F. Pellerin : "Il y aura une stabilité de la... par franceinter
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Investissement : Valls annonce un geste fiscal de 2,5 milliards d'euros
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Ségolène Royal : "Les discussions sont toujours en cours avec les sociétés d'autoroutes"
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Jean-Christophe Cambadélis : "Jean-Marie Le Pen dit tout haut ce que beaucoup pensent au FN"
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Juliette Méadel (PS): « Il y a un besoin de stabilité en France »
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Libé - La ligne de Hollande est politiquement mortelle Michel WIEVIORKA Sociologue, administrateur de la Fondation maison des sciences de l’homme (FMSH) et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Le Parti socialiste, ce «grand corps malade» dont Bernard-Henri Lévy appelait la disparition «au plus vite» en 2009, est-il entré en phase terminale ? Manuel Valls avait-il raison d’en envisager la mort en juin - «nous sentons bien, disait le Premier ministre, que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut-être même d’un cycle historique pour notre parti» ?
Les trois dernières élections, et surtout la plus récente, les départementales, font apparaître plus qu’une usure : un rejet, de la part des électeurs, un désir ou bien de se détourner de la gauche au pouvoir, ou bien de la sanctionner. Mieux : de la punir. Le FN n’est plus seulement une force protestataire, il s’enracine, et si les travaux de géographie politique montraient, depuis quelques années, sa progression en zones rurales et périurbaines, il faut prendre acte d’un phénomène plus récent : sa progression dans les grandes villes, son installation institutionnelle qui lui permet de construire un appareil. Quand ils ne désertent pas le vote, conférant un sens à la pratique de l’abstention, les déçus de la gauche sont nombreux à voter pour le FN, et cette déception tend à devenir structurelle.
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Ça Vous Regarde - Le débat : Valls touché par les motions ?
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Eduardo Rihan Cypel, invité de Guillaume Durand avec LCI
Eduardo Rihan Cypel, invité de Guillaume Durand... par radioclassique -
L'Obs, Jacques Rancière - "Les idéaux républicains sont devenus des armes de discrimination et de mépris"
Le philosophe Jacques Rancière analyse le rôle des intellectuels et de la gauche dans l'essor du FN. Entretien.
L’OBS Il y a trois mois, la France défilait au nom de la liberté d’expression et du vivre-ensemble. Les dernières élections départementales ont été marquées par une nouvelle poussée du Front national. Comment analysez-vous la succession rapide de ces deux événements, qui paraissent contradictoires?
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Non Fiction - La fin du principe de précaution ?
Résumé : Le sociologue Gérald Bronner déconstruit les discours apocalyptiques qui font de l’Homme le responsable de tous les maux de la planète.
Sans l’idéalisme d’un misanthrope qui se désespère de ses semblables, certains de nos contemporains éprouvent une aversion pathologique pour leur espèce. Dans des œuvres de fiction comme dans des travaux scientifiques éminents, ils prophétisent la disparition prochaine de l’Homme par faute de son inconséquence. Apprenti-sorcier d’une technologie qu’il maîtrise à peine, fossoyeur d’une nature qu’il ne méprise que trop, l’Homme est selon eux responsable de sa propre fin. Aux devants de cet argumentaire qu’il estime infondé, Gérald Bronner indexe là une névrose, voyant en elle l’expression populaire d’une idéologie bien plus insidieuse que les faits qu’elle dénonce : l’idéologie de l’intimidation.
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Les 4 vérités : Benoît Hamon