nous y consacrons en France.

    Le manque d’effectifs, les fermetures et les réorganisations de certains services publics, plus spécifiquement en zones péri-urbaines et rurales, nous interrogent sur les conséquences pour les Françaises et les Français, et sur les éventuels impacts en matière d’égalité au regard de l’inégale répartition des rôles au sein de la société. En effet, les femmes continuent majoritairement à avoir la charge des tâches domestiques et administratives

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  • Le meilleur de 2024 - France Info - Mal-logement : "Le nombre de personnes SDF a doublé en dix ans", alerte le directeur général de la Fondation Abbé Pierre

    Invité du 12/13 info, vendredi 2 février, Christophe Robert, directeur général de la Fondation Abbé Pierre, tire la sonnette d'alarme sur la difficulté de se loger en France.

    Malgré l'augmentation du nombre places en hébergement d'urgence, "des personnes vivent à la rue, des familles, des femmes seules avec enfant appellent le 115, on leur répond : 'Non, l'hébergement est saturé.'", déplore Christophe Robert, directeur général de la Fondation Abbé Pierre, invité du 12/13 info, vendredi 2 février. "Le nombre de personnes sans domicile fixe a doublé en dix ans", alerte-t-il. Pour lui, cela s'explique en partie par la hausse du coût du logement.

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  • Le meilleur de 2024 : Fondation Jean Jaurès, Bassem Asseh, Daniel Szeftel - La gauche et l’immigration. Retour historique, perspectives stratégiques

    La loi sur l’immigration de décembre 2023 marque un très important coup de barre à droite. Dans ce contexte, comment la gauche peut-elle peser sur le sujet ? Bassem Asseh, premier adjoint socialiste à la maire de Nantes et codirecteur de l’Observatoire de l’efficacité de l’action publique, et Daniel Szeftel, militant socialiste, analysent ses positions sur l’immigration tout au long du XXe siècle et proposent des pistes stratégiques.

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  • Le meilleur de 2024 : Collège de France - Changements climatiques et dynamiques sociales... - Kyle Harper (2024)

    2 févr. 2024

    Leçon inaugurale de Kyle Harper prononcée le 1er février 2024.

    Kyle Harper est professeur invité sur la chaire Avenir Commun Durable.

    Motivée par le défi du changement climatique anthropique, la reconstruction du climat de l'Holocène a apporté aux historiens et aux archéologues de nouvelles connaissances sur le passé humain. Nous apprenons que l'instabilité du système Terre a joué un rôle important dans l'histoire humaine. Mais pour réellement mesurer le rôle qu’a tenu l'environnement dans le passé et ainsi pouvoir projeter ses effets possibles dans l’avenir, il faudra non seulement envisager le climat, mais aussi la société humaine comme un système complexe. Ce système peut parfois être résistant aux perturbations, parfois sensible aux changements rapides avec des effets en cascade. Ces connaissances pourront éclairer les citoyens et les décideurs politiques sur la manière d’évaluer les risques auxquels sera confrontée la société contemporaine. En bref, l'intégration des sciences naturelles dans l'étude de l'histoire humaine peut enrichir notre compréhension du passé comme du présent.

    Entretien avec Kyle Harper :

    https://www.college-de-france.fr/fr/actualites/les-pires-epidemies-de-histoire-de-humanite-ont-une-dimension-climatique

  • Le meilleur de 2024 : Observatoire des inégalités - Doit-on croire au mérite ?

    Nous avons besoin du concept de mérite pour définir les inégalités « justes ». Une notion à manier avec beaucoup de précautions tant elle est difficile à définir et mesurer. L’analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    En attendant l’abondance pour tous (ou un autre principe d’organisation de la société), nos sociétés admettent qu’il est « juste » de partager la richesse en fonction de quelque chose qui ressemble à l’effort personnel. Sinon, personne ne voudrait faire d’efforts pour récolter sa part et il n’y aurait plus de production de richesses, donc plus rien à partager. On connaît ce raisonnement plein de bon sens, souvent mis en avant par ceux qui veulent moins de redistribution.

    L’inégalité peut être « juste » si elle correspond aux mérites individuels. « L’égalité arithmétique va à l’encontre de l’idée même de justice, dès lors que la diversité humaine est prise en compte : non pas seulement en termes d’effort, mais également de besoins, de désirs ou de handicaps », rappelle justement l’économiste Arnaud Lechevalier [1]. Un élève comprend facilement l’injustice qu’il y aurait à déterminer sa note à l’aide d’un dé, ou en jetant les copies dans un escalier et en les notant en fonction de la marche sur laquelle elles sont tombées.

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  • Le meilleur de 2024 - Fondamental - Le cours d'économie de Julia Cagé

     

    23 juil. 2024

    Le PIB est-il une bonne mesure de la croissance économique ? Faut-il plus d'inégalités pour plus de croissance ? Plus ou moins de justice ? Comment fait-on pour financer la transition énergétique ?

    Autant de sujets complexes que Julia Cagé, professeure d'économie à Sciences Po, interroge dans son cours Fondamental d'introduction à l'économie. Que vous soyez un lycéen qui va faire sa rentrée à Sciences Po, un étudiant, un professionnel ou simplement curieux d'apprendre, nous vous ouvrons les portes de nos salles de classe pour une plongée inédite dans nos cours emblématiques