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ps - Page 143

  • Le Parisien - Parti socialiste : face aux oppositions internes, le coup de poker d’Olivier Faure

    En choisissant Raphaël Glucksmann comme tête de liste pour les européennes, le premier secrétaire du PS, qui espère réunir la gauche, s’est aussi attiré nombre de critiques. Un choix à quitte ou double.

    « Le PS est de retour ! Tout commence aujourd’hui ! » C’était il y a un an, le 7 avril 2018, à Aubervilliers, dans la banlieue parisienne. Des milliers de militants socialistes, encore sonnés par leur déroute aux dernières présidentielle et législatives, venaient d’élire à leur tête Olivier Faure. Un quinquagénaire, député de Seine-et-Marne à la figure triste et comme s’excusant d’être arrivé jusque-là…

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  • Elections européennes : une candidate de la liste PS-Place publique demande à siéger avec les écologistes

    Aurore Lalucq souhaite rejoindre le groupe écologiste au Parlement européen si elle est élue au mois de mai.

    Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure annonce dimanche 7 avril lors de l'émission Questions politiques diffusée sur franceinfo et France Inter, que l'une des candidates de la liste commune PS – Place publique demande à siéger avec les écologistes en cas d'entrée au Parlement européen à l'issue du scrutin du 26 mai.

    "Il y a Aurore Lalucq, qui est une ex de 'Génération.s' [mouvement lancé par Benoît Hamon] qui est une économiste de la transition écologique. Elle m'a dit que elle, elle souhaitait siéger demain au parlement européen dans le groupe écologiste", explique le premier secrétaire du PS.

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  • Algérie : le Parti socialiste réitère sa solidarité avec les attentes du peuple algérien

    03 avril 2019

    Sous la pression inédite du peuple algérien, le président Abdelaziz Bouteflika a été poussé à la démission le 2 avril 2019 après avoir dû renoncer à son cinquième mandat.

    Le Parti socialiste salue ce résultat, conséquence directe d’une mobilisation massive et pacifique des Algériens et des Algériennes depuis plus de deux mois. Il partage leur attente d’un changement du système de gouvernance visant à l’établissement d’une démocratie authentique assurant la justice, l’égalité et le progrès pour chaque individu.

    Le Parti socialiste exprime sa confiance dans l’intelligence collective d’une mobilisation populaire qui doit éviter les pièges potentiels d’une transition confisquée.

  • "C'était la gauche qui se retrouve" : Olivier Faure, "fier" de Raphaël Glucksmann qui a donné son premier meeting à Toulouse

    "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure samedi sur franceinfo, après le premier meeting de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, à Toulouse.

    "J'étais vraiment sous le charme comme toutes celles et ceux qui ont assisté", a réagi sur franceinfo Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, après le premier meeting pour les élections européennes de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, samedi 6 avril à Toulouse. "

    C'était la gauche qui se retrouve qui a envie de faire ensemble", a-t-il ajouté. "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure qui en a "ras-le-bol de la politique formatée. L'air qui souffle aujourd'hui sur cette liste, c'est vraiment ce qui me fait vibrer".

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  • Réaction du Parti socialiste et de ses groupes parlementaires à la décision du Conseil constitutionnel sur le projet de loi « anti-casseurs »

    04 avril 2019

    Communiqué de presse commun du Parti socialiste, du groupe Socialistes et républicains au Sénat et du groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale.

    Saisi par les groupes Socialistes et républicains au Sénat et Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel vient de censurer une disposition majeure de la loi dite « anti-casseurs » : celle qui donnait aux préfets le pouvoir d’interdire à une personne de manifester.

    À nos yeux, cette disposition constituait une entrave grave aux libertés individuelles que garantit la République depuis la Révolution française.

    Manifestement, le Conseil constitutionnel a eu la même interprétation puisqu’il a affirmé que cette mesure laisse « à l’autorité administrative une latitude excessive dans l’appréciation des motifs susceptibles de justifier l’interdiction ».

    Cette décision constitue un désaveu pour la droite sénatoriale à l’origine de la proposition de loi liberticide. C’est également un vrai revers politique pour le président de la République et le Premier ministre qui, incapables de gérer la crise du mouvement des gilets jaunes, avaient préféré proposer des mesures liberticides plutôt que de s’interroger sur leurs responsabilités et celle du gouvernement.