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  • Quels impacts doit-on attendre du CICE et du Pacte de responsabilité sur l’économie française ? par Bruno Ducoudré, Eric Heyer et Mathieu Plane

    2 juin 2016

    A la suite du Rapport Gallois de fin 2012, le gouvernement a décidé de privilégier une politique d’offre, basée sur la baisse de la fiscalité sur les entreprises, afin de lutter contre le chômage de masse et de faire face à la compétition accrue entre les partenaires de la zone euro, engagés dans des politiques de réformes structurelles et de déflation compétitive. Cette politique d’offre a pour but de rétablir la compétitivité de l’économie française et de dynamiser l’emploi, tout en maintenant le cap de réduction rapide des déficits publics structurels. Concrètement, cela a donné lieu à la mise en place du CICE, un crédit d’impôt égal à 6 % de la masse salariale correspondant aux salaires de moins de 2,5 SMIC, et du Pacte de responsabilité, correspondant à une baisse de cotisations sociales patronales pour les salaires compris entre 1 et 3,5 SMIC, ainsi qu’une baisse de la fiscalité sur les entreprises[1].

    Or début 2016, soit huit ans après le déclenchement de la crise, l’économie française vient tout juste de retrouver le niveau de PIB par habitant qui prévalait au 1er trimestre 2008, et affiche un taux de chômage proche de 10 % de la population active, soit plus de 3 points de pourcentage au-dessus de son niveau d’avant-crise. Compte tenu de ce constat, l’évaluation de l’efficacité de cette politique d’offre constitue un enjeu majeur.

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  • Observatoire des inégalités - Quelle politique pour réduire les inégalités ?

    7 juin 2016 - De l’école au monde du travail, en passant par l’accès aux soins ou au logement, la France, l’un des pays les plus riches au monde, a les moyens de s’attaquer aux inégalités. Encore faudrait-il en avoir la volonté politique. Par Louis Maurin et Nina Schmidt de l’Observatoire des inégalités. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent ».


    Les inégalités sont à la mode. Qu’attend-on pour agir concrètement ? [1] Définir un programme politique n’est pas le rôle de l’Observatoire des inégalités. Ce serait d’ailleurs vain puisqu’en son sein même, des sensibilités diverses s’expriment. L’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent » est une boîte à idées dans laquelle vous pouvez piocher. Fiscalité, éducation, santé, logement, égalité entre les femmes et les hommes, etc. : de nombreux domaines y sont abordés. À un an de l’élection présidentielle, il ne devrait pas être inutile. Sans tenter de faire une synthèse des contributions, au moins peut-on essayer de donner quelques pistes qui sortent des sentiers partisans traditionnels.

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  • Fondation Jean Jaurès - Le piège Daech. L'État islamique ou le retour de l’Histoire, entretien avec Pierre-Jean Luizard

    Daech, inconnu il y a encore quelques mois, a fait une entrée fracassante et sanguinaire dans l’actualité internationale. Pierre-Jean Luizard, grand spécialiste de la région, explique pourquoi nous sommes aujourd’hui tombés dans le « piège Daech ».

  • Non Fiction - Enjeux de l'exégèse coranique (Mohammed Arkoun)

    Résumé : Comment a-t-on lu, lit-on et doit-on lire le Coran? pluralité des lectures coraniques.
     
    Les éditions Albin Michel présentent une réédition enrichie du livre que Mohammed Arkoun considérait comme la matrice de sa réflexion sur l’Islam. Cet ouvrage comporte différents articles portant sur des questions précises – voire concrètes – de l’islamologie ou de l’interprétation coranique (la métaphore, la lecture structurale du Coran, la confiscation de l’exégèse du Coran par le pouvoir politique, etc.). Leur point commun est de réfléchir sur les lectures qui sont faites du Coran pour traiter ses questions et de montrer qu’en le lisant autrement, on aboutirait à une meilleure compréhension du texte. Le constat répété de M. Arkoun dans nombre de ses livres est que trop peu de personnes sont formées à cette lecture profonde et exigeante du Coran   pour des raisons sociopolitiques. Et sa lecture, la seule qui soit considérée comme légitime, est trop souvent confisquée et monopolisée par le régime politique. L’ambition de l’ouvrage est d’ouvrir un champ de recherche sur le Coran de le considérer comme un autre texte, à l’aide des méthodes d’étude des sciences humaines, avec une prédilection pour une lecture structurale. Devant l’impossibilité de rendre compte, ne serait-ce que des plus importants développements contenus dans cette somme d’érudition, en constant dialogue avec les penseurs anciens et de notre temps, nous ne pouvons que proposer le développement de quelques thèses cruciales de cet ouvrage.
     
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  • Le #17h00 épisode 33 - Karim Bouamrane explique les enjeux du projet de loi "République numérique"


    Le #17h00 épisode 33 - Karim Bouamrane explique... par PartiSocialiste

  • Le Monde - L’avenir des solidarités bouleversées par le numérique

    Où sont passées les protections sociales et les institutions qui les défendent ? Dans un monde « sans alternative », les protections sociales semblent partout reculer, comme l’illustre la lutte contre la loi travail. « Qu’est-il arrivé aux solidarités traditionnelles ? », interrogeait Arthur de Grave (@arthdeg), rédacteur en chef de Ouishare Magazine, lors d’une session du Ouishare Festival, qui se tenait mi-mai 2016 au Cabaret Sauvage à Paris.

    Pour Laetitia Vitaud (@vitolae), de Switch Collective, une startup qui propose des bilans de compétence nouvelle génération comme l’expliquait un article de 20minutes, les solidarités se sont créées pour répondre aux défis de la production de masse, en défendant la protection sociale via des syndicats d’autant plus puissants qu’ils étaient le reflet de très grandes entreprises et de métiers très organisés. Des institutions publiques, puissantes, ont accompagné et promu des réponses aux risques de masse nés de la société industrielle. Mais, ces institutions n’ont pas évolué avec la fin des industries et le développement d’une société de services. Elles ne se sont pas reconfigurées pour répondre aux nouvelles aspirations sociales, économiques et politiques. Quelque chose n’a pas été inventé, implémenté… Les institutions anciennes se désagrègent peu à peu, à l’image des syndicats, sans être remplacées par de nouvelles. Les nouveaux risques d’une société de service, d’une société connectée, en réseau, ne sont désormais pas couverts.

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  • Sébastien Denaja, député PS de l’Hérault, rapporteur du projet de loi Sapin


    Sébastien Denaja, député PS de l’Hérault... par rfi

  • Patrick Kanner : "En gâchant la fête, on gâche l'image de la France"


    Patrick Kanner : "En gâchant la fête, on gâche... par franceinter

  • Arnaud Montebourg répond aux questions de Patrick Cohen


    Arnaud Montebourg répond aux questions de... par franceinter

  • Arnaud Montebourg répond aux questions des auditeurs de France Inter


    ►►►VIDÉO-Arnaud Montebourg répond aux questions... par franceinter