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Vallini : "François Hollande ne gouverne pas aux sondages"
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Telos - Le mythe de l’État PS, Hervé Joly
6 février 2013
La polémique enfle ces derniers jours : François Hollande renierait sa promesse d’être un président impartial, et multiplierait les nominations très politiques à la tête d’organismes publics. Qu’en est-il réellement ?
La plus sensible de ces nominations est sûrement celle de l’ancien directeur du cabinet de Lionel Jospin à Matignon à la tête du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). La parfaite symétrie avec son prédécesseur, ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre Raffarin, nommé en janvier 2007 par Jacques Chirac, ne ferait qu’illustrer la continuité des pratiques entre l’État UMP et l’État PS. Sont également citées la désignation de Jack Lang à la présidence de l’Institut du monde arabe, celle d’un autre ancien député socialiste à la tête de la Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), tous deux à la place d’anciens députés UMP.
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Bourdin Direct : Michel Sapin
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Observatoire des inégalités - 2008-2011 : premières estimations de l’impact de la crise sur les revenus
Un gain de revenu de 7 900 euros pour les 1 % les plus riches entre 2008 et 2011 contre une perte de 24 euros pour les 5 % les plus pauvres. La crise frappe bien davantage les ménages les plus pauvres que les autres.
Entre 2008 et 2011, selon les données Eurostat, le seuil des 5 % [1] a vu son revenu stagner (- 24 euros et - 0,3 %) [2]. Cela signifie que le pouvoir d’achat des plus défavorisés a subi une baisse de l’ordre de 6 % compte tenu de la hausse des prix au cours de la période. A l’opposé, le revenu des 1 % les plus aisés a progressé de 7 900 euros, soit + 9,7 % ; son pouvoir d’achat a donc continué à augmenter (+ 3 %) en dépit du ralentissement économique. Le revenu médian s’est accru de 1 000 euros sur l’année et le seuil des 10 % des plus riches de 2 000 euros ; en pourcentage, l’augmentation des revenus est assez similaire pour ces deux tranches de revenu, légèrement supérieure à 5 %, un niveau équivalent à la hausse des prix, soit une stagnation du pouvoir d’achat.
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