primaire de la gauche - Page 20
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Vincent Peillon propose un "reste à vivre fiscal" pour les plus modestes
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Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg
Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.
La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un long entretien accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".
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Le Monde - Montebourg, un projet « au cœur des différentes gauches »
Le candidat à la primaire de la gauche dévoile les orientations de sa candidature dans « Le Parisien » de ce dimanche. Il envisage notamment de réformer l’Europe « aux forceps ».
Arnaud Montebourg veut une gauche à la fois « sociale » et « entrepreneuriale ». Le candidat à la primaire de la gauche s’est confié ce dimanche sur son programme « d’inspiration gaulliste, écologique et républicaine » au journal Le Parisien. Le candidat envisage de réformer l’Europe « aux forceps » et de « construire un bloc réformateur radical contre le bloc conservateur ». -
JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi
La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.
Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.
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Primaire de la gauche : écarté par la Haute Autorité, Gérard Filoche annonce son intention de déposer un "double recours"
Le membre du bureau national du Parti socialiste confirme à franceinfo son intention de contester devant la justice la décision de la Haute Autorité.
Gérard Filoche n'est pas content. La Haute Autorité a décidé, samedi 17 décembre, de ne pas retenir sa candidature à la primaire de la gauche. Par conséquent, le candidat déçu confirme à franceinfo sa décision de se lancer dans un double recours : "Après consultation de mon avocat, je fais un double recours, au niveau des parrainages, et sinon pour accéder directement à la primaire [en dehors du PS] comme Pinel, de Rugy ou Bennahmias."
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LCI - Primaire de la gauche : 7 candidats retenus, 2 recalés, découvrez la liste
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Marianne - Primaire à gauche : les cinq techniques envisagées par le PS pour exclure Filoche et Verdier
Ce samedi 17 décembre, la Haute autorité du PS examine les dossiers des neufs candidats déclarés à la primaire. Tous revendiquent avoir réuni suffisamment de parrainages pour se présenter, mais Gérard Filoche et Fabien Verdier imaginent déjà leurs candidatures invalidées... "Marianne" vous explique comment pourrait procéder le PS pour les écarter.
"A droite, c'est une équipe de foot, plus une primaire", se moquait Jean-Christophe Camabadélis au mois de février, quand les candidats de LR se multipliaient. Finalement, il n'y a eu que sept candidats à la primaire de la droite, ce qui pourrait s'avérer… moins qu'à gauche, où neuf dépôts de candidatures ont été enregistrés ce jeudi 15 décembre. Sauf si la Haute autorité du PS refuse certains noms ce samedi, ce que plusieurs candidats imaginent déjà…
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Primaire de gauche : le PS fera sans parité
Des neuf candidats potentiels, seule Sylvia Pinel, venue du PRG, perturbe la brochette masculine. Mais Taubira, Hidalgo ou encore Aubry, appréciées des militants, ont chacune leurs raisons de ne pas se présenter.
Samedi, la presse est invitée à la maison de la Mutualité, à Paris : Thomas Clay, le président de la Haute Autorité des primaires citoyennes - organisées par le PS -, annoncera les candidats officiels. Ils sont neuf à postuler : Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate), Gérard Filoche (PS), Benoît Hamon (PS), Arnaud Montebourg (PS), Vincent Peillon (PS), Sylvia Pinel (PRG), François de Rugy (Parti écologiste, lire page 15), Manuel Valls (PS) et Fabien Verdier (PS). Ça risque d’être (très) tendu pour Filoche et Verdier. Ils n’ont pas le nombre de parrainages suffisant : 5 % des membres du Conseil national du PS, 5 % des parlementaires socialistes, 5 % des conseillers régionaux et départementaux socialistes ou 5 % des maires socialistes de villes de plus de 10 000 habitants. Du coup, la primaire devrait se jouer à sept têtes. Au programme, trois débats télés et deux tours : 22 et 29 janvier.
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L'Obs - Filoche, le troll de la primaire : "Les dirigeants du PS ne veulent pas de moi"
Le socialiste affirme avoir recueilli les parrainages nécessaires pour valider sa candidature, mais redoute "qu'il y ait des embrouilles".
ne primaire "open bar". C’était la grande crainte des dirigeants socialistes. Devant le trop-plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a sifflé la fin de la récréation, le 8 décembre dernier. Exit les Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes) et Bastien Faudot (Mouvement républicain et citoyen).
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Le Point - Christian Paul : "Notre courant peut gagner la primaire !"
Le chef de file des frondeurs, rangé derrière la candidature de Montebourg, évoque la primaire de la gauche en prenant soin de ne pas diviser son courant.
Le Point.fr : Vincent Peillon a officialisé dimanche soir sa candidature à la primaire ? Que vous inspire-t-elle ?
Christian Paul : (long silence) Je pars d'un principe simple : il n'y a pas de candidature illégitime. Néanmoins, je ne pense pas que la multiplication des candidatures vienne simplifier la situation dans laquelle se trouve la gauche française à la veille de l'élection présidentielle
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L'actualité des socialistes du 2 au 8 décembre
A LA UNE
La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.
France Info - François Hollande a-t-il tué le PS ?
Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes, et qui n'est plus dominée par le PS.
Rarement la gauche a abordé une campagne présidentielle avec la crainte de ne pas accéder au second tour. Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes. Le Parti socialiste, autrefois hégémonique et garant de la capacité de la gauche à remporter des combats électoraux, a perdu une grande partie de son influence.
LAICITE
Gilles Kepel : «L'enjeu de la laïcité c'est l'intégration»
Société - Gilles Kepel, universitaire, spécialiste de l'Islam
Jamais la laïcité n'a été autant en débat, comment l'expliquez-vous ?
En 1905, la laïcité était basée sur la séparation. C'était la loi de séparation de l'Église et de l'État, une séparation qui avait pour but de lutter contre l'influence, jugée à l'époque excessive, du Vatican sur les consciences et la jeunesse, et qui, d'une certaine manière était perçue comme quelque chose qui faisait obstacle à la vocation de la République de former des citoyens. En 2005, 100 ans après, l'enjeu est un peu différent. L'objectif de la laïcité, c'est de construire l'inclusion et l'intégration, et non plus la séparation.
Le "20 heures" a diffusé jeudi un reportage consacré à des femmes qui alertent sur des quartiers dans lesquels elles ne sont plus les bienvenues. Pour franceinfo, l'auteure de l'enquête revient sur le sens de sa démarche.
CAZENEUVE
Le Monde - Ce qui attend le gouvernement pour les cinq prochains mois
Comme souvent à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure n’est attendue d’ici à avril, mais des dossiers délicats sont toujours en suspens.
Nommé pour cinq mois, le gouvernement de Bernard Cazeneuve aura pour « mission » de « préparer l’avenir », a déclaré François Hollande mardi 6 décembre. Comme c’est souvent le cas à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure ne devrait toutefois être mise en œuvre. Reste que le nouveau gouvernement aura à gérer quelques dossiers politiques délicats en cette période électorale.PRIMAIREChallenges - Primaire de la gauche: Montebourg et Valls au coude-à-coudeL'ancien Premier ministre et l'ex-ministre de l'Economie sont donnés dans un mouchoir de poche au second tour de la primaire de la gauche.
Manuel Valls arriverait largement en tête au 1er tour de la primaire organisée par le PS en vue de l'élection présidentielle, devant Arnaud Montebourg, mais les deux candidats seraient ensuite au coude à coude au second, selon un sondage Harris Interactive diffusé jeudi.
L'Obs - Pourquoi la primaire de la gauche s'engage mal
Devant le trop plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a dû siffler la fin de la récréation. Mais le premier secrétaire du PS n'a pas dissipé la confusion qui règne autour du scrutin.
Des stars qui la jouent perso, des recrues en toc et une ribambelle de réservistes rêvant d'entrer sur le terrain... Avec ses 11 candidats, l'espace de quelques heures, la primaire de la gauche a davantage ressemblé à une équipe de Ligue 1 qu'au scrutin devant désigner le futur candidat socialiste à la présidence de la République. Et puis Jean-Christophe Cambadélis a mis le holà
Le PS veut faire place nette. Face à l'afflux de candidatures à la primaire de la Belle alliance populaire, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, et Christophe Borgel, responsable des élections au sein du parti, lancent un avertissement: tous ne passeront pas. Les candidatures de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), de Bastien Faudot (MRC) et de Sébastien Nadot (MdP) ont été recalées par le comité national d'organisation de la primaire, réuni mercredi.« Ils vont bientôt être dix, si ce n’est onze. C’est une équipe de foot, ce n’est plus une primaire ! » Ainsi Jean-Christophe Cambadélis raillait-il, au début de l’année, la prolifération de candidats à la primaire de la droite. Une déclaration en train de se retourner contre le premier secrétaire du PS, qui a mis sur les rails la primaire de la Belle Alliance populaire (BAP)... et se retrouve débordé par les candidatures, pleuvant ces derniers jours de tous côtés !« Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent », a déclaré mercredi le président du comité d’organisation du scrutin.
Christophe Borgel, président du comité national d’organisation de la primaire de la gauche, s’est inquiété mercredi 7 décembre du grand nombre de candidatures au scrutin. Invité de la presse parlementaire, il a déclaré :
« Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent. »
LIENEMANNFigure historique de la gauche du PS, Marie-Noëlle Lienemann a été une des premières à s'engager dans la primaire de la gauche. Elle renonce à la course pour favoriser l'unité de son courant.La sénatrice de Paris veut éviter « un éparpillement des voix » et « regrette » que Montebourg et Hamon n’aient pas entendu ses appels à l’unité.
Marie-Noëlle Lienemann annonce dans Le Monde qu’elle ne sera pas candidate à la primaire organisée en janvier par la Belle Alliance populaire. La sénatrice de Paris, située à l’aile gauche du Parti socialiste, a décidé de se retirer pour éviter « un éparpillement des voix », alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont eux aussi candidats pour incarner une alternative à la majorité gouvernementale.Candidate à la primaire, Marie-Noëlle Lienemann enjoint à Hamon et Montebourg de s’associer à elle autour d’un socle commun.Cher Arnaud, cher Benoît, chers amis,
En annonçant qu’il ne briguerait pas un second mandat, François Hollande a fait un constat lucide : il n’est pas en situation d’assurer un large rassemblement des forces de gauche et écologistes. Mais ce qui lui est impossible l’est tout autant pour son Premier ministre, Manuel Valls, concepteur de la thèse des deux gauches irréconciliables, et pour celles et ceux qui ont promu ou soutenu les choix et orientations qui ont creusé un fossé entre l’exécutif, le peuple de gauche et les Français.
VALLS
Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/12/05/apres-la-candidature-de-manuel-valls-des-doutes-sur-sa-capacite-de-rassembler-et-son-bilan_5043847_823448.html#DiB0EKgpiDf3xX70.99HAMONLe candidat à la primaire à gauche a proposé ce jeudi dans L'Emission Politique de taxer les robots qui remplacent les emplois peu qualifiés afin de financer un revenu universel d'existence.Candidat à la primaire de la gauche, l’ancien ministre issu de l’aile gauche du PS a déroulé ses propositions en vue de l’élection présidentielle.
On le présente souvent dans l’ombre d’Arnaud Montebourg avec qui il avait été sorti du gouvernement en août 2014. Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a affirmé ses différences, jeudi 8 décembre, en déroulant ses propositions sur le plateau de « L’émission politique » sur France 2. Temps de travail, éducation, cannabis, revenu universel… Voilà ce que l’on peut retenir de son intervention.Invité par La Fabrique écologique, après Nathalie Kosciusko-Morizet, le candidat à la primaire de la gauche plaide pour une politique environnementale et sociale plus audacieuse.
Diesel, pesticides, santé publique, nucléaire… sans oublier l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. La liste est longue des critiques adressées par Benoît Hamon au gouvernement de Manuel Valls, gouvernement auquel il a appartenu jusqu’en août 2014. Le candidat à la primaire de gauche, en vue de l’élection présidentielle d’avril 2017, était l’invité, mardi 22 novembre, du deuxième petit-déjeuner organisé, à Paris, par La Fabrique écologique, « fondation pluraliste de l’écologie », en partenariat avec Le Monde, en vue d’éclairer les débats sur l’environnement du prochain rendez-vous électoral.
Dans une tribune pour «Libération», Benoît Hamon répond à l'appel lancé par Marie-Noëlle Lienemann.Chère Marie-Noëlle,
Ton interpellation sur la nécessaire unité d’une gauche alternative à l’occasion de nos primaires est juste et essentielle. Juste, car jamais la gauche ne gagne divisée. Essentielle, car alors que seuls 35% des Français comptent voter à gauche à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, la présence de plusieurs candidats de gauche au premier nous condamne à l’échec.
MONTEBOURGL’ancien ministre de l’économie se rend en Algérie du 10 au 12 décembre, sur les traces de sa famille mais aussi pour adresser un message aux Français d’origine maghrébine.
Le Point - Primaire de la gauche : et si c'était Arnaud Montebourg ?VIDÉO. L'ex-ministre de l'Économie se voit déjà comme le conciliateur des gauches, celui par qui le rassemblement est possible. Sa tactique pourrait payer.Il n'est plus l'avocat volcanique qui enflammait les foules, combattait les paradis fiscaux, militait pour une VIe République, tentait de traîner le président Chirac devant la Haute Cour de justice ou vendait le « fabriqué en France » en marinière. Depuis trois mois, les Français découvrent une nouvelle cuvée montebourgeoise : un candidat sobre, un idéologue qui veut « libérer les Français » des « oligénarques » (une contraction d'oligarques et d'énarques).PEILLONEduardo Rihan-Cypel: "Vincent Peillon sera le François Fillon de la primaire à gauche"
Le député socialiste de Seine-et-Marne soutient la probable candidature de l’ancien ministre de l’Education nationale qui est selon lui "au coeur de la gauche". Une manoeuvre qui fait plutôt figure de torpille anti-Valls pour l’après 2017.
L'Obs - Philo, cannabis et saumon fumé...10 choses à savoir sur Vincent Peillon
L'ex-ministre de l'Education devrait annoncer sous peu sa candidature à la primaire de la gauche selon plusieurs députés socialistes. Voici 10 choses à savoir sur cet agrégé de philosophie.
EMPLOI
La Tribune - La France renoue avec de fortes créations d'emplois
51.200 postes ont été ét créés dans le secteur marchand au troisième trimestre selon l'Insee. Sur un an, les créations nettes d'emplois atteignent 178.700
Bonne nouvelle, au troisième trimestre 2016, selon l'Insee, l'emploi dans le secteur marchand a continué de croître avec 51.200 créations de postes, soit une progression de 0,3%. Un volume jamais vu depuis 2007. Déjà au trimestre précédent, 29.400 postes nouveaux postes avaient été enregistrés. C'est le sixième trimestre consécutif de hausse. Sur un an, au total, les créations nettes d'emplois ont atteint 178.700 (+1,1%). Or, la population active progressant « naturellement » d'environ 120.000 personnes par an, il y a donc eu assez de postes pour « absorber » ces nouveaux entrants, ce qui explique, en partie, la récente baisse du nombre des demandeurs d'emploi... qui arrive trop tard pour François Hollande.
PISA
Le Parisien - Etude Pisa sur le niveau des élèves : l’OCDE met en garde la droite française
L'étude Pisa dévoilée mardi révèle que les élèves français de 15 ans affichent des performances dans la moyenne de leurs pairs des pays de l'OCDE en sciences, mathématiques et compréhension de l'écrit. Mais la France se distingue par le poids de l'origine sociale des enfants sur les résultats.
Altereco - Rien de nouveau sous le soleil de Pisa
Les résultats 2015 de la désormais fameuse enquête Pisa (livrée tous les trois ans) risquent de décevoir aussi bien les défenseurs que les contempteurs du système éducatif français. Le « choc » qu'avait produit l'édition précédente (2012) a en tout cas peu de chances de se produire, tant cette nouvelle édition confirme ce que l'on savait déjà, à savoir que les performances de l'école française se situent globalement dans la moyenne des pays de l'OCDE, mais que le lien entre niveau des élèves et leur milieu social y est plus fort que n'importe où ailleurs.
Le Monde - Enquête PISA : ce que disent les profs sur les inégalités sociales et scolaires
La sixième édition de l’étude de l’OCDE décrit une école française marquée par les déterminismes sociaux. Des enseignants racontent comment ils les vivent et tentent de les déjouer
De l’enquête PISA, parue mardi 6 décembre, ils ne parlent pas (ou peu) en salle des profs. Ils préfèrent laisser cette étude, son tumulte médiatique – et les polémiques qu’elle suscite – aux portes de leur classe. « Les enseignants regardent PISA avec distance, voire suspicion ou crainte », observe Jacques Vince, professeur dans un lycée lyonnais. Ce n’est pas que les résultats ne les touchent pas ou qu’ils éludent le débat. Non : « C’est l’instrumentalisation politique de l’enquête comme un outil de pilotage qui nous heurte, alors qu’on ploie déjà sous les injonctions », ajoute celui qui est aussi en charge du suivi des réformes au sein de l’Union des professeurs de physique et de chimie.PSLe Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a reçu ce jour M. Brita Hagi Hasan, Président du Conseil local d’Alep et les représentants des associations qui, en France, se mobilisent pour sauver la population d’Alep affamée et massacrée.