A l’issue de sa rencontre avec la chancelière allemande, le candidat socialiste a souligné les convergences politiques avec la dirigeante conservatrice.
Article du jour - Page 148
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Le Monde - A Berlin, Benoît Hamon rencontre Angela Merkel et reçoit le soutien de Martin Schulz
Comme François Fillon et Emmanuel Macron avant lui, Benoît Hamon a rencontré Angela Merkel, mardi 28 mars, à Berlin. A l’issue de la rencontre avec la chancelière allemande, le candidat socialiste à la présidentielle a souligné les convergences avec la dirigeante conservatrice concernant la politique de défense et la transition énergétique. -
Le JDD - Hamon lance son opération "mains propres"
Conseillé par l’ancien procureur Eric de Montgolfier, Benoît Hamon présentera cette semaine une série de dispositions. "L'argent pollue la campagne", regrette le candidat socialiste auprès du JDD.
A défaut de pouvoir enjamber la montagne d'hostilité de nombre de ses camarades socialistes, Benoît Hamon entreprend de s'attaquer au mur de l'argent. D'ici au premier tour, le candidat socialiste a la ferme intention d'insister sur ce point. "L'argent pollue la campagne, ce qui veut dire qu'il n'est pas à sa bonne place. On devrait s'occuper du pouvoir d'achat des Français, pas de celui des élus", indique-t-il au JDD.
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Le Monde - Dans l’entourage de Benoît Hamon, la confusion et l’inquiétude règnent
A moins de quatre semaines du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat PS a reculé au cinquième rang dans les sondages, doublé par Jean-Luc Mélenchon.
Faut-il y voir l’énergie du désespoir ? Dans une intervention très vive, dimanche soir au 20 heures de France 2, Benoît Hamon a haussé le ton, en dénonçant les « ralliements » venus de son propre camp ces derniers jours en faveur d’Emmanuel Macron, qui « consistent à [lui] planter des couteaux dans le dos ». « On m’annoncerait même la semaine prochaine une mise à mort avec le ralliement de Manuel Valls à la candidature d’Emmanuel Macron », a lâché le candidat socialiste. -
Europe 1 - En fâcheuse position, Benoît Hamon contraint de réagir
La campagne du candidat socialiste n’en finit plus de piétiner. Le voilà cinquième homme des sondages, et contraint de durcir le ton pour sortir de la nasse.
Benoît Hamon ne parvient pas à sortir du marasme. Depuis plusieurs semaines, sa campagne ne prend pas. Pire, à un mois du premier tour de l’élection présidentielle, sous l’effet conjugué de la montée en puissance de Jean-Luc Mélenchon, et du vote utile en faveur d’Emmanuel Macron, voilà même le candidat socialiste qui recule dans les sondages.
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Le Monde - « La politique du logement est la première des politiques de l’emploi que l’on devrait mener »
Eric Heyer, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et enseignant à Sciences Po, a répondu aux questions des internautes à l’occasion d’un tchat au Monde.fr, vendredi, sur le thème : « La France fait-elle moins bien que ses voisins européens ? » En voici les principaux extraits.
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L'Opinion - Macron-Mélenchon, l’étau mortel pour Benoît Hamon
La candidature du vainqueur de la primaire socialiste aurait dû s’imposer comme centrale à gauche. Aujourd’hui, dans les sondages, il se retrouve à la cinquième place de la campagne
Un conseil politique restreint se retrouve lundi autour de Benoît Hamon. Le candidat socialiste a décidé se démultiplier dans les médias pour tenter de sauver sa campagne. Il sera mercredi en meeting à Lille, dans le fief de Martine Aubry, son principal soutien politique.
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L'Obs - "Le FN, parti de la banqueroute", par Henri Weber
L’application du programme économique et social de Marine Le Pen plongerait notre pays et l’Europe dans un chaos profond. Voici pourquoi.
Henri Weber est membre du Parti socialiste, ancien sénateur et ancien député européen. Il dessine pour l"Obs" le scénario du retour au franc..s et son impact désastreux sur le pays.
"L’application du programme économique et social de Marine Le Pen plongerait notre pays et l’Europe dans un chaos profond. Le premier engagement de ce programme est la sortie de l’euro et le retour au franc. Le second est une augmentation massive de notre dépense publique (118 milliards d’euros par an).
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Le Monde - En France, sortir du nucléaire coûterait cher, y rester aussi
Dans l’Hexagone, où la fission de l’atome fournit les trois quarts de l’électricité, une sortie complète du nucléaire, prônée par les candidats de gauche à l’élection présidentielle Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, coûterait 217 milliards d’euros d’ici à 2035. C’est le chiffre choc avancé, lundi 13 mars, par l’Institut Montaigne.
....... L’institut n’a toutefois fait le travail qu’à moitié, en ne chiffrant pas le coût de la poursuite du nucléaire. En février 2016, la Cour des comptes a estimé à 100 milliards d’euros le « grand carénage » destiné à prolonger l’exploitation des 58 réacteurs actuels au-delà de 40 ans et leur maintenance jusqu’en 2030.
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L'Obs - "Notre classe politique se croit toujours en 1980"
Le sociologue spécialiste du vote Vincent Tiberj explique pourquoi les politiques se trompent sur leur cœur de cible électoral et ne savent pas adapter leurs discours aux attentes des nouvelles générations.
L'OBS. Dans «Les Citoyens qui viennent», vous relevez que les électeurs nés après le baby-boom, sociologiquement très différents de leurs aînés, sont devenus majoritaires dans le corps électoral. Ce phénomène capital n'est pourtant pas pris en compte par les partis politiques et leurs observateurs. Comment s'explique cette cécité inouïe?
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Lyon 89 - À Lyon, une expérimentation pionnière de justice restaurative
Depuis début 2016, une expérimentation est en cours dans les chambres correctionnelles du palais de justice de Lyon. Pour la première fois en France, avocats et magistrats ont conclu un partenariat pour développer des mesures de justice dite restaurative, c’est à dire des rencontres entre personnes victimes et accusées, avant le procès.....
En effet depuis le 1er mars 2016, une expérience inédite en France a été mise en place à Lyon. Encadrées par des avocats honoraires réunis au sein de l’association Avhonor, des rencontres sont organisées en pré-sentenciel – c’est à dire avant le procès – pour que victime et accusé puissent discuter en face à face.
« Nous avons créé cette association en rébellion à ce qui se passait jusque là, car malgré la loi d’août 2014, il n’existait rien en pré-sentenciel », explique Alain Aucoin, président de l’association.
Comme une surprise et sans grand bruit, la loi du 15 août 2014 avait en effet introduit l’article 10-1 disposant que
« À l’occasion de toute procédure pénale et à tous les stades de la procédure, y compris lors de l’exécution de la peine, la victime et l’auteur d’une infraction, sous réserve que les faits aient été reconnus, peuvent se voir proposer une mesure de justice restaurative ».
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Alternatives Economiques, Gérard Cornilleau et Henri Sterdyniak - Faut-il une nouvelle réforme de retraites ?
En 1991, le « Livre blanc sur les retraites » avait sonné l’alarme : les régimes de retraite français couraient à la catastrophe financière du fait de leur trop grande générosité, d’un âge trop précoce de la fin d’activité, du passage à la retraite des générations nombreuses du baby-boom et de l’allongement de la durée de vie.
Depuis 1993, à l’occasion de réformes successives, les paramètres des régimes de retraite ont été modifiés. La durée de cotisation requise pour obtenir une retraite à taux plein a été allongée de 40 à 42 ans, et passera à 43 ans en 2035 ; l’indexation des salaires pris en compte et des retraites ne se fait plus sur les salaires, mais sur les prix ; le rendement des régimes complémentaires a été progressivement diminué ; l’âge ouvrant le droit à la retraite est passé de 60 à 62 ans ; enfin les taux de cotisation ont été relevés. Ces modifications « paramétriques » ont évité une trop forte hausse du poids des pensions en jouant à la fois sur la durée de versement (report de l’âge de la retraite, allongement des durées d’activité) et sur le montant moyen des retraites.
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