Bilan culturel de François Hollande, soutien à... par Europe1fr
valls - Page 15
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Bilan culturel de François Hollande, soutien à Manuel Valls, polémique "chez Nous" : Audrey Azoulay répond aux questions de Fabien Namias
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L'émission politique avec Manuel Valls - 5 janvier 2017
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«En direct de Mediapart» : Montebourg et (les soutiens de) Valls face à la rédaction
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L'actualité des socialistes du 30 décembre au 5 janvier
PAUVRETE
Observatoire des inégalités - Qui sont les pauvres en France ?
24 décembre 2016 - La moitié des pauvres ont moins de trente ans, autant disposent au maximum du brevet des collèges, plus d’un quart vivent au sein d’une famille monoparentale. Portrait de la pauvreté en France.
Plutôt jeune, vivant en famille, peu diplômé, ouvrier ou employé : voici le portrait robot d’une personne pauvre. Le plus souvent, on mesure la proportion de pauvres au sein d’une catégorie déterminée (les jeunes ou les vieux, les ouvriers ou les cadres, les hommes ou les femmes, etc.). Jamais ou presque on n’observe comment se compose la population des cinq millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté [1]. Quelle est la part des jeunes, de vieux, de diplômés ? Masquer cette répartition évite aussi d’attribuer un âge, un diplôme ou un milieu social à la pauvreté. On dispose pourtant d’éléments sur le sujet.
PIKETTY
Blog Le Monde - De la productivité en France et en Allemagne
En ce début d’année 2017, alors que vont se dérouler les élections françaises au printemps puis allemandes à l’automne, il n’est pas inutile de revenir sur l’un des sujets de fond qui mine le débat européen, à savoir la supposée asymétrie économique entre une Allemagne réputée prospère et une France décrite comme déclinante. Je dis « supposée » car comme nous allons le voir la productivité des économies allemandes et françaises – telle que mesurée par le PIB par heure travaillée, qui est de loin l’indicateur le plus pertinent de performance économique – se situe à des niveaux quasi-identiques. Et de surcroît au plus haut niveau mondial, ce qui montre au passage que le modèle social européen a de beaux jours devant lui, quoi qu’en pensent les Brexiters et les Trumpistes de tous poils. Cela me permettra également de revenir sur plusieurs des thèmes abordés sur ce blog au cours de l’année 2016 (en particulier sur la longue récession européenne et la reconstruction de l’Europe) ainsi que dans ma chronique « Revenu de base ou salaire juste? » du mois dernier.
GARANTIE JEUNES
La Vie des idées - Le laboratoire des politiques publiques, Réflexions sur la Garantie jeunes
Les politiques publiques ne semblent plus pouvoir se passer de l’expérimentation sociale pour prouver leur efficacité. L’exemple de la Garantie jeunes, analysé par le sociologue Jules Simha, révèle pourtant un usage détourné de cette procédure et dément l’idée d’une rationalisation de l’action publique.
PATRIK VIVERET
Libé - La fragilité des puissants,
Les renoncements et les faiblesses loin d’être extérieures à la politique sont au contraire les clés d’un nouveau réalisme.
En relisant le beau livre de Marie de Hennezel Croire aux forces de l’esprit (1) sur la dimension spirituelle méconnue de François Mitterrand, j’ai été frappé d’une autre face méconnue des puissants : leur fragilité. Ainsi, cet homme que l’on disait cynique, florentin, était aussi tourmenté et passionné par son rapport à l’Invisible. Et le même, comme le montre sa correspondance amoureuse avec Anne Pingeot (2), pouvait laisser percer derrière le séducteur donjuanesque un amoureux craignant par-dessus tout de perdre l’amour de sa belle.
ALAIN DUHAMEL
Libé - Les surprises de la présidentielle
Il n’y a pas, il n’y a jamais eu d’élection présidentielle sans son lot de surprises. Depuis que les Français élisent leur chef de l’Etat au suffrage universel direct, rien ne s’est jamais passé comme prévu. La marque de la souveraineté populaire consiste même à prendre régulièrement à contre-pied experts et augures, pythies et haruspices, éditorialistes inclus, cela va de soi.
GAEL BRUSTIER
Le Figaro - Gaël Brustier : 2017, année de la gauche post-marxiste
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Gaël Brustier dresse le bilan de l'année politique à gauche pour FigaroVox et dessine les perspective pour 2017. Selon lui, la crise actuelle de la social-démocratie européenne doit permettre à la gauche de se réinventer.
Gaël Brustier est docteur en sciences politiques. Il est notamment l'auteur de Le Mai 68 conservateur - Que restera-t-il de la Manif pour tous? (éditions du Cerf, 2014). Son dernier livre #Nuit Debout. Que penser? vient de paraître aux éditions du Cerf.
REVENU UNIVERSEL
T.Piketty, Blog Le Monde - Revenu de base ou salaire juste?
Le débat sur le revenu de base a au moins un mérite : celui de rappeler qu’il existe un certain consensus en France sur le fait que chacun doit disposer d’un revenu minimum. Les désaccords existent sur le montant : 530 euros par mois actuellement pour le RSA accordé aux personnes seules sans enfant, somme que certains trouvent suffisante, et que d’autres voudraient porter à 800 euros.
Libé - Revenu universel : ce qu'en pensent les candidats à la primaire
D’utopie, il est devenu l’un des sujets principaux de la primaire à gauche. Le revenu universel, somme versée à tous les citoyens, sans condition de travail ou d’âge, fait débat. Et chacun des candidats, qu’il y soit favorable ou non, n’en a pas la même définition.
Le Point - Primaire de la gauche : Peillon et Montebourg attaquent Hamon sur le revenu universel
Christian Paul, soutien d'Arnaud Montebourg, et Patrick Bloche, directeur de campagne de Vincent Peillon, s'opposent au revenu universel défendu par Benoît Hamon.
Le revenu universel va-t-il cristalliser le débat entre les candidats de la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste (22-29 janvier) ? Entre Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, les deux candidats les plus à gauche, la mesure est devenue un symbole de leurs divergences.
PRIMAIRE
Marianne - Primaire à gauche : le PS vise moins de deux millions de votants
Discrètement, le patron du Parti socialiste revoit ses ambitions à la baisse au fur et à mesure que le premier tour de la primaire à gauche approche. Ce jeudi, Jean-Christophe Cambadélis est passé sous la barre des deux millions d'électeurs espérés.
L'ancien Premier ministre recueille 45% des intentions de vote au premier tour, et l'emporterait nettement au second, face à Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon.
"Je ne suis pas favori, je suis outsider", assurait Manuel Valls avant les vacances de Noël. Les enquêtes d'opinion semblent pourtant bel et bien indiquer le contraire. A deux semaines et demi du premier tour de la primaire de la gauche, l'ancien Premier ministre se classe en tête des intentions de vote, au premier comme au second tour, selon un sondage Harris Interactive pour France Télévisions publié jeudi 5 janvier.
La Tribune - Docteur Hamon, Mister Montebourg (et vice versa) : comment différencier les programmes?
A trois semaines du premier tour de la primaire de la gauche, les candidats peaufinent stratégie et programme. Mardi, Arnaud Montebourg a mis en ligne ses propositions. Sur la question du régime politique, de l'Europe, de la loi Travail et de l'écologie (entre autres), l'ancien ministre de l'Economie est proche des positions d'un autre ancien camarade au gouvernement, Benoît Hamon. Un constat qui renforce les questions autour de la pertinence de deux candidatures issues de la gauche du parti.
VALLS
Le Monde, Les décodeurs - 49.3, sécurité, déchéance : les affirmations de Manuel Valls décryptées
Le candidat à la primaire de la gauche était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi. Retour sur certaines de ses déclarations.
Revirements sur le 49.3 et la politique économique, déchéance de nationalité, sécurité… Manuel Valls était, jeudi 5 janvier, l’invité de « L’Emission politique », sur France 2. L’ancien premier ministre, qui a quitté Matignon en décembre pour être candidat à la primaire de la gauche, y a défendu son action au gouvernement depuis 2012 et ses propositions. Au prix, parfois, d’affirmations discutables. Décryptages.L’ancien premier ministre était l’invité jeudi soir de France 2, à moins de trois semaines du premier tour de la primaire à gauche en vue de la présidentielle.
Manuel Valls était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi 5 janvier. Candidat à la présidentielle, l’ancien premier ministre a affirmé qu’« [il ne se retirerait] pas de la vie politique » en cas de défaite lors de la primaire à gauche qui l’opposera à six autres candidats les 22 et 29 janvier. Assumant le bilan du quinquennat de François Hollande, M. Valls a eu l’occasion de rappeler ses positions.Le Figaro - Valls attaque la «purge» de Fillon, qui «ouvre les vannes pour l'extrême droite»
L'ancien premier ministre, actuel candidat à la primaire de la gauche, estime que «cette élection présidentielle est peut-être la plus importante depuis des années. Même plus importante que celle de 1981».
En lice pour devenir le candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, Manuel Valls ne veut pas attendre le résultat de la primaire pour se placer comme le premier opposant à François Fillon. Mercredi sur RTL, l'ancien premier ministre a fermement visé le candidat de la droite.
MONTEBOURG
Le Monde - Primaire à gauche : Montebourg joue la carte d’un programme économique chiffré
L’ancien ministre de l’industrie vise un taux de chômage à 6,1 % en 2022, un déficit public à 2,5 % du produit intérieur brut et une dette du pays à 91,2 % du PIB.
Son programme était en ligne dès la fin du mois de décembre, mais Arnaud Montebourg ne voulait pas laisser deux de ses adversaires à la primaire de la gauche, Manuel Valls et Vincent Peillon, prendre seuls la lumière médiatique en présentant leur projet, mardi 3 janvier. Alors l’ancien ministre du redressement productif a convoqué la presse dès le lendemain pour détailler ses propositions sur le plan économique.L’ex-ministre revendique une politique de relance keynésienne en augmentant les dépenses publiques.
On pourrait appeler cela « le pari de Montebourg ». L’ancien ministre du redressement productif est persuadé que la primaire à gauche mais aussi l’élection présidentielle se joueront sur l’économie et l’emploi, et non sur les questions de sécurité ou d’identité. Une position qui le distingue de Manuel Valls, plus en pointe sur les sujets régaliens, ou de Benoît Hamon, dont le programme est davantage axé sur les questions de société.Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?Prendre le pouvoir pour redresser la France. L'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, en ballotage favorable dans les sondages de la Primaire de la gauche face à François Hollande et Benoît Hamon, veut tout changer. Démocratie, Economie, Europe... tout y passe, ou presque. Revue de détails de ce que serait la France gouvernée par l'homme de Saône-et-Loire.
“Je veux pas mais finalement je veux bien pour éviter que tu te tapes la honte.” Voilà, grosso-modo le résumé de l’histoire de la présidence du comité de soutien d’Arnaud Montebourg, qu’aurait dû présider Guy Bedos. Après avoir refusé, il a précisé à RTL cet après-midi, qu’il accepte finalement car il “ne veut pas gêner” Arnaud Montebourg car il “l’aime beaucoup”.
HAMON
Libé - Benoît Hamon: «Le revenu universel est une invitation à s’épanouir»
Face à la rédaction de «Libération» et à ses «agitateurs», le candidat PS à la primaire explicite ses propositions sur le rapport au travail, le cannabis, la crise migratoire, l’Europe ou encore un nouveau modèle de développemen
Le JDD - Les cinq raisons qui expliquent la progression de Benoît Hamon
Benoît Hamon fait un bond de 11 points dans le dernier sondage publié jeudi et talonne Arnaud Montebourg. L'ancien ministre de l'Education compte bien progresser encore, se rêvant en outsider qui finit premier, comme François Fillon avant lui. Comment a-t-il opéré sa remontée? Eléments de réponse.
Le 8 décembre dernier, Benoit Hamon remplace, au pied levé, Manuel Valls et François Hollande, qui ont tous deux décliné l'invitation de France 2 pour participer à L'Emission politique. L'ancien ministre de l'Education nationale est prévenu seulement 72 heures avant. Il s'enferme, bûche, prépare des notes. Le résultat, en terme d'audience, est décevant – 1,7 million de personnes seulement derrière leurs écrans ce soir-là – mais sur les réseaux sociaux, la prestation est loin de passer inaperçue. Cité par Les Inrocks, un journaliste de l'émission confirme : "Nous n'avons jamais eu autant de messages positifs sur les réseaux sociaux."
Le Figaro - Primaire à gauche : Hamon accuse ses adversaires de piocher dans son projet
Benoît Hamon a le sourire. «Je la sens bien, cette campagne. Il va se passer quelque chose.» Mardi soir, le candidat a réuni une cinquantaine de ses soutiens à son QG, à Paris, pour mobiliser les troupes à trois semaines du premier tour de la primaire. Alors que Manuel Valls et Vincent Peillon ont présenté leur programme quelques heures plus tôt, le député des Yvelines n'entend pas leur laisser le champ libre
La Croix - Benoît Hamon : « Pour la jeunesse, on est resté au milieu du gué »
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche et ancien ministre de l’éducation était jeudi 29 décembre l’invité de l’émission « Face aux chrétiens », animée par Dominique Gerbaud et coproduite par Radio Notre-Dame.
Il répondait aux questions de Sophie Nouaille (Radio Notre-Dame), Romain Mazenod (RCF) et Alban de Montigny (La Croix).
MACRON
Les Echos - Présidentielle 2017 : Macron se rapproche d’une qualification au second tour
Selon un sondage Elabe pour « Les Echos », le candidat d’En Marche se hisserait au second tour de la présidentielle en cas de succès d’Arnaud Montebourg à la primaire du PS et d’absence de François Bayrou...... Après une fin d'année tonitruante qui l'a vu rassembler 15.000 personnes porte de Versailles à Paris, l'année commence donc bien pour le candidat Macron. C'est la première fois qu'une enquête d'opinion le donne au second tour, le mettant en situation de l'emporter.PEILLONAprès avoir dévoilé les grandes lignes de son programme, l'ancien ministre de l'Éducation était l'invité de "L'Entretien politique", mardi soir sur France 2.
FILOCHE
PRIMAIRE SOCIALISTE Malgré un recours en justice, Gérard Filoche ne participera pas à la primaire PS, lors de laquelle il soutiendra Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon…
PS
Huffington Post - En 2016, le Parti socialiste a souffert, en 2017, il peut disparaître
Profondément divisé, écartelé entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron, le PS doit à tout prix réussir sa primaire pour ne pas imploser.
De mémoire socialiste, le danger n'a jamais été aussi palpable. Après une année 2016 cataclysmique, celle qui s'annonce peut se révéler fatale pour le PS qui sort éreinté d'un quinquennat horribilis.
Après les déroutes européennes, sénatoriales, municipales, cantonales et régionales de 2014 et 2015, 2016, année sans rendez-vous électoral majeur, se voulait une année de reconstruction avant l'échéance présidentielle. "L'année du dépassement" du PS, selon les propres mots de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis. Il y a un an, ce dernier faisait miroiter une "primaire de la refondation, ouverte sans exclusive, d'Emmanuel Macron à Jean-Luc Mélenchon" pour sauver les meubles en 2017.
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L'invité de Laurence Ferrari du 05/01/2017
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France 3 - Primaire à gauche : un scrutin indécis
Primaire à gauche : un scrutin indécis par francetvinfoLe premier tour de la primaire à la présidentielle organisée par le PS a lieu dans un peu plus de deux semaines. Dans le duel politique du soir, Judith Waintraub (Le Figaro) et Anne Rosencher (L'Express) évoquent les principaux favoris à l'investiture.
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Le Point - Valls moins convaincant qu'Hamon et Montebourg sur France 2
Dans l'Émission politique, l'ancien Premier ministre a voulu montrer qu'il pouvait être le candidat de la gauche, "j'ai changé" a-t-il proclamé.
Pendant plus de deux heures, Manuel Valls a tenté de s'imposer comme un candidat à la primaire de la gauche cohérent et avec un programme crédible de futur président. Il lui a fallu à la fois assumer son bilan aux côtés de François Hollande, mais réussir à apparaître comme un homme de gauche, quitte à devoir justifier quelques changements d'avis comme sur l'ISF. Au cours de l'émission, il a été interrogé sur sa position sur le voile, Notre-Dame-des-Landes ou encore les salaires. Selon un sondage Harris interactive réalisé jeudi matin, l'ancien Premier ministre est largement favori pour le premier tour de la primaire, il n'a pourtant convaincu que 29% des Français à l'issue de l'émission.
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L'actualité des socialistes du 30 décembre au 5 janvier
PAUVRETE
Observatoire des inégalités - Qui sont les pauvres en France ?
24 décembre 2016 - La moitié des pauvres ont moins de trente ans, autant disposent au maximum du brevet des collèges, plus d’un quart vivent au sein d’une famille monoparentale. Portrait de la pauvreté en France.
Plutôt jeune, vivant en famille, peu diplômé, ouvrier ou employé : voici le portrait robot d’une personne pauvre. Le plus souvent, on mesure la proportion de pauvres au sein d’une catégorie déterminée (les jeunes ou les vieux, les ouvriers ou les cadres, les hommes ou les femmes, etc.). Jamais ou presque on n’observe comment se compose la population des cinq millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté [1]. Quelle est la part des jeunes, de vieux, de diplômés ? Masquer cette répartition évite aussi d’attribuer un âge, un diplôme ou un milieu social à la pauvreté. On dispose pourtant d’éléments sur le sujet.
PIKETTY
Blog Le Monde - De la productivité en France et en Allemagne
En ce début d’année 2017, alors que vont se dérouler les élections françaises au printemps puis allemandes à l’automne, il n’est pas inutile de revenir sur l’un des sujets de fond qui mine le débat européen, à savoir la supposée asymétrie économique entre une Allemagne réputée prospère et une France décrite comme déclinante. Je dis « supposée » car comme nous allons le voir la productivité des économies allemandes et françaises – telle que mesurée par le PIB par heure travaillée, qui est de loin l’indicateur le plus pertinent de performance économique – se situe à des niveaux quasi-identiques. Et de surcroît au plus haut niveau mondial, ce qui montre au passage que le modèle social européen a de beaux jours devant lui, quoi qu’en pensent les Brexiters et les Trumpistes de tous poils. Cela me permettra également de revenir sur plusieurs des thèmes abordés sur ce blog au cours de l’année 2016 (en particulier sur la longue récession européenne et la reconstruction de l’Europe) ainsi que dans ma chronique « Revenu de base ou salaire juste? » du mois dernier.
GARANTIE JEUNES
La Vie des idées - Le laboratoire des politiques publiques, Réflexions sur la Garantie jeunes
Les politiques publiques ne semblent plus pouvoir se passer de l’expérimentation sociale pour prouver leur efficacité. L’exemple de la Garantie jeunes, analysé par le sociologue Jules Simha, révèle pourtant un usage détourné de cette procédure et dément l’idée d’une rationalisation de l’action publique.
PATRIK VIVERET
Libé - La fragilité des puissants,
Les renoncements et les faiblesses loin d’être extérieures à la politique sont au contraire les clés d’un nouveau réalisme.
En relisant le beau livre de Marie de Hennezel Croire aux forces de l’esprit (1) sur la dimension spirituelle méconnue de François Mitterrand, j’ai été frappé d’une autre face méconnue des puissants : leur fragilité. Ainsi, cet homme que l’on disait cynique, florentin, était aussi tourmenté et passionné par son rapport à l’Invisible. Et le même, comme le montre sa correspondance amoureuse avec Anne Pingeot (2), pouvait laisser percer derrière le séducteur donjuanesque un amoureux craignant par-dessus tout de perdre l’amour de sa belle.
ALAIN DUHAMEL
Libé - Les surprises de la présidentielle
Il n’y a pas, il n’y a jamais eu d’élection présidentielle sans son lot de surprises. Depuis que les Français élisent leur chef de l’Etat au suffrage universel direct, rien ne s’est jamais passé comme prévu. La marque de la souveraineté populaire consiste même à prendre régulièrement à contre-pied experts et augures, pythies et haruspices, éditorialistes inclus, cela va de soi.
GAEL BRUSTIER
Le Figaro - Gaël Brustier : 2017, année de la gauche post-marxiste
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Gaël Brustier dresse le bilan de l'année politique à gauche pour FigaroVox et dessine les perspective pour 2017. Selon lui, la crise actuelle de la social-démocratie européenne doit permettre à la gauche de se réinventer.
Gaël Brustier est docteur en sciences politiques. Il est notamment l'auteur de Le Mai 68 conservateur - Que restera-t-il de la Manif pour tous? (éditions du Cerf, 2014). Son dernier livre #Nuit Debout. Que penser? vient de paraître aux éditions du Cerf.
REVENU UNIVERSEL
T.Piketty, Blog Le Monde - Revenu de base ou salaire juste?
Le débat sur le revenu de base a au moins un mérite : celui de rappeler qu’il existe un certain consensus en France sur le fait que chacun doit disposer d’un revenu minimum. Les désaccords existent sur le montant : 530 euros par mois actuellement pour le RSA accordé aux personnes seules sans enfant, somme que certains trouvent suffisante, et que d’autres voudraient porter à 800 euros.
Libé - Revenu universel : ce qu'en pensent les candidats à la primaire
D’utopie, il est devenu l’un des sujets principaux de la primaire à gauche. Le revenu universel, somme versée à tous les citoyens, sans condition de travail ou d’âge, fait débat. Et chacun des candidats, qu’il y soit favorable ou non, n’en a pas la même définition.
Le Point - Primaire de la gauche : Peillon et Montebourg attaquent Hamon sur le revenu universel
Christian Paul, soutien d'Arnaud Montebourg, et Patrick Bloche, directeur de campagne de Vincent Peillon, s'opposent au revenu universel défendu par Benoît Hamon.
Le revenu universel va-t-il cristalliser le débat entre les candidats de la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste (22-29 janvier) ? Entre Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, les deux candidats les plus à gauche, la mesure est devenue un symbole de leurs divergences.
PRIMAIRE
Marianne - Primaire à gauche : le PS vise moins de deux millions de votants
Discrètement, le patron du Parti socialiste revoit ses ambitions à la baisse au fur et à mesure que le premier tour de la primaire à gauche approche. Ce jeudi, Jean-Christophe Cambadélis est passé sous la barre des deux millions d'électeurs espérés.
L'ancien Premier ministre recueille 45% des intentions de vote au premier tour, et l'emporterait nettement au second, face à Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon.
"Je ne suis pas favori, je suis outsider", assurait Manuel Valls avant les vacances de Noël. Les enquêtes d'opinion semblent pourtant bel et bien indiquer le contraire. A deux semaines et demi du premier tour de la primaire de la gauche, l'ancien Premier ministre se classe en tête des intentions de vote, au premier comme au second tour, selon un sondage Harris Interactive pour France Télévisions publié jeudi 5 janvier.
La Tribune - Docteur Hamon, Mister Montebourg (et vice versa) : comment différencier les programmes?
A trois semaines du premier tour de la primaire de la gauche, les candidats peaufinent stratégie et programme. Mardi, Arnaud Montebourg a mis en ligne ses propositions. Sur la question du régime politique, de l'Europe, de la loi Travail et de l'écologie (entre autres), l'ancien ministre de l'Economie est proche des positions d'un autre ancien camarade au gouvernement, Benoît Hamon. Un constat qui renforce les questions autour de la pertinence de deux candidatures issues de la gauche du parti.
VALLS
Le Monde, Les décodeurs - 49.3, sécurité, déchéance : les affirmations de Manuel Valls décryptées
Le candidat à la primaire de la gauche était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi. Retour sur certaines de ses déclarations.
Revirements sur le 49.3 et la politique économique, déchéance de nationalité, sécurité… Manuel Valls était, jeudi 5 janvier, l’invité de « L’Emission politique », sur France 2. L’ancien premier ministre, qui a quitté Matignon en décembre pour être candidat à la primaire de la gauche, y a défendu son action au gouvernement depuis 2012 et ses propositions. Au prix, parfois, d’affirmations discutables. Décryptages.L’ancien premier ministre était l’invité jeudi soir de France 2, à moins de trois semaines du premier tour de la primaire à gauche en vue de la présidentielle.
Manuel Valls était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi 5 janvier. Candidat à la présidentielle, l’ancien premier ministre a affirmé qu’« [il ne se retirerait] pas de la vie politique » en cas de défaite lors de la primaire à gauche qui l’opposera à six autres candidats les 22 et 29 janvier. Assumant le bilan du quinquennat de François Hollande, M. Valls a eu l’occasion de rappeler ses positions.Le Figaro - Valls attaque la «purge» de Fillon, qui «ouvre les vannes pour l'extrême droite»
L'ancien premier ministre, actuel candidat à la primaire de la gauche, estime que «cette élection présidentielle est peut-être la plus importante depuis des années. Même plus importante que celle de 1981».
En lice pour devenir le candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, Manuel Valls ne veut pas attendre le résultat de la primaire pour se placer comme le premier opposant à François Fillon. Mercredi sur RTL, l'ancien premier ministre a fermement visé le candidat de la droite.
MONTEBOURG
Le Monde - Primaire à gauche : Montebourg joue la carte d’un programme économique chiffré
L’ancien ministre de l’industrie vise un taux de chômage à 6,1 % en 2022, un déficit public à 2,5 % du produit intérieur brut et une dette du pays à 91,2 % du PIB.
Son programme était en ligne dès la fin du mois de décembre, mais Arnaud Montebourg ne voulait pas laisser deux de ses adversaires à la primaire de la gauche, Manuel Valls et Vincent Peillon, prendre seuls la lumière médiatique en présentant leur projet, mardi 3 janvier. Alors l’ancien ministre du redressement productif a convoqué la presse dès le lendemain pour détailler ses propositions sur le plan économique.L’ex-ministre revendique une politique de relance keynésienne en augmentant les dépenses publiques.
On pourrait appeler cela « le pari de Montebourg ». L’ancien ministre du redressement productif est persuadé que la primaire à gauche mais aussi l’élection présidentielle se joueront sur l’économie et l’emploi, et non sur les questions de sécurité ou d’identité. Une position qui le distingue de Manuel Valls, plus en pointe sur les sujets régaliens, ou de Benoît Hamon, dont le programme est davantage axé sur les questions de société.Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?Prendre le pouvoir pour redresser la France. L'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, en ballotage favorable dans les sondages de la Primaire de la gauche face à François Hollande et Benoît Hamon, veut tout changer. Démocratie, Economie, Europe... tout y passe, ou presque. Revue de détails de ce que serait la France gouvernée par l'homme de Saône-et-Loire.
“Je veux pas mais finalement je veux bien pour éviter que tu te tapes la honte.” Voilà, grosso-modo le résumé de l’histoire de la présidence du comité de soutien d’Arnaud Montebourg, qu’aurait dû présider Guy Bedos. Après avoir refusé, il a précisé à RTL cet après-midi, qu’il accepte finalement car il “ne veut pas gêner” Arnaud Montebourg car il “l’aime beaucoup”.
HAMON
Libé - Benoît Hamon: «Le revenu universel est une invitation à s’épanouir»
Face à la rédaction de «Libération» et à ses «agitateurs», le candidat PS à la primaire explicite ses propositions sur le rapport au travail, le cannabis, la crise migratoire, l’Europe ou encore un nouveau modèle de développemen
Le JDD - Les cinq raisons qui expliquent la progression de Benoît Hamon
Benoît Hamon fait un bond de 11 points dans le dernier sondage publié jeudi et talonne Arnaud Montebourg. L'ancien ministre de l'Education compte bien progresser encore, se rêvant en outsider qui finit premier, comme François Fillon avant lui. Comment a-t-il opéré sa remontée? Eléments de réponse.
Le 8 décembre dernier, Benoit Hamon remplace, au pied levé, Manuel Valls et François Hollande, qui ont tous deux décliné l'invitation de France 2 pour participer à L'Emission politique. L'ancien ministre de l'Education nationale est prévenu seulement 72 heures avant. Il s'enferme, bûche, prépare des notes. Le résultat, en terme d'audience, est décevant – 1,7 million de personnes seulement derrière leurs écrans ce soir-là – mais sur les réseaux sociaux, la prestation est loin de passer inaperçue. Cité par Les Inrocks, un journaliste de l'émission confirme : "Nous n'avons jamais eu autant de messages positifs sur les réseaux sociaux."
Le Figaro - Primaire à gauche : Hamon accuse ses adversaires de piocher dans son projet
Benoît Hamon a le sourire. «Je la sens bien, cette campagne. Il va se passer quelque chose.» Mardi soir, le candidat a réuni une cinquantaine de ses soutiens à son QG, à Paris, pour mobiliser les troupes à trois semaines du premier tour de la primaire. Alors que Manuel Valls et Vincent Peillon ont présenté leur programme quelques heures plus tôt, le député des Yvelines n'entend pas leur laisser le champ libre
La Croix - Benoît Hamon : « Pour la jeunesse, on est resté au milieu du gué »
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche et ancien ministre de l’éducation était jeudi 29 décembre l’invité de l’émission « Face aux chrétiens », animée par Dominique Gerbaud et coproduite par Radio Notre-Dame.
Il répondait aux questions de Sophie Nouaille (Radio Notre-Dame), Romain Mazenod (RCF) et Alban de Montigny (La Croix).
MACRON
Les Echos - Présidentielle 2017 : Macron se rapproche d’une qualification au second tour
Selon un sondage Elabe pour « Les Echos », le candidat d’En Marche se hisserait au second tour de la présidentielle en cas de succès d’Arnaud Montebourg à la primaire du PS et d’absence de François Bayrou...... Après une fin d'année tonitruante qui l'a vu rassembler 15.000 personnes porte de Versailles à Paris, l'année commence donc bien pour le candidat Macron. C'est la première fois qu'une enquête d'opinion le donne au second tour, le mettant en situation de l'emporter.PEILLONAprès avoir dévoilé les grandes lignes de son programme, l'ancien ministre de l'Éducation était l'invité de "L'Entretien politique", mardi soir sur France 2.
FILOCHE
PRIMAIRE SOCIALISTE Malgré un recours en justice, Gérard Filoche ne participera pas à la primaire PS, lors de laquelle il soutiendra Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon…
PS
Huffington Post - En 2016, le Parti socialiste a souffert, en 2017, il peut disparaître
Profondément divisé, écartelé entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron, le PS doit à tout prix réussir sa primaire pour ne pas imploser.
De mémoire socialiste, le danger n'a jamais été aussi palpable. Après une année 2016 cataclysmique, celle qui s'annonce peut se révéler fatale pour le PS qui sort éreinté d'un quinquennat horribilis.
Après les déroutes européennes, sénatoriales, municipales, cantonales et régionales de 2014 et 2015, 2016, année sans rendez-vous électoral majeur, se voulait une année de reconstruction avant l'échéance présidentielle. "L'année du dépassement" du PS, selon les propres mots de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis. Il y a un an, ce dernier faisait miroiter une "primaire de la refondation, ouverte sans exclusive, d'Emmanuel Macron à Jean-Luc Mélenchon" pour sauver les meubles en 2017.
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L'Obs - L'Emission politique : Manuel Valls, encore et toujours Premier ministre
Invité jeudi soir de l'Emission politique, sur France 2, Manuel Valls n'a pas su troquer son costume de chef du gouvernement pour les habits de candidat à la primaire de la gauche.
ionel Jospin et Edouard Balladur le savent, il n'est pas si simple pour un Premier ministre de se transformer en candidat. C'est toute la difficulté pour Manuel Valls, qui a quitté Matignon le mois dernier pour concourir à la primaire de la gauche. Pour son premier grand rendez-vous médiatique, jeudi soir sur France 2, Manuel Valls a été sans cesse ramené à son ancien statut.
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Jean-Jacques Urvoas, invité de RTL, jeudi 5 janvier 2017
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Le Figaro - Valls attaque la «purge» de Fillon, qui «ouvre les vannes pour l'extrême droite»
L'ancien premier ministre, actuel candidat à la primaire de la gauche, estime que «cette élection présidentielle est peut-être la plus importante depuis des années. Même plus importante que celle de 1981».
En lice pour devenir le candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, Manuel Valls ne veut pas attendre le résultat de la primaire pour se placer comme le premier opposant à François Fillon. Mercredi sur RTL, l'ancien premier ministre a fermement visé le candidat de la droite.
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