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Le plus vertigineux dans «Baron noir», c'est que tout était vrai

C’est une œuvre d’art et de vertige qui aura tiré sa révérence, lundi 29 février, avec la diffusion sur Canal+ des deux derniers épisode de Baron noir, cette fiction politique où tout est vrai. On a attendu la fin de la saison 1 pour le dire, parce que spoiler est une méchanceté facile, mais enfin, voici: tout est vrai, et là est le vertige. Tout est vrai ou plutôt, tout est traçable, compréhensible, tout ce qui trame l’odyssée de Philippe Rickwaert, député et maire de Dunkerque qui va passer huit heures de feuilleton à éviter la prison et la honte pour y aboutir finalement, ayant au passage fait tomber un président de la République, Francis Laugier, qui avait été son ami… Tout ce qui trame cette odyssée, donc, exception faite de sa conclusion provisoire –un président français poussé à la démission, hérésie ou rêve fantasmatique des journalistes– est une transposition de la simple vérité.

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