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L'actualité des socialistes du 31 mars au 6 avril (revue de presse hebdomadaire)

A LA UNE

Huffington Post - Élection présidentielle 2017: le point sur tous les sondages grâce à notre compilateur

La semaine qui s'est écoulée a confirmé les tendances pressenties ces dernier jours avec, notamment, une nette progression de Jean-Luc Mélenchon.

Libé - Les chercheurs «au cœur de la machine» de Hamon

Face à «l’urgence démocratique», des universitaires, qui s’étaient éloignés du PS, s’investissent dans la campagne et voient leurs idées hissées au niveau national. Sans toujours parvenir à faire partager leur enthousiasme.

Slate - La sociologie sème le doute sur une victoire finale de Macron

Le profil sociologique de l'électorat Macron est le symétrique presque parfait de celui de Le Pen: aisé, cadre, éduqué, urbain. Devenu le candidat du «cercle de la raison», l'ancien ministre de l'Economie risque dés lors d'affronter un second tour difficile avec la candidate d'extrême droite.

Le Monde - Requiem pour le Parti socialiste

Editorial. Le soutien apporté, mercredi, par Manuel Valls à Emmanuel Macron n’est que le dernier épisode d’une crise beaucoup plus grave qui touche un parti incapable d’inventer une synthèse mobilisatrice.

Editorial du « Monde ». Chef des socialistes pendant onze ans et chef de l’Etat depuis cinq ans, François Hollande laissera-t-il le PS dans l’état où François Mitterrand l’avait trouvé au début des années 1970 ? C’est-à-dire un parti en miettes, sans leader, sans projet, sans stratégie et sans alliés ? Un parti en fin de cycle, voire en fin de vie ? On en prend tout droit le chemin.
 
SYRIE
 
 
Benoit Hamon, candidat du Parti socialiste à la présidentielle, a jugé vendredi Bachar Al Assad "directement responsable de la riposte qui a été décidée par les État-Unis", au sujet des frappes menées en Syrie par l'aviation américaine.
 
PS
 

Jean-Christophe Cambadélis a décidé de saisir la commission des conflits du parti pour étudier le cas des élus apportant leur soutien à un autre candidat à la présidentielle que Benoît Hamon.

Ouest-France - Jean-Christophe Cambadélis prédit la fin du Parti socialiste d’Épinay

Malgré les départs vers Emmanuel Macron, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, ne croit pas à la disparition de son parti. Mais il estime que le prochain congrès marquera « la fin du cycle d’Épinay ouvert par Mitterrand en 1971 ». Entretien.

Boursier - Pas de "Saint-Barthélemy des socialistes", dit Cambadélis

PARIS (Reuters) - Il n'est pas question pour l'instant d'exclure du Parti socialiste Manuel Valls, qui votera Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle, déclare le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, samedi dans un entretien à Ouest-France.

HISTOIRE

France Inter - 1969 : des socialistes choisissent un centriste pour l'élection présidentielle

Le socialiste Deffere à 5%, le communiste Duclos à 21%, le centriste Alain Poher et Pompidou au second tour, la gauche éliminée dès le premier : ça vous rappelle quelque chose ?

RENOUVELLEMENT

Slate - Sommes-nous à la veille d'un renouvellement sans précédent de la classe politique?

Il y a la crise politique conjoncturelle bien sûr, liée au quinquennat Hollande et à la multiplication des affaires. Pour autant, faut-il y voir un mouvement de fond? Les législatives de juin pourraient en être la confirmation.

Une page se tourne à l’hémicycle. Au revoir, Claude Bartolone. Au revoir Noël Mamère, Patrick Balkany, Patrick Devedjian, Carole Delga, Ségolène Royal, Michel Sapin, Jean-Marc Ayrault, Bernard Cazeneuve et compagnie. La situation est sans précédent sous la Ve République. Ministres actuels et élus de toute part ont décidé de dire adieu à la chambre basse du Parlement. Figures politiques majeures comme anonymes. Députés aux huit mandats ou au mandat unique. Socialistes, en masse, mais aussi du parti Les Républicains (LR).

STATISTIQUE

OFCE - Statistique publique : une révolution silencieuse par Pierre Madec et Xavier Timbeau

Parfois des révolutions se produisent sans que personne ne s’en rende vraiment compte. L’été dernier, l’INSEE et la DREES ont mis en accès libre, sous la licence CeCILL, leur modèle de microsimulation de la législation socio-fiscale : INES. Développé depuis plus de 20 ans, ce modèle représente une grande partie de la fiscalité et des prestations en espèces du système redistributif français. Couplé à une base de données qui donne une information annuelle précise sur plus de 50 000 ménages représentatifs (130 000 individus), le but premier de ce modèle est de simuler l’effet de la fiscalité et des prestations sur la population française.

MELENCHON

Marianne - Jean-Luc Mélenchon : ce qu'il a vraiment dit sur la Russie, Poutine et la Syrie

Distancé par Jean-Luc Mélenchon dans les sondages, Benoît Hamon tente le tout pour le tout en reprenant le refrain d'une supposée fascination du candidat de la France Insoumise pour Vladimir Poutine. Voici ce qu'il en est.

SONDAGES

France Info - Présidentielle : Benoît Hamon dévisse, Jean-Luc Mélenchon poursuit sa lancée

En direct sur le plateau de France 2, Jean-Baptiste Marteau, fait le point sur le dernier sondage concernant les intentions de vote à la présidentielle.

Ouest France - Présidentielle. Sondage : Mélenchon talonne Fillon, Hamon sous les 10 %

Un sondage Ifop-Fiducial diffusé ce mercredi donne toujours Marine Le Pen et Emmanuel Macron en tête des intentions de vote, malgré une légère baisse. Derrière, Jean-Luc Mélenchon se rapproche de François Fillon.

Avec 25 % (-0,5) d'intentions de vote, Marine Le Pen est au coude-à-coude avec Emmanuel Macron, à 24,5 % (-1,5).

Rolling Les Echos

Rolling Paris Match

MACRON

Le Monde, Les décodeurs - Son action de ministre, ses projections économiques, le charbon allemand… les approximations de Macron

Retour sur les principales erreurs et approximations d’Emmanuel Macron, invité de l’Emission politique jeudi 6 avril sur France 2.

Invité de l’Emission politique sur France 2, jeudi 6 avril, à presque deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, l’ancien ministre de l’économie de François Hollande et candidat du parti En marche ! a défendu son programme « de renouveau politique »… au prix de plusieurs approximations.
 

« Un euro cotisé donne lieu aux mêmes droits pour tous. » Le candidat d’En marche ! est le seul de la campagne à proposer un système de retraite dit « par points ». De quoi s’agit-il ?

Les candidats rivalisent de mesures sur le système de retraite. Partir plus tôt pour Jean-Luc Mélenchon, plus tard pour François Fillon, donner des trimestres au conjoint pour Benoît Hamon… Les propositions sont nombreuses. Pour Emmanuel Macron, pas question de toucher à l’âge de départ à la retraite, ni au montant des pensions. Le candidat d’En Marche ! ambitionne de réformer le système de retraite dans son ensemble et d’instaurer un nouveau régime unique, appelé un peu hâtivement « retraite par points ».

EN CAMPAGNE
 

Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du parti, veut que cet organisme interne statue sur d’éventuelles sanctions pour ceux qui ont lâché le candidat.

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a décidé jeudi soir 6 avril de saisir la commission nationale des conflits, organisme interne du parti, du cas des élus et militants ayant appelé à soutenir ou à voter pour un autre candidat que Benoît Hamon.

Le Monde - Comment le programme de Benoît Hamon a pris des airs de campagne

Au-delà d’une constance indéniable sur ses thèmes majeurs, le candidat PS a multiplié les nouvelles promesses, au gré des opportunités et des actualités de la campagne.

Force est de reconnaître à Benoît Hamon une constance dans ses thèmes de campagne, en particulier sur les points clivants qui le distinguent de ses adversaires à la présidentielle. Taxe sur les robots, reconnaissance du burn-out en maladie professionnelle, revenu universel… Mais le nombre et le contenu de certaines de ces propositions ont considérablement évolué en quelques mois. L’exemple du revenu universel est le plus flagrant : quand sa version initiale, présentée en septembre 2016, évoquait 600 euros par mois pour tous les majeurs, la dernière mouture, du 9 mars, limite le nombre de bénéficiaires et déduit les aides existantes du dispositif (et, le 30 mars, Benoît Hamon a évoqué sur France Info la possibilité d’un revenu universel à 400 euros).
 
 
Alors que Benoît Hamon est tombé sous les 10% d’intention de vote, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a lancé jeudi un appel en forme de SOS à serrer les rangs derrière le candidat socialiste à la présidentielle.
 
 
Quand ça ne veut pas… A dix-huit jours du premier tour de la présidentielle, la campagne de Benoît Hamon reste encalminée dans le marasme. Malgré une prestation plus qu’honorable mardi lors du grand débat sur BFMTV-RMC, le candidat du PS ne voit toujours pas le bout du tunnel dans les sondages. Il ne récolte désormais plus que 9% d’intentions de vote (-1 point) dans le dernier sondage Elabe pour BFMTV et L’Express paru ce mercredi soir.
 

En meeting à Nancy mercredi 5 avril, le candidat socialiste à la présidentielle a regretté le « court-termisme dans cette campagne ».

« J’ai eu l’impression d’être dans une lessiveuse. » En meeting à Nancy mercredi 5 avril, le candidat socialiste Benoît Hamon a regretté le « court-termisme dans cette campagne » et refusé d’arrêter de « rêver », confiant de pouvoir convaincre les indécis à moins de vingt jours du premier tour.
 
 
«Il ne manquera pas à sa famille politique». Michel Sapin a annoncé jeudi matin qu’il votera pour Benoît Hamon. «Le candidat de mon parti est Benoît Hamon, je voterais donc Benoît Hamon au premier tour » de la présidentielle, a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances, interviewé sur BFMTV. Le patron de Bercy émet toutefois quelques réserves par rapport au vainqueur de la primaire de la Belle Alliance populaire.
 
 
Les soutiens du candidat socialiste ne parviennent pas à dissuader les électeurs de gauche qui choisissent Macron pour éviter un second tour Le Pen-Fillon.
"C'est une campagne difficile, n'ayons pas peur de le dire." La petite phrase, lâchée par Christian Eckert en ouverture du meeting de Benoît Hamon à Nancy (Meurthe-et-Moselle), mercredi 5 avril, en dit long sur le moral des troupes. Outre le secrétaire d'Etat au Budget, régional de l'étape, il y a là, pour soutenir le candidat socialiste à la présidentielle, la Mosellanne Aurélie Filippetti, beaucoup d'élus locaux et aussi Cécile Duflot. Les ténors du PS, eux, se font toujours aussi discrets dans cette campagne qui ne décolle pas.
 

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