« Il n’y a pas le soutien évident de tout le parti », déplore la ministre de l’éducation dans un entretien au « Parisien dimanche ».
A l’aube de l’élection présidentielle, la situation du Parti socialiste est délicate. Peut-être pire qu’en 2007. Tel est le constat que dresse la ministre de l’éducation, Najat Vallaud-Belkacem, dans un entretien au Parisien dimanche, du 26 février.