Elsa Faucillon députée PCF de Gennevilliers
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16 janv. 2025
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Motion de censure: La France insoumise et le Parti socialiste règlent leurs comptes dans l'hémicycle
Manuel Bompard (LFI) a accusé le Parti Socialiste de servir de "béquille" au gouvernement de François Bayrou, lors de la présentation de la motion de censure déposée par La France insoumise. Olivier Faure (PS) a répliqué fermement en affirmant incarner une "gauche qui propose et qui avance".
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Fondation Jean Jaurès - L’administration Trump II : une coalition anti-institutions s’apprête à prendre la tête des États-Unis
À l’approche de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier prochain, Julian Blum, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, analyse la cohérence politique – ou son absence – des nombreuses nominations annoncées en vue de la composition du gouvernement Trump II et leurs possibles conséquences politico-administratives. Ces choix inquiétants confirment une vision très personnelle de l’exercice du pouvoir de la part de Trump et peu idéologiquement structurée, si ce n’est de vouloir s’attaquer à l’État fédéral et à ses institutions.
Dans quelques jours, l’administration Trump II entrera officiellement en fonction après une période de transition inédite à bien des égards. Celle-ci a notamment été marquée par une série de nominations, les unes plus controversées que les autres, faites à une allure peu commune pour une succession présidentielle1. Les commentateurs et analystes se sont retrouvés étourdis par l’enchaînement d’annonces de personnalités sulfureuses – dont plusieurs condamnées par la justice –, de vedettes de télévision peu compétentes ou de grands magnats aux conflits d’intérêt flagrants à la tête de certaines des institutions les plus puissantes du monde. Comme le résume le journaliste Peter Baker du New York Times, les choix de Donald Trump pour peupler la future administration des États-Unis sont une « grenade lancée en plein cœur de la capitale ».
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« Je suis socialiste ET favorable à la censure ! » - Alexandre Ouizille sur Radio J
16 janv. 2025Le Sénateur Alexandre Ouizille était l'invité de la matinale de Christophe Barbier sur Radio J le 16 janvier 2025 pour évoquer les perspectives politiques et institutionnelles de la non censure du gouvernement de François Bayrou par les socialistes ainsi que les conséquences d'une telle décision pour l'avenir des négociations relatives à un éventuel pacte de non censure entre le PS et le gouvernement.
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16 janv. 2025 Ce jeudi 16 janvier, Olivier Faure, député et premier secrétaire du Parti socialiste, s'exprimait à la tribune de l'Assemblée nationale sur la motion de censure déposée à l'encontre du gouvernement Bayrou. « Nous allons donner toutes ses ch
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Accord de non censure ? Revue de presse mise à jour du 14 janvier
A LA UNE
Le nouvel Obs - La non-censure de François Bayrou ou la petite rupture d’Olivier Faure
Analyse Après d’âpres débats, les députés PS ont finalement choisi de ne pas censurer le gouvernement. Et pris ainsi leurs distances avec La France insoumise qui les accuse de trahison.
Quelque chose a bougé à gauche ce jeudi 16 janvier. Après des débats parfois houleux, les députés du Parti socialiste (PS) ont finalement décidé de ne pas censurer François Bayrou, s’attirant aussitôt les foudres du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon. Cette décision n’a pas été simple à prendre. Il a fallu d’ultimes concessions de la part du maire de Pau et plusieurs réunions parfois tendues pour y parvenir.
17 janvier
ASSEMBLEE•Le groupe socialiste, qui souhaite se détacher de la stratégie des insoumis, ne va pas voter la censure du gouvernement de François BayrouLe Figaro - Les députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le premier ministre
Cette décision a été actée mercredi après-midi lors d’une réunion du groupe parlementaire et entérinée jeudi par le bureau national.
Au bout du suspense, les 66 députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. La décision a été prise au terme de plusieurs heures de discussions lors d’une réunion de groupe mercredi après-midi à l’Assemblée nationale, où une large majorité des participants s’est exprimée en faveur de la non-censure. «On a maintenu le doute sur notre position jusqu’au bout pour tenter d’obtenir davantage de Matignon», souffle un élu. Une stratégie payante puisqu’une lettre du premier ministre aux présidents de groupe parlementaire a lâché d’ultimes concessions aux socialistes jeudi à la mi-journée.
Huit députés socialistes ont voté la motion de censure déposée par La France insoumise et finalement rejetée jeudi 16 janvier. Une décision prise contre l’avis du premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. Qui sont-ils ? On fait le point
16 janvier
Boris Vallaud s'exprime après la déclaration de politique générale de François Bayrou
Coup de gueule de Marine Tondelier sur le discours de politique générale de François Bayrou
"Tant que vous vous obstinerez à ne rien changer, nous n’aurons d’autre choix que censurer. "
14 janvier
"Le gouvernement doit comprendre qu'il a été battu aux élections législatives." Olivier Faure
Le gouvernement négocie actuellement avec la gauche, à l'exception de La France insoumise, des mesures dans le budget pour éviter qu'elle ne vote la censure comme avec Michel Barnier il y a un mois.13 janvierInvitée ce dimanche du «Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat», la secrétaire nationale des Écologistes a exhorté l’exécutif à «montrer qu’il a cédé sur des marqueurs forts pour les Français».20 minutes - Lucie Castets croit toujours en l’union de la gauche avant ses « vœux de la victoire »
bâton de pèlerin•La candidate du Nouveau front populaire pour Matignon cet été veut continuer de cheminer avec LFI, le PS ou encore les Ecologistes13 janvier
Onze candidats étaient en lice dans cette circonscription qui regroupe Grenoble et ses banlieues pour succéder au député LFI sortant, Hugo Prevost.11 janvier
France Info - Budget 2025 : le Nouveau Front populaire au bord de la rupture ?
Alors que la préparation du budget 2025 est au centre des discussions à Bercy, le PS, les Verts et le PC participent aux tractations, sans LFI. La dynamique des négociations autour de la réforme des retraites a particulièrement agacé Jean-Luc Mélenchon.
10 janvier
Les Echos - Retraites : la piste du Fonds de réserve pour financer une suspension de la réforme
Le patron du Parti socialiste, Olivier Faure, a suggéré jeudi de faire appel au Fonds de réserve pour les retraites, pour encaisser le choc d'une éventuelle mise en pause de la réforme reportant l'âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans.
Slate - Négociations sur le budget: la gauche va-t-elle exploser en vol?
Les discussions autour du projet de loi de finances 2025 semblent avancer. Socialistes, communistes et écologistes cherchent la solution à un accord avec le gouvernement pour éviter la censure.
Tous les partis de gauche ont participé à une seconde réunion à Bercy mercredi. Seul LFI était absente. Jean-Luc Mélenchon a critiqué leur "servilité". "Il y a quelque chose de désespérant à penser que discuter dans une démocratie où il n'y a pas de majorité, c'est se compromettre", balaie le socialiste.La gauche sans LFI a été reçue mercredi par les ministres de l’économie et des comptes publics. « La gauche du tout ou rien, c’est aujourd’hui la gauche du rien », a déclaré Olivier Faure pour justifier de négocier avec le gouvernement.
Socialistes, écologistes et communistes assument d’aller négocier avec le gouvernement. Contrairement aux insoumis, qui parlent « d’irrespect » à l’égard du NFP.
Regards - Le Parti socialiste en quête d’un compromis fécond
Le PS a entamé des négociations avec les ministres de l’économie et des comptes publics. À quelles fins ?
Ce mardi, Olivier Faure en a posé les enjeux de ces pourparlers sur France Inter avec une argumentation en 3 points :
- 1. Il faut un budget pour la France.
- 2. Le PS est ouvert au compromis parce que « s’il n’y a pas ce dialogue fécond, cela conduit à ce que l’extrême droite soit appelée au pouvoir, comme c’est le cas, en ce moment même, en Autriche ».
- 3. Les négociations vont porter essentiellement sur les retraites, les dépenses de services publics (éducation, santé…), le pouvoir d’achat et la justice fiscale.