Les dépenses culturelles peuvent-elles doper la... par FranceInfo
Analyses - Page 233
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Les dépenses culturelles peuvent-elles doper la croissance ?
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Fondation Jean Jaurès - Front national : le combat prioritaire de la gauche par Jean-Marie Le Guen
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En 2017, le Front national peut l’emporter. Cette victoire serait pour la République une catastrophe sans pareille, et pour la gauche un échec historique. Face au danger, Jean-Marie Le Guen plaide pour que la lutte contre le FN soit prioritaire et affirme le primat de la question républicaine sur toute autre.
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Challenges - Taxe sur les transactions financières: ce magot dont la France ne veut pas
36 milliards d'euros, c'est ce que rapporterait une taxe sur les transactions financières, selon une étude de l'institut allemand DIW. La France bloque les négociations. Voici pourquoi.
- D'après une nouvelle étude allemande, la taxe sur les transactions financières rapporterait entre 14 et 36 milliards d’euros à la France.
- Encore aucun accord n’a été trouvé entre les 11 pays européens de la coopération renforcée pour instaurer une telle taxe.
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L'édito politique : "Manuel Valls et son angoisse de la progression du Front national" France Inter
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Le Monde - 8 mars : féministe comme une image
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PS ou UMP, qui est responsable de la montée du FN ?
PS ou UMP, qui est responsable de la montée du... par LeNouvelObservateur -
France Inter - Le débat éco : "Les résultats du CAC40"
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Le débat éco - "Déficit à 3% : la France obtient un nouveau sursis"
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L'édito politique : "Que va faire Manuel Valls dans la galère des départementales ?"
L'édito politique : "Que va faire Manuel Valls... par franceinter -
Le parti pris d'Apolline de Malherbe : Macron VS Le Foll : la guerre des chouchous – 23/02
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Slate - Fin de partie pour Syriza? Pas si vite… Par Fabien Escalona, Enseignant à Sciences Po Grenoble
Les commentaires sur l’accord entre la Grèce et l’Eurogroupe ont transformé la défaite provisoire de Syriza en déroute définitive. Il faudra pourtant plusieurs mois pour savoir si c’est vraiment le cas.
Depuis l’arrivée de Syriza au pouvoir en Grèce, deux logiques s’affrontent au sein de la zone euro, sur les plans à la fois économique et politique.
D’un côté, les membres de l’Eurogroupe conditionnent leur soutien financier à une consolidation budgétaire drastique et à des «réformes structurelles» allant dans le sens d’une déréglementation des marchés des biens et du travail. De plus, les autorités européennes affirment que les choix démocratiques d’un peuple ne peuvent pas contrevenir aux traités européens, ni aux exigences des créanciers publics d’un pays. En somme, quels que soient les choix politiques du peuple grec, il lui est dénié la possibilité de rester dans la zone euro et d’y mener des politiques alternatives, sous peine de blocus financier et monétaire.
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