Les désaccords sur le revenu universel, la réforme fiscale ou la politique internationale empêchent tout rapprochement entre les deux candidats.
Le rapprochement évoqué entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon depuis la victoire de l’ancien ministre de l’éducation à la primaire à gauche, le 29 janvier, semble de plus en plus improbable au fil des semaines. Les points d’accord sur l’opposition au CETA (accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada) ou sur la transition écologique ne suffisent pas à masquer les divergences, importantes, qui séparent le candidat du Parti socialiste de celui de La France insoumise.