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  • Congrès du PS à l'horizon, la revue de presse (27 mars)

    BFM - Congrès du PS: Carole Delga "pleinement impliquée" pour un "changement de direction"

    La présidente socialiste de la région Occitanie, dont l'opposition au premier secrétaire Olivier Faure est connue, reproche à ce dernier "une politique de zigzags" à quelques mois du congrès du PS, d'après des propos rapportés par Le Parisien.

    Le Figaro - En s’opposant au retour de la retraite à 62 ans, «François Bayrou a trahi les Français», cingle Olivier Faure

    Invité sur TF1, le premier secrétaire du Parti socialiste a laissé planer la menace d’une motion de censure.

    Alors que les Insoumis préparent une nouvelle motion de censure et tentent d’y associer les communistes et les écologistes, les socialistes accordent un sursis au gouvernement François Bayrou. Ce, même si le premier ministre a «trahi les Français» en fermant la porte à un retour de l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, a dénoncé Olivier Faure mardi matin sur TF1. «Je me souviens que François Bayrou nous avait juré ses grands dieux “je ne suis pas comme les autres, je vais être un premier ministre qui va respecter le dialogue social”», a raillé le député de Seine-et-Marne.

    France 24 - Congrès du PS: Vallaud avance ses idées pour "refonder" le parti

    Paris (AFP) – Candidat pressenti au congrès du PS face à Olivier Faure, le chef des députés socialistes Boris Vallaud a dévoilé jeudi ses premières pistes pour "rénover le parti", avec notamment un institut de formation et un média internes, sur le modèle de la France insoumise.

  • France Culture - Et si on arrêtait avec le mythe des Trente Glorieuses ?

    Non, ce n’était pas mieux pendant les Trente Glorieuses. L'historien Vincent Martigny appelle à sortir de ce passé fantasmé qui nous empêche de penser l'avenir.

  • Fondation Jean Jaurès, Paul Girre - L’image des États-Unis et de leurs entreprises est-elle plombée après deux mois de présidence Trump ?

    Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier dernier, les relations entre les États-Unis et la France semblent se dégrader un peu plus chaque jour. Entre ses revirements sur le conflit ukrainien et l’annonce de nouvelles taxes visant les produits européens, le président américain donne l’image d’un allié de moins en moins fiable aux yeux des Européens. Dans ce contexte, un sentiment croissant de défiance et d’hostilité envers les États-Unis gagne une partie de l’opinion publique européenne – en particulier en France. L’une des manifestations les plus visibles de ce rejet est le boycott de produits américains par certains consommateurs.

  • Le Grand Continent - Trump et la guerre commerciale : l’Observatoire

    Le président américain a un plan, plus radical, mieux défini : réorganiser la mondialisation. Pour s’orienter dans cette séquence particulièrement tendue, nous avons réuni les chiffres clefs quotidiennement mis à jour, les textes essentiels, les tendances de fond pour comprendre — et répondre — à cette grande transformation.

    Trump et les droits de douane. Que cherche le président américain ?

    La critique de la politique commerciale américaine est au cœur du discours public de Trump depuis les années 1980. Avec cet outil tarifaire, le président pense pouvoir mettre un terme aux «pertes» des États-Unis qui, selon lui, «subventionnent» leurs partenaires, mais aussi remplacer les impôts fédéraux sur le revenu et soumettre les autres pays à ses desiderata en matière de politique étrangère ou d’autres questions telles que la migration et le trafic de drogue — il a également menacé le Danemark de droits de douane si ce dernier refusait un transfert de souveraineté sur le Groenland.

    Ses positions ont largement été influencées par Peter Navarro, Conseiller principal pour le commerce et l'industrie manufacturière et Robert Lighthizer, le représentant au Commerce des États-Unis lors du premier mandat Trump. Tous deux pensent que certains pays comme la Chine, menant des politiques industrielles déséquilibrées qui leur permettent d’exporter beaucoup plus qu’elles n’importent, accumulent des richesses et du pouvoir en rachetant des actifs — entreprises, dettes, technologies – des nations déficitaires, notamment des États-Unis. Pour Lighthizer, cela aurait entraîné un transfert massif de la richesse américaine et rendu les citoyens américains plus pauvres.
     
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