Carvounas : «Nous avons invité ceux qui n'ont... by lefigaro
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Henri Emmanuelli: «Le travail du dimanche, je peux voter contre»
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Pourquoi la lune de miel Gattaz - Macron est terminée - L'Obs
Pourquoi la lune de miel Gattaz - Macron est... by LeNouvelObservateur -
Hugues Fourage dénonce l'ingratitude des organisations patronales - Groupe SRC
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La guerre est-elle déclarée entre les patrons et la gauche ? L'Obs
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Le PS à la recherche de l'unité - Challenges
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Manuel Valls prépare son avenir, France Info
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Observatoire des inégalités - Revenus : les pays pauvres rattrapent-ils les pays riches ?
25 novembre 2014 - Depuis le début des années 2000, les revenus par habitant augmentent davantage au sein des pays pauvres que dans les pays riches. Pour autant, un certain nombre de pays restent à l’écart de ce mouvement et les données moyennes sur les niveaux de vie masquent des inégalités énormes.
Évolution des revenus par grandes régions
Le Produit intérieur brut (PIB) annuel par habitant (en parité de pouvoir d’achat) a augmenté de 7,5 % en Amérique du Nord, de 38 900 à 41 800 dollars entre 2001 et 2011, et de 11,2 % dans l’Union européenne, de 25 200 à 28 000 dollars. Ces deux régions restent les plus riches du monde. Mais l’écart ne s’accroît plus avec les autres régions.
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Observatoire des inégalités - Niveaux de vie : la plupart des Français ne savent pas se situer
18 novembre 2014 - 19 % des Français surestiment leur niveau de vie et 36 % le sous-estiment. Il n’est pas toujours facile de se situer sur l’échelle des revenus.
55 % des Français se positionnent mal sur l’échelle des revenus : 19 % surestiment leur niveau de vie et 36 % le sous-estiment, indique une étude de l’Insee [1]. Si l’on découpe la population en trois tranches égales de revenus mensuels perçus [2], seul un cinquième du tiers le plus aisé s’auto-positionne correctement, parmi les 33 % les plus riches (plus de 2 040 euros par mois).
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Kalfon : «Le Front national a inventé une sorte de xénogauchisme» Lefigaro.fr
Kalfon : «Le Front national a inventé une sorte... by lefigaro -
OFCE - De la difficulté de mener des réformes structurelles en période de chômage élevé par Sabine Le Bayon, Mathieu Plane, Christine Rifflart, Raul Sampognaro
28 novembre 2014
Les réformes structurelles visant à flexibiliser le marché du travail sont souvent parées de toutes les vertus pour lutter contre le chômage de masse et limiter la segmentation du marché du travail entre ceux qui y sont intégrés dans des contrats stables (insiders) et ceux qui sont au chômage ou en contrat précaire (outsiders). Si, dans une économie en croissance, ces mesures peuvent faciliter les créations d’emplois au profit des outsiders, les résultats à en attendre peuvent être plus incertains en situation de chômage de masse et de croissance atone. En effet, les réformes structurelles peuvent réduire la dualité du marché du travail liées aux mesures réglementaires mais elles ne peuvent combattre la dualité du marché du travail inhérente au capital humain qui se renforce en période de chômage de masse : à qualification égale, c’est l’expérience qui fait la différence, et à expérience égale, c’est la qualification qui fait la différence. Le chômage élevé renforcerait donc le phénomène de « file d’attente » pour accéder aux emplois plus stables. Ainsi, les réformes structurelles visant à fluidifier le marché du travail affecteront prioritairement les salariés qui ont les qualifications et l’expérience les moins élevées sans pour autant permettre aux outsiders d’accéder à une situation professionnelle plus stable. De ce fait, une hausse des inégalités entre les actifs est à attendre, sans effet positif sur l’emploi du fait de la faiblesse de l’activité économique. Seul un pilotage macroéconomique intégrant l’objectif du retour au plein-emploi pourrait rendre les réformes structurelles performantes
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