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"Ma porte est ouverte au rassemblement", Anne... par FranceInfo
Olivier Dussopt présente le premier volet de la... par GroupeSRC
Depuis les "printemps arabes", l'islam politique est remis en question par la révolution, la guerre civile et la fronde populaire. Le projet de construction d'une société régie par les préceptes de l'islam est en pleine crise, de la Tunisie à l'Iran. Le président égyptien issu des Frères musulmans vient d'être renversé par les militaires, après des manifestations massives. Au pouvoir depuis dix ans, le régime islamo-conservateur turc fait aussi face à une vague de protestation sans précédent. Le régime fondamentaliste iranien se maintient en dépit d'une sourde contestation. Enfin, la guerre en Syrie tourne au conflit interconfessionnel. L'islam politique peut-il surmonter ces bouleversements ?
Désir : "la gauche doit partir rassemblée aux... par Europe1fr
Implantée depuis 1961, l'usine de Michelin fait partie du paysage jocondien pourtant le 10 Juin au matin la direction du groupe a confirmé la suppression de 730 postes d'ici Mars 2015.
Les salariés du site sont inquiets car la moyenne d'âge à l'usine de Joué est de 52 ans et que plusieurs dizaines d'entre eux travaillaient précédemment à l'usine de Poitiers, fermée en 2006. L'usine a compté jusqu'à 4 000 salariés dans les années 1980. Ils étaient encore 1 200 en 2008, avant un plan social qui a supprimé 340 postes en 2009.
Nous ne perdrons pas de vue que le résultat net opérationnel du groupe auvergnat en 2012 a augmenté de près de 25% pour atteindre 2.4 milliards d'euro.
Nous sommes là pour apporter notre soutien aux michelins et à tous ceux touchés par ce drame
Aimez puis partagez.
https://www.facebook.com/pages/Soutie...és-de-Michelin-à-Joué-Lès-Tours/601033126587209
Par Dominique Plihon (Porte-parole d'Attac France) et Peter Wahl (Président de l'ONG allemande WEED)
La France avait soutenu l'introduction d'une taxe sur les transactions financières (TTF) à l'échelle européenne sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Lorsqu'il était devenu clair que la TTF ne serait pas acceptée par les 27 Etats membres de l'UE – la Grande Bretagne, la Suède et le Luxembourg étaient farouchement contre – un groupe de onze pays, dont l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la France et l'Italie - a choisi la méthode de la "coopération renforcée" pour introduire la taxe en s'appuyant sur le projet de directive de la Commission. Le projet de la Commission n'était certes pas parfait, mais il constituait un pas en avant important, et bénéficiait du soutien de la société civile. La France avait activement soutenu cette initiative. François Hollande s'était énergiquement prononcé pour la TTF dans sa campagne électorale.
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Rédigé par Henri Sterdyniak
Sous la pression des marchés financiers et des institutions européennes, le gouvernement socialiste se juge obligé de présenter en 2013 une nouvelle réforme des retraites. Pourtant, réduire les retraites (ou les prestations familiales) ne devrait pas être aujourd’hui la priorité de la politique économique française : retrouver une croissance satisfaisante, réformer la stratégie macroéconomique de la zone euro, donner une nouvelle impulsion à la politique industrielle française dans le cadre de la transition écologique sont autrement plus pressants. Constituer un comité de hauts fonctionnaires et d’experts est maintenant une pratique courante, pour dépolitiser les choix économiques et sociaux, pour les écarter du débat démocratique, pour n’envisager que des solutions conformes aux exigences européennes. Ainsi, le rapport Moreau, rendu le 14 juin 2013, apparaît-il comme un compromis mou, ne mettant certes pas en cause le système public de retraite, mais l’affaiblissant et ne se donnant pas les moyens d’assurer sa fiabilité sociale.
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