Mercredi 2 octobre 2024, Patrick Kanner répondait à la déclaration de politique générale du Premier ministre Michel Barnier au Sénat.
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2 oct. 2024
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Déclaration de politique générale de Michel Barnier : Boris Vallaud répond au Premier ministre
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Le Grand Continent - Au Mexique, Claudia Sheinbaum au défi de « l’État d’AMLO »
Pour théoriser son hégémonie sur la politique mexicaine, le président López Obrador avait une formule-choc : « changement de régime ».
Dans un peu moins de deux semaines, la nouvelle présidente mexicaine Claudia Sheinbaum lui succèdera — mettant fin à une ère caractérisée par des transformations profondes de la démocratie et de l’État mexicain.
Humberto Beck tire un premier bilan de l’obradorismo.
_____________________e 1er octobre prochain, Andrés Manuel López Obrador (AMLO) — le premier président de gauche démocratiquement élu de l’histoire du Mexique — remettra l’écharpe présidentielle à sa successeure Claudia Sheinbaum, ancienne cheffe du gouvernement de la ville de Mexico et l’une des figures politiques les plus proches du président. Bien que, depuis sa fondation en 2014, le Mouvement de régénération nationale (Morena), le parti auquel les deux appartiennent, se soit présenté comme un « parti-mouvement » qui donnerait une voix aux groupes marginalisés par les processus de modernisation au Mexique, Morena a surtout constitué le véhicule de la mobilisation électorale de l’obradorismo — le courant politique organisé autour du leadership charismatique de López Obrador. e 1er octobre prochain, Andrés Manuel López Obrador (AMLO) — le premier président de gauche démocratiquement élu de l’histoire du Mexique — remettra l’écharpe présidentielle à sa successeure Claudia Sheinbaum, ancienne cheffe du gouvernement de la ville de Mexico et l’une des figures politiques les plus proches du président. Bien que, depuis sa fondation en 2014, le Mouvement de régénération nationale (Morena), le parti auquel les deux appartiennent, se soit présenté comme un « parti-mouvement » qui donnerait une voix aux groupes marginalisés par les processus de modernisation au Mexique, Morena a surtout constitué le véhicule de la mobilisation électorale de l’obradorismo — le courant politique organisé autour du leadership charismatique de López Obrador. -
Observatoire des inégalités, Fabrice Raffin - Les politiques culturelles, déconnectées, excluent trop souvent les catégories populaires
Les politiques culturelles imposent un modèle dominant de la culture qui exclue trop souvent les catégories populaires et moyennes. C’est l’un des facteurs du rejet actuel du politique et des partis traditionnels. Le point de vue de Fabrice Raffin, sociologue, maître de conférences à l’université de Picardie Jules Verne, adapté d’une tribune initialement parue dans le journal Le Monde.
Les politiques publiques du domaine de la culture en France sont fondées sur des principes généreux d’éducation et d’émancipation. Le problème, pour ceux qui – professionnels de la culture en tête – placent en elles de tels espoirs, est qu’elles produisent au bout du compte surtout des effets de domination et d’exclusion.
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