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politique - Page 11

  • Marianne - Parti socialiste: l'effondrement, saison 2

    Malgré des municipales réussies et un certain renouveau idéologique, le parti de la rose vient d'être brutalement rappelé à son statut, mineur, par toute une série de déconvenues.

    Une averse subite qui coupe court à l'éclaircie. Ces derniers mois, les derniers caciques du Parti socialiste, toujours sous le choc de sa relégation express au rang de mastodonte en déclin depuis la déroute de l'élection présidentielle en 2017, se plaisaient à relever çà et là les indices d'un retour en verve. Il y avait eu les municipales de juillet, une surprise plaisante pour la vieille maison socialiste parvenue à conserver les clés de plusieurs bastions emblématiques (Paris, Lille, Nantes, Rennes, Rouen, Clermont-Ferrand, Dijon…) tout en réussissant des conquêtes inattendues (Montpellier, Nancy, Saint-Denis). Quoiqu’éclipsé par les spectaculaires victoires écologistes, ce résultat avait réellement redonné du baume au cœur des sociaux-démocrates, qui se disaient qu'ils n'avaient peut-être pas tout perdu : faute d'être un poids lourd de la vie politique française, le PS demeurait au moins un solide parti d'élus locaux.

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  • Conférence de presse de lancement des rendez-vous du Parti socialiste

    Nous sommes en direct pour la conférence de presse de lancement des rendez-vous du Parti socialiste pour préparer l’élection présidentielle, en présence de Corinne Narassiguin, Boris Vallaud, Christophe Clergeau, Fatima Yadani et Olivier Faure.

  • Comité interministériel des villes 29 janvier 2021 : Le gouvernement à Grigny pour répondre à l’appel de Grigny … de 2017

    Nathalie Appéré, secrétaire nationale au Logement, Politique de la ville et Rénovation urbaine

    Cédric Van Styvendael, secrétaire national au Logement, Politique de la ville et Rénovation urbaine

    Camille Vielhescaze, secrétaire national adjoint à la Politique de la ville 

    Thomas Chevandier, secrétaire national adjoint au Logement

     

    Nous nous félicitons que l’appel des 200 maires de banlieues du 14 novembre 2020, après le plan de « mobilisation nationale » enterré d’avril 2018, après l’appel de Grigny du 16 octobre 2017… ait enfin ! trouvé un premier écho du gouvernement ce matin. 

    L’organisation du tout 1er comité interministériel de la ville (CIV) du quinquennat à Grigny ce matin arrive en effet bien tard dans le quinquennat pour ambitionner de « changer le visage de nos quartiers d’ici la fin du quinquennat ». Qu’en aurait-il été si les maires de banlieue et les associations de la politique de la ville n’avaient pas su faire entendre leur voix et celles des 5 millions d’habitants des quartiers prioritaires depuis 4 années ? La considération de ces quartiers ne peut pas être seulement de circonstance ou d’opportunité, à un peu plus d’un an des échéances présidentielles. Elle ne peut pas non plus être seulement dans le symbole, en venant à Grigny, ville la plus pauvre de France où précisément le premier appel des maires et des associations avait été lancé le 16 octobre 2017… La politique de la ville exige du temps, de la visibilité, de la présence sur le terrain, du partenariat au local et des moyens.

    L’annonce de 2 milliards supplémentaires pour le nouveau programme national de renouvellement urbain (dont le bouclage financier reste néanmoins à préciser) était évidemment très attendue ce matin, portée par l’USH ou encore l’association Ville & Banlieue. C’est une bonne nouvelle, dont il faut se féliciter tant nombre de projets importants restent à financer ; tant nombre de projets ambitieux ne peuvent aujourd’hui démarrer faute de bouclage de leur financement. Comme à Grigny justement, dont le projet de la Grande Borne est depuis son passage en comité national d’engagement de l’ANRU fin 2019 toujours dans l’expectative. 

    L’accélération du programme national de l’ANRU est une exigence pour redonner un cadre de vie de qualité à ces quartiers et à leurs habitants d’aujourd’hui comme de demain. Car derrière ce programme, c’est aussi l’exigence de mixité sociale qui est en jeu. Sur ce point, le gouvernement fait le choix d’encadrer la production de logements sociaux là où il y en aurait trop (plus de 40 %). Il est à l’évidence plus simple de contraindre les communes qui accueillent que de produire là où les besoins sont criants. Face à une crise du logement sans précédent depuis l’après-guerre, face au besoin de millions de Français de se loger et de bien se loger, face à l’enjeu de rendre possibles les parcours résidentiels et de penser une mixité sociale à une échelle bien large que celle des seuls quartiers prioritaires, le gouvernement ne propose rien pour renforcer la production des logements sociaux (notamment PLAI et PLUS) ou en accession sociale.

    Si certaines des mesures annoncées dans les champs de la sécurité et de la prévention, de l’éducation ou encore de l’emploi et de l’insertion, reprises aux acteurs de la politique de la ville, vont dans le bon sens, de nombreuses autres sont en réalité déjà existantes et engagées. Et beaucoup de flou subsiste là encore sur leur financement. Derrière l’effet d’annonce, quelle est la réalité de ces 3,3 milliards « supplémentaires » ? 

    Enfin, il y a l’urgence immédiate, celle des files d’attente de familles, de personnes âgées et isolées, de jeunes étudiants… qui se rallongent semaine après semaine dans les distributions d’aides alimentaires : qu’en est-il de la création d’un fonds consacré à l’aide d’urgence (détresse sociale, grande pauvreté, aide alimentaire…) pour soutenir les villes pauvres et les associations locales à répondre à la détresse sociale des habitants de leurs quartiers ?

     

    Samedi 30 janvier 2021

  • Huffington Post - Le Parti socialiste, en difficulté financière, se sépare de 11 salariés

    Le PS doit réduire la voilure pour préserver ses capacités à financer une campagne présidentielle. Olivier Faure assume ce choix difficile.

    Quand le sigle PS signifie “plan social”. Ce mercredi 27 janvier, Le Monde rapporte que le parti à la rose s’apprête à se séparer de 11 salariés permanents. Une décision que le patron du parti socialiste, Olivier Faure, a annoncé lors d’un bureau national qui s’est tenu mardi soir et qui représente un quart des permanents du parti.

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  • PS - Beauvau de la sécurité : améliorer les conditions d’exercice des forces de l’ordre et renouer la confiance entre la police et la population

    Le gouvernement ouvre aujourd’hui le grand débat national sur les forces de l’ordre et la sécurité en France : « le Beauvau de la Sécurité ».

    Ces discussions sont souhaitables, les socialistes avaient d’ailleurs été les premiers à le demander dans une question au gouvernement posée par Olivier Faure, le 10 juin 2020.

    Aujourd’hui, il est nécessaire d’engager une réflexion sur le métier des forces de l’ordre, leur fonctionnement, leurs conditions de travail mais aussi sur leur complémentarité, leur coordination et le rapport qu’elles entretiennent avec nos concitoyens.

    Cette réflexion doit être menée sans tabou : la police et la gendarmerie sont un service public, il est normal que l’ensemble des acteurs concernés puisse en débattre. Le Parlement et les forces politiques devront également être associées à ces travaux. Le 8 septembre 2020, les députés socialistes avaient ainsi permis la création d’une commission d’enquête relative à l'état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l'ordre, dont les résultats seront prochainement publiés.

    Enfin, le gouvernement avait déjà repoussé, de janvier à novembre, la publication d’un livre blanc de la sécurité intérieure qui se voulait également « une concertation large et ouverte : experts de la sécurité, élus, préfets, agents de terrain, chercheurs et universitaires, acteurs de la sécurité privée sans oublier les citoyens eux-mêmes ».

    Le Beauvau de la Sécurité doit être à la hauteur des attentes qu’il a suscitées. Il décevrait s’il se contentait de lister les 200 propositions du livre blanc de la sécurité intérieure. Il échouerait si les solutions proposées n’étaient pas assorties des moyens nécessaires à leur mise en œuvre.

     

    Mardi 26 janvier 2021

  • Ouest France - La gauche a-t-elle déjà fait un trait sur 2022 ?

    Olivier Faure, Laurent Joffrin, Arnaud Montebourg, Anne Hidalgo… Ils sont plusieurs à gauche à afficher plus ou moins clairement leurs ambitions pour la prochaine présidentielle.

    Olivier Faure a présenté la nouvelle  feuille de route  ​de son parti fin novembre. Persuadé qu’une victoire à la présidentielle n’est possible qu’à la condition de ne présenter qu’une seule candidature au nom de la gauche en 2022, le Parti socialiste se dit prêt à  une refondation complète ​. Un  big bang social et écologique  ​que le premier secrétaire du PS veut asseoir sur la rédaction d’un projet dans lequel l’ensemble des partis de gauche pourraient se reconnaître.

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  • Le Parti socialiste invite le gouvernement à retirer son projet de démantèlement d'EDF

     

    Jean-François Debat, secrétaire national à la Transition écologique et sociale des territoires

    Christophe Bouillon, secrétaire national à l'Écologie, au Dérèglement climatique et à la Biodiversité

    Marc Gricourt, secrétaire national aux Services publics et à la Fonction publique

    Alain Delmestre, secrétaire national adjoint à la Transition énergétique

     

    Le Parti socialiste exprime sa totale solidarité avec le mouvement unanime des organisations syndicales d’EDF hostiles au projet dit « Hercule » de démantèlement du fleuron national de l’énergie en trois entités distinctes.

    Le Parti socialiste réclame du gouvernement et du chef de l’État la transparence légitime sur les discussions engagées avec la commission européenne sur le sujet. Les réponses aux questions posées par les parlementaires sont inexistantes ou renvoient à la fin des négociations avec la commission. C’est inacceptable !

    La représentation nationale doit être associée à la négociation engagée au vu des conséquences pour le service public de l’électricité.

    Alors même que la crise sanitaire a montré les exigences de préserver les atouts stratégiques de nos industries, que le secteur de l’énergie, dans le contexte de l’urgence climatique et des nécessaires transitions énergétiques à mener, ce projet est en contradiction avec les affirmations du gouvernement et du chef de l’État.

    Le Parti socialiste appuie l’appel à la constitution du collectif « pour un véritable service public de l’énergie », et invite le gouvernement à retirer son projet de démantèlement et à lancer un grand débat public sur l’avenir du service public de l’énergie dans notre pays.

    Il est essentiel que les Français, les salariés du groupe EDF, l’ensemble des partenaires sociaux et politiques aient prise sur ce secteur et ce notamment autour des axes suivant :

    • Lutter contre la précarité énergétique et réaffirmer le droit à l’énergie comme un droit essentiel pour tous.
    • Déterminer les axes de développement et d’investissements considérables à la réussite de la transition écologique et énergétique et notamment en faisant des choix d’avenir.
    • Affirmer une ambition forte en matière stratégique qui passe par la garantie de notre indépendance énergétique mais qui s’inscrive dans un modèle respectueux de l’environnement par des investissements massifs dans la recherche et le développement d’énergies propres et renouvelables.

    Le Parti socialiste se félicite du dépôt d’une proposition de loi visant à organiser un référendum d’initiative partagée si le gouvernement devait continuer de refuser de revenir en arrière sur le sujet. Cela permettrait, comme Aéroports de Paris, d’éviter un démantèlement de plus de nos services publics.

     

    Lundi 25 janvier 2021

  • Le Dauphiné Libéré - Anne Hidalgo de plus en plus présidentiable

    La maire PS de paris Anne Hidalgo commence à s'imposer comme candidate potentiel à la présidence de la République. C'est ce que révèle le sondage Odoxa pour la presse en région.

    A quinze mois du premier tour de la présidentielle de 2022, Anne Hidalgo cache de moins en moins ses ambitions élyséennes et vient même de lancer une plateforme programmatique. La presse lui consacre de plus en plus d'articles, alors même que le peuple de gauche se cherche un champion pour battre Emmanuel Macron

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