Harlem Désir à Jarnac pour la commémoration du... par PartiSocialiste
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Antisémitisme: «le combat n'est pas qu'administratif, il est politique, éducatif»
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Spectacle de Dieudonné: "Nous avons gagné le combat politique de la mobilisation", déclare Valls - 09/01
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"Manuel Valls a choisi de mener la guerre à Dieudonné"
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«Le centenaire de la Première guerre mondiale, un rendez-vous que nous avons avec l'Histoire»
«Le centenaire de la Première guerre mondiale... par Matignon -
Geneviève Fioraso : « Je crois que l’on n’est pas dans ce genre de contexte... »
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Le Monde - La loi de programmation militaire du gouvernement n'est pas liberticide
Par Jean-Jacques Urvoas (Président de la commission des lois de l'Assemblée nationale (député du Finistère)) et Jean-Pierre Sueur (Président de la commission des lois du Sénat (sénateur du Loiret) )
Grâce à la loi de programmation militaire (LPM), les géants de l'internet auront réussi à faire oublier leurs errements dans l'affaire PRISM, les liens qu'ils nourrissent avec la NSA ainsi que leur faible intérêt pour la protection des libertés individuelles. En effet, ils se sont appliqués à alimenter une polémique injustifiée autour de l'article 13 (devenu l'article 20) permettant aux services de renseignement d'accéder aux données techniques de connexion (y compris en temps réel) de personnes suspectées de mettre en danger la sécurité nationale, de pratiquer l'espionnage, de concevoir des projets terroristes, d'appartenir à des réseaux de criminalité organisée ou à des mouvements visant à renverser la forme républicaine des institutions.
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Peillon : "nous avons rattrapé 23.000 décrocheurs"
Peillon : "nous avons rattrapé 23.000 décrocheurs" par Europe1fr -
Anne Hidalgo est l'invitée politique de "Tirs Croisés"
Anne Hidalgo est l'invitée politique de "Tirs... par AnneHidalgo -
«Il y a un bashing que je n'accepte pas: c'est celui de la France»
«Il y a un bashing que je n'accepte pas: c'est... par Matignon -
OFCE - Au royaume des aveugles, les Irlandais sont-ils les rois ?
7 janvier 2014
par Christophe Blot
Le 15 décembre 2013, l’Irlande est sortie du plan d’aide de 85 milliards d’euros accordé en novembre 2010 par le FMI et l’Union européenne. Cette annonce a deux conséquences directes. D’une part, le gouvernement irlandais, ne recevant plus de financement de ces deux institutions, devra couvrir l’intégralité de ses besoins de financement sur les marchés financiers. La baisse significative des taux d’intérêt souverains, en particulier au regard des taux en vigueur sur les dettes portugaises, espagnoles ou italiennes (graphique 1), montre que cette sortie du plan de sauvetage se fera sans surcoût. En effet, le taux de marché est aujourd’hui équivalent à celui payé par le gouvernement en contrepartie des 85 milliards d’euros d’aide reçue. Le gouvernement irlandais n’avait d’ailleurs pas attendu la fin de l’aide internationale pour réaliser, avec succès, des émissions obligataires
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