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  • Allemagne : vers une grande coalition dangereuse ? 5 thèses sur l’élection allemande

    Les résultats de dimanche ont accentué la fragmentation électorale allemande — dans un pays où l’opinion publique est de plus en plus clivée.

    Si la « GroKo » est possible, l’alliance entre le SPD et la CDU/CSU repose sur des bases électorales qui n’ont jamais été aussi fragiles : l’avenir du pays pourrait être dicté par les extrêmes.

    Selon Jean-Yves Dormagen, l’Allemagne, autrefois parangon de la stabilité en Europe, fait l’expérimentation brutale d’une nouvelle ère : celle de la polarisation électorale. 

    1 — Une « victoire » en trompe-l’œil pour la CDU/CSU

    Sans surprise, Friedrich Merz et la CDU/CSU sont présentés comme les « vainqueurs » du scrutin de dimanche

    Ce constat est à la fois vrai et faux. Il est vrai dans la mesure où ils sont arrivés en tête avec 28,5 % des voix et qu’ils vont exercer la direction du gouvernement fédéral.  Mais il est aussi partiellement faux. Il s’agit en effet d’un résultat en trompe-l’œil qui se révèle de fait assez inquiétant, pour peu qu’on l’analyse dans une perspective de temps long.

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  • Julien Bayou : "Je subis un harcèlement que je ne souhaite à personne"

    26 févr. 2025

    L'ancien leader d'EELV, écarté du mouvement suite à une procédure judiciaire pour harcèlement moral et abus de faiblesse, finalement classée sans suite, et son avocate Marie Dosé sont les invités de la matinale.

  • Jane Fonda 1 - Donald Trump 0

    26 févr. 2025

    L'actrice Jane Fonda a livré un discours engagé contre l'administration Trump lors de la remise d'un prix pour l'ensemble de sa carrière. Hollywood peut et doit résister, comme ça avait été le cas au moment du Maccarthysme. Espérons qu'elle soit entendue.

  • Le meilleur de 2025 - Alexeï Navalny | L'ennemi de Poutine | ARTE

    Rediffusion disponible jusqu'au 11/02/2026 Il était le plus célèbre des opposants à Vladimir Poutine, celui contre lequel le Kremlin n'avait de cesse de s'acharner : Alexeï Navalny est mort en détention le 16 février 2024. Raconté par ceux qui l'ont côtoyé au quotidien, le parcours parfois contradictoire d'un combattant au courage indéniable.  Rescapé en août 2020 d'une tentative d'empoisonnement au Novitchok, le poison favori des services secrets russes, hospitalisé à Berlin, puis arrêté dès son retour à Moscou et condamné au total à dix-neuf ans de prison pour "extrémisme", Alexeï Navalny, 47 ans, était le seul opposant ayant su conquérir en Russie une véritable popularité depuis que Vladimir Poutine a pris le pouvoir, au premier jour de l'an 2000. Transféré en secret dans un camp de l'Arctique sous un régime particulièrement sévère, l'ancien avocat continuait d'appeler la Russie à la résistance, jusqu'à sa mort annoncée le 16 février 2024 par l'administration pénitentiaire. Mais au-delà de son impressionnant courage, qu'est-ce qui animait celui qui s'est peu à peu révélé comme un redoutable animal politique ? Militant prodémocratie n'ayant jamais vraiment renié son flirt xénophobe avec l'extrême droite nationaliste, au début de sa carrière, il a construit au fil du temps une puissante machine médiatique, grâce à laquelle sa dénonciation féroce de la dictature et de la corruption a fédéré des milliers, puis des millions de supporters. En 2013, sa campagne pour la mairie de Moscou lui permet de remporter 27 % des suffrages face au candidat du pouvoir, malgré la fraude. Après sa dénonciation de la guerre déclenchée en sous-main contre l'Ukraine, en 2014, sa tentative pour se présenter à la présidentielle, quatre ans plus tard, en fait définitivement l'homme à abattre pour le Kremlin.

  • Fondation Jean Jaurès, Marc Berthiaume - Réformer le syndicalisme pour affronter le nouveau monde du travail : exemples et leçons de l’étranger

    Les profondes transformations du monde du travail, encouragées par la montée des conservatismes, appellent des réformes toutes aussi profondes des outils utilisés pour que les salariés et les employés n’en soient pas les laissés-pour-compte. Les organisations syndicales sont les premières concernées. Partout dans le monde, plusieurs syndicats ont fait preuve d’innovation et n’ont pas hésité à revoir leur fonctionnement et leurs stratégies, au plus près du terrain. Ancien journaliste et attaché d’ambassade, Marc Berthiaume, membre de l’Association des lecteurs d’Alternatives économiques, nous présente un tour d’horizon d’exemples inspirants.  

    Les forces politiques conservatrices ne cessent d’engranger victoire sur victoire. La réélection de Donald Trump à la présidence américaine n’a fait que s’ajouter à d’autres. Certes, des coalitions de gauche modérée ont remporté des élections dans certains pays, mais ces gains, souvent très relatifs, ne parviennent pas à effacer le succès grandissant des partis de droite, en particulier les courants les plus extrêmes, dans de nombreux autres pays. Et si ces derniers ne sont pas au pouvoir, leurs poids parlementaires conditionnent le maintien, ou la chute, des gouvernements. Ils sont, comme le veut l’expression, les « faiseurs de rois ».

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