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Actualités socialistes - Page 1896

  • Filippetti: Moustaki "était une figure extrêmement attachante"


    Filippetti: Moustaki "était une figure... par BFMTV

  • Ségolène Royal : «Il faut briser les tabous» de l'Éducation nationale


    Ségolène Royal : «Il faut briser les tabous» de... par lefigaro

  • Telos - France : comment dépenser mieux ? Balázs Égert

    10 mai 2013

    La redistribution des revenus en France est l’une des plus élevée dans la zone OCDE. La France est aussi l’un des rares pays de l’OCDE où les inégalités de revenu après impôts et transferts sont restées globalement inchangées entre 1985 et 2008, et même en légère hausse depuis une décennie. Le système de transferts est en effet la clé de voûte du système de redistribution des revenus en France puisqu’environ 70 % des revenus redistribués transitent par ce canal. Les dépenses sociales - y compris les dépenses publiques consacrées à la famille, les aides au logement et les prestations de chômage, les pensions de réversion et d’invalidité et les politiques actives du marché du travail - représentent 10 % du PIB (hors niches fiscales et sociales), ce qui place la France au septième rang des pays de l’OCDE.

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  • Jack Lang: "Moustaki est une des personnalités phare de la chanson française" - 23/05


    Jack Lang: "Moustaki est une des personnalités... par BFMTV

  • PREUVES PAR 3, Invité : Benoît Hamon


    PREUVES PAR 3, Invité : Benoît Hamon par publicsenat

  • Pouria Amirshahi, député PS de la 9e circonscription des Français établis hors de France


    Pouria Amirshahi, député PS de la 9e... par rfi

  • Fondation Jean Jaurès - Le grand malaise. Enquête sur les classes moyennes

    Les classes moyennes sont-elles au bord de la crise de nerfs ? Dans quelle mesure leur situation, se dégrade-t-elle ? A partir d’une grande enquête de l’Ifop, les auteurs décryptent le grand malaise de ceux qui se vivent comme les perdants de la mondialisation.

    Synthèse :

    Deux ans après une enquête de l’Ifop sur les classes moyennes, alors que la crise s’est durablement installée, la Fondation Jean-Jaurès a souhaité reprendre le pouls de cette catégorie de l’opinion sur le sentiment de « déclassement » qui l’étreint. Jérôme Fourquet en livre les résultats, sans appel : l’ascenseur social fonctionne par le bas, entraînant avec lui les classes moyennes. Si une large majorité de Français continuent de s’identifier aux classes moyennes (48 %) et aux classes moyennes supérieures (11 %), l’appartenance à ce vaste groupe social est en recul par rapport à septembre 2010. La part des catégories les plus modestes, ouvriers et professions intermédiaires, se déclarant appartenir au groupe « classes moyennes » est en net recul. Le poids des classes moyennes « véritables » est passé de 28 % à 20 % quand celui des classes moyennes « inférieures » augmentait de quatre points de 24 % à 28 %. En septembre 2010, 54 % des Français indiquaient qu’ils avaient la possibilité d’épargner de l’argent à la fin du mois, une fois payées toutes les dépenses contraintes ; ils ne sont plus que 47 % désormais. Les classes moyennes véritables se distinguent comme étant le groupe qui, avec les favorisés et aisés, estime le plus que le montant de l’impôt acquitté est élevé. Ce sentiment de se situer juste au-dessus du filet protecteur du modèle social à la française et d’y contribuer fortement sans en percevoir de bénéfices suffisants génère un très puissant rejet de l’assistanat.

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  • Conférence de presse de François Hollande au sommet européen


    EVENEMENT,Conférence de presse de François... par publicsenat

  • Telos - Morale laïque : que c’est flou ! Monique Dagnaud

    7 mai 2013

    Enseigner la morale laïque, qu’est-ce que cela signifie ? Difficile à dire, car règne le flou. À lire le rapport « Pour un enseignement laïque de la morale », se profile en filigrane la volonté d’introduire une profondeur philosophique à l’enseignement de l’éducation civique, en insistant sur les notions de liberté, devoir et bonheur. Autrement dit, il s’agit de mettre en perspective les valeurs qui fondent le vivre ensemble, d’aider à renouer l’individu et le commun ; et ce, au moment où triomphe l’individualisme, où les familles peinent à transmettre les principes de la citoyenneté. À cette visée grandiose et flottante, le ministre de l’Éducation nationale ajoute une ambition : développer chez les jeunes l’autonomie de penser.

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  • Observatoire des inégalités - Le temps partiel subi en France

    27 % des personnes en temps partiel souhaiteraient travailler plus. Essentiellement des femmes. Mais aussi plus de 40 % de jeunes, 37 % d’ouvriers contre 15 % de cadres supérieurs.

    Etat des lieux

    27 % des salariés à temps partiel déclarent vouloir travailler davantage (la définition officielle du temps partiel subi). Mais cette moyenne masque des écarts : le taux atteint 13,7 % chez les femmes cadres supérieurs contre 35,1 % chez les ouvrières. Pour les jeunes, l’intégration dans l’emploi via le temps partiel est très souvent un pis-aller : plus de 40 % des 15-29 ans en temps partiel souhaiteraient travailler davantage. La proportion est encore plus élevée chez les hommes, mais ces derniers ne représentent que 20 % des salariés à temps partiel. Un million de femmes travaillent à temps partiel et déclarent souhaiter travailler plus contre 300 000 hommes.

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  • Arte : La Ve République et ses Monarques (version intégrale)

    En 1958, alors que le pays, pris dans la tourmente de la guerre d'Algérie, se déchire, le président René Coty appelle le "plus illustre des Français", le général de Gaulle, à former un gouvernement. Celui-ci met alors en place la Ve République, régime qui demeure unique au monde et s'appuie sur l'élection du président au suffrage universel. Celui-ci concentre un nombre impressionnant de pouvoirs. Depuis, la France continue, à chaque élection présidentielle, à chercher l'homme providentiel. Dès le début, ce système a suscité de nombreuses critiques, qui ont grandi durant "l'hyperprésidence" de Nicolas Sarkozy et n'ont pas disparu avec la "normalité" prônée par François Hollande.