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  • Telos - A quoi sert Twitter ? Monique Dagnaud

    Moins d’un cinquième des internautes a un compte Twitter : les usagers sont plutôt jeunes, plutôt masculins et souvent urbains. Sa fréquentation est somme toute modeste comparée à Facebook qui aligne autour de 80 %  de comptes pour les 18-29 ans aux Etats-Unis et en France. Son originalité, c’est d’être d’abord pratiqué « en tâche de fond » par des individus travaillant dans les métiers du symbolique (communication, média, marketing…), qui assurent une bonne partie du trafic. Les inscrits à Twitter (twittos) englobent certes un scope social plus large et qui ne cesse de se diversifier : selon une étude ComScore, les 15-24 ans et les plus de 55 ans  sont de plus en plus séduits par ce service de micro-blogs. Mais la majeure partie des comptes est passive : beaucoup d’abonnés se contentent d’observer les flux d’échanges ou ne circulent pas sur le fil. Comme tous les réseaux, Twitter se caractérise par l’inégale participation de ses adhérents, et donc par un modèle communicationnel fortement asymétrique. Qu’observe-t-on ?

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  • "Policlic", le portrait numérique de la sénatrice Laurence Rossignol


    "Policlic", le portrait numérique de la... par publicsenat

  • Telos - Il y a le feu dans la maison Europe, Gérard Grunberg

    Le Front national a manqué de peu de remporter l’élection législative partielle de la deuxième circonscription de l’Oise. Avec 48,6% des suffrages exprimés au second tour contre 26,6% au premier tour, sa candidate a presque doublé ses voix face à un candidat UMP sortant, passant de 7249 à 13190. Il s’agit là d’un phénomène électoral inédit et de première importance, même si certains voudront se rassurer en constatant que l’abstention a été de près des deux tiers des inscrits et que la personnalité du député sortant était très controversée. Au même moment, le co-président du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, soutenant l’un de ses proches, François Delapierre, qui avait traité « les 17 de l’Eurogroupe » de « salopards », précisant qu’il incluait bien le ministre de l’Economie et des Finances français dans ce nombre, estimait qu’il fallait appeler « un chat un chat et un salopard un salopard ». Surtout il accusait Pierre Moscovici d’avoir « un comportement de quelqu'un qui ne pense plus en français, qui pense dans la langue de la finance internationale ». Un relent des années Trente a alors empuanti notre atmosphère politique.

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  • Chômage : qui est touché par la crise ?

    le 26 mars 2013

    25 % des jeunes, 16 % des non diplômés sont au chômage. La crise frappe de plein fouet ces catégories de la population même si les plus âgés, les plus diplômés, ne sont pas épargnés.

    Entre mai 2008 et décembre 2012, le nombre de demandeurs d’emploi [1] est passé de 3 à 4,6 millions, soit + 50 %. La hausse a été particulièrement vive entre mi- 2008 et mi-2009 : en une seule année, on a compté 700 000 chômeurs de plus. L’évolution est similaire à ce que la France avait enregistré au début des années 1990.

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  • Le Huffington Post - Hollande, la crise, le cap et la boîte à outils par Laurent Bouvet Professeur de science politique à l’UVSQ

    La chose était entendue avant même d'avoir commencé : "les Français" n'attendaient rien de l'entretien télévisé de leur président hier soir. Sur ce point, ils n'ont pas été déçus. Ce qui est déjà, compte tenu du contexte général, un point positif pour le chef de l'Etat.

    Le président de la République a pourtant fait quelques annonces : la taxation à 75% passera par les entreprises, le budget de la défense est sanctuarisé pour l'année prochaine, la durée de cotisation pour la retraite sera sans doute encore augmentée, les allocations familiales diminueront mais ne seront pas fiscalisées, la PMA et la GPA ne seront pas mises en œuvre, le "choc de simplification" administratif permettra des économies, la loi sur la laïcité devra être changée... Il n'y avait pas "rien" dans cet entretien, contrairement à ce que l'on a pu lire chez certains commentateurs.

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  • Libé - Le cumul des mandats dans le temps : la «dé-démocratie»

    Par Laurent Chapuis Professeur agrégé de philosophie

    C’est un fondement théorique absolu des sciences politiques et de la philosophie politique depuis Rousseau : la démocratie implique l’identité de celui qui décide et de celui pour qui vaut la décision. Le supérieur doit être un semblable. En quoi ? Il décide aujourd’hui, il obéira demain. J’obéis aujourd’hui, mais je déciderai demain. Le contrat n’est pas que social, il est temporel. Quel est le risque, si ce n’est pas le cas ? Si ce n’est pas le cas, la décision change de nature, elle n’est plus démocratique. Et se retrouvent mises en place les catégories de dominants (ceux qui prennent les décisions et, dans la plupart des cas, pour leurs concitoyens) et de dominés (ceux pour qui valent les décisions et qui ne les prennent jamais). Ce couple dominant - dominé est ce qui fait les beaux jours des contestataires de toutes sortes. Pourquoi la démocratie est-elle le meilleur régime ? Parce qu’elle le dissout.

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  • OFCE - Chypre : un plan bien pensé, un pays ruiné… par Anne-Laure Delatte et Henri Sterdyniak

     

    28 mars 2013

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  • Débat Décentralisation : Place et compétences de la Région


    Débat Décentralisation : Place et compétences... par groupepsrhonealpes

  • Débat Décentralisation : présentation générale


    Débat Décentralisation : présentation générale... par groupepsrhonealpes

  • Decentralisation : le groupe de travail régional


    Decentralisation : le groupe de travail... par groupepsrhonealpes

    Ce matin en Assemblée plénière, les élus régionaux vont débattre du projet de loi de décentralisation pour amener leur contribution au débat national. Jean-François DEBAT, Vice-président délégué aux finances et à la décentralisation, Rapporteur général du budget et du contrat de projets Etat-Région, a animé le groupe de travail sur la décentralisation regroupant tous les groupes politiques. Il revient pour nous sur la genèse de ce débat et sur le besoin d’un acte de décentralisation qui soit à la fois cohérent et représentatif de nos territoires

  • Observatoire des inégalités - Les travailleurs pauvres en France

    le 26 mars 2013

    On compte entre un et deux millions de travailleurs pauvres en France selon les définitions. Même en utilisant la définition la plus restrictive, on compte presque deux millions de personnes qui vivent avec environ 800 euros par mois.

    Les travailleurs dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté

    Un million de personnes exercent un emploi mais disposent, après avoir comptabilisé les prestations sociales (primes pour l’emploi, allocations logement, etc.) ou intégré les revenus de leur conjoint, d’un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté, fixé à la moitié du revenu médian [1]. Elles sont 1,925 million si l’on prend en compte le seuil à 60 %. Le nombre de travailleurs pauvres a grossi de 83 000 personnes entre 2003 et 2010 au seuil de 50 %, de 154 000 au seuil de 60 % du revenu médian. Il est d’ailleurs possible que ces chiffres aient progressé avec l’accentuation de la crise.

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