Lâché par Manuel Valls, le candidat socialiste à la présidentielle a tout de même reçu le soutien de quelques ténors de son parti. Pas sûr que cela le réconforte.
S’il est bon de se sentir soutenu dans la course à l’Elysée, il est des « alliés » au franc-parler assassin dont on se passerait bien… La preuve par cinq.
Soutien officiel de Benoît Hamon, Arnaud Montebourg qui l’accompagnait au Creusot, en Bourgogne, est arrivé en retard. Avant de rapidement quitter les lieux. Dans l’intervalle, l’ancien candidat de la primaire à gauche a fait observer que, si lui avait gagné, le PS n’en serait pas là : « Ça n’aurait pas été la même chose, j’avais un programme qui permettait de trianguler Macron… »