Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • BFM - Selon Hamon, le PS aurait perdu la présidentielle "quelle que soit l'identité du candidat"

    Le fondateur du "mouvement du 1er juillet" estime que sa défaite lors de l'élection présidentielle s'explique par "la fin de cycle" du Parti socialiste. 

  • OFCE - « Emplois francs » : que faut-il en attendre ?

    29 juin 2017

    par Paul Bauchet et Pierre Madec

    Dans le programme présidentiel d’Emmanuel Macron figurait une mesure visant à baisser le coût du travail pour les entreprises embauchant, en CDI ou en CDD, un habitant des quartiers dits prioritaires : « Lorsqu’une entreprise, où qu’elle soit située, embauchera un habitant des quartiers prioritaires de la politique de la ville en CDI, elle bénéficiera d’une prime de 15 000 euros, étalée sur les trois premières années : ce sera comme si elle ne payait plus de charges. En CDD, la prime sera de 5 000 euros sur les deux premières années ». L’objectif affiché de la mesure est de 150 000 contrats signés pour un budget prévu de 1 milliard d’euros par an.

    Bien que les contours de la mesure ne soient pas tout à fait identiques, le dispositif « d’emplois francs » a pour la première fois été mis en place sous le mandat de François Hollande. Le diagnostic posé sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville est en effet ancien. Avec une population plus pauvre, plus jeune, moins diplômée et plus enclavée, ces quartiers sont davantage exposés au chômage. Avant la réforme du zonage de la politique de la ville menée en 2014, les quartiers prioritaires, alors nommés Zones Urbaines Sensibles (ZUS), enregistraient un taux de chômage deux fois et demi supérieur au taux national et un taux de pauvreté trois fois supérieur (ONZUS, 2014). Malgré leur population plus jeune, le chômage de longue durée y était sur-représenté (+9,4 points de pourcentage de plus que la moyenne nationale hors ZUS)) (graphique 1).

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Observatoire des inégalités - Le nombre d’allocataires de minima sociaux baisse enfin

    4 juillet 2017 - Quatre millions de personnes sont allocataires de minima sociaux, dont 1,8 million touchent le RSA. Avec les ayants droit, un peu plus de six millions de personnes vivent de ce type de prestations. Ces chiffres sont en baisse depuis fin 2015, pour la première fois depuis 2008.


    1,8 million de personnes percevaient le RSA socle (voir encadré) fin 2016. Elles sont 500 000 de plus qu’en 2008, soit une hausse de 39 % sur l’ensemble de la période. Mais depuis la fin 2015, ce nombre baisse. Au cours de l’année 2016, on a enregistré 82 000 allocataires de moins, soit une baisse de 4,3 %. De la même façon que la hausse du nombre d’allocataires avait progressé sous l’effet de la montée du chômage, la reprise du marché du travail se traduit au niveau des minima sociaux.

    Lire la suite
    __________________
    __________________