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ultra gauche

  • Fondation Jean Jaurès - « Ultra-gauche » : esquisse de généalogie d’un courant politique radical

    Le terme même, « ultra-gauche », comme « gauchisme » auparavant, présente la particularité d’être une catégorie largement exogène, forgée et assignée par des acteurs extérieurs et souvent hostiles aux positions ainsi désignées. Qu’il s’agisse de concurrents politiques ou d’agents des forces de l’ordre, à bien des égards il s’agit d’un concept « policier », au sens que Jacques Rancière donne à la « police » : l’activité de gestion hétéronome du social par la catégorisation et l’assignation des places et des activités légitimes – ou, dans ce cas, illégitimes[1]. Il n’est donc pas étonnant que ses acteurs ne l’utilisent que de façon marginale, et lui préfèrent d’autres dénominations, d’ailleurs diverses : « gauche communiste », « communistes révolutionnaires », « communistes des conseils », « conseillistes », « marxistes libertaires », « communistes libertaires », « situationnistes », « autonomes », etc.

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  • Fondation Jean Jaurès - Zadistes, Black Bloc, qu'est-ce que l'ultra-gauche en France ?

    Souvent évoquée, rarement analysée, l'ultra-gauche inquiète autant qu'elle intrigue. Au moment où le gouvernement fait le choix d'évacuer un certain nombre de "Zad", l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès dresse la cartographie de l'ultra-gauche avec des experts reconnus. Interviennent lors de cette rencontre : 
    - Guillaume Origoni, membre de l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès,
    - Isabelle Sommier, professeure de sociologie à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne,
    - Tomas Statius, journaliste à Street Press,
    - Audric Vitiello, maître de conférences en science politique à l' université François-Rabelais de Tours. Le débat est animé par Abel Mestre, journaliste au Monde.