Comment bâtir un nouvel ordre mondial qui allie sécurité et préservation du climat ? Débat avec Pierre Charbonnier, philosophe, chargé de recherche au CNRS, enseignant à Sciences Po, auteur de « Vers l’écologie de guerre. Une histoire environnementale de la paix » (La Découverte).
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8 sept. 2024
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Débat Sophie Binet, Lucie Castets et Fabien Roussel : Reconquérir le monde du travail face au RN
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Fondation Jean Jaurès, Bassem Asseh, Adelaïde Zulfikarpasic - Vote Rassemblement national : comment casser la dynamique ?
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Non Fiction - L’écologie révolutionnaire au prisme des classes sociales
Jean-Baptiste Comby analyse la prise en charge des questions écologiques par les classes sociales et démontre la nécessité d’une écologie révolutionnaire à partir d’une lutte des classes.
Jean-Baptiste Comby est sociologue, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Paris 2 Panthéon-Assas. Il publie en 2015 un livre intitulé La question climatique. Genèse et dépolitisation d’un problème publique, dans lequel il démontre comment, dans les années 2000, en France, le changement climatique a été construit, dans les médias généralistes, de façon conformiste et individualisante. La problématique a été dépolitisée. Le succès de la rhétorique « écocitoyenne » a alors permis le maintien de l’ordre social capitaliste. Le livre Ecolos, mais pas trop… Les classes sociales face à l’enjeu environnemental, présente un prolongement de ces réflexions dans un format qui respecte les codes de la sociologie académique mais qui se veut plus accessible, de par, notamment, son format plus petit et plus court.
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Fondation Jean Jaurès - Fondation Jean Jaurès - Législatives de 2024 : de la sidération à l’effarement (Émeric Bréhier, Sébastien Roy)
Quels sont les grands enseignements des élections législatives du 30 juin et du 7 juillet derniers ? À quelle(s) force(s) politique(s) le front républicain a-t-il bénéficié ? Émeric Bréhier et Sébastien Roy, respectivement directeur et membre de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation, passent au crible les résultats circonscription par circonscription, révélant ainsi la photographie d’un paysage politique quasi-tripartite, qui devrait nous pousser à changer de culture politique.
La dissolution constitue une arme dans les seules mains du président de la République par la grâce de l’article 12 et de l’article 19 puisqu’il peut la mettre en œuvre sans contreseing ministériel. C’est de ce droit constitutionnel qu’a usé Emmanuel Macron le 9 juin au soir dernier.
Elle fut utilisée un nombre de fois significatif dans l’histoire de la Ve République. En 1962, à la suite de la motion de censure visant le nouveau gouvernement de Georges Pompidou. Six ans plus tard, et seulement une année après le renouvellement général de 1967 qui avait failli conduire la majorité gaulliste à sa perte, le Général De Gaulle aux lendemains des événements de mai 1968 provoquait un sursaut légitimiste en usant de cet article 12.
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Avec le NFP (mise à jour du 14 septembre)
A LA UNE
«S'il n'y avait pas eu de Front populaire, l'extrême droite serait en train de gouverner», assure ce matin au micro d’Europe 1 le premier secrétaire du PS, critiqué au sein de son propre parti pour ne pas avoir soutenu l’hypothèse de Bernard Cazeneuve à Matignon.
14 septembre
Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Lucie Castets, nouvelle coqueluche du peuple de gauche
La candidate malheureuse du Nouveau Front populaire à Matignon réalise une percée éclair dans l'électorat de gauche, montre le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Elle devient la deuxième personnalité préférée de son camp.
13 septembre
Politis- L’unité à gauche, un bien précieux
S’il y a bien une gauche qui n’a rien fait pour gouverner après que le NFP est arrivé en tête aux législatives, c’est bien celle qui veut renouer avec le hollando-cazeneuvisme. La principale bataille des temps prochains sera de maintenir l’unité du Nouveau Front populaire.
ll a beaucoup été reproché aux insoumis de ne pas vouloir gouverner. En tout cas, pas maintenant. Jamais on ne s’interroge sur la volonté réelle des socialistes rebelles – ceux qui n’ont pour projet que de critiquer leur premier secrétaire et de renouer avec le hollando-cazeneuvisme – de prendre le pouvoir. Pourtant, depuis la Nupes, dont ils ne voulaient pas, jusqu’au Nouveau Front populaire (NFP), dont ils ne voulaient guère plus, ceux qu’on appelle les anti-Faure – d’Anne Hidalgo à Nicolas Mayer-Rossignol ou encore Hélène Geoffroy – n’ont eu de cesse de saboter les initiatives du NFP et son aspiration à gouverner le pays, avec Lucie Castets pour hôte de Matignon.
12 septembre
Le 20 juin 1944, trois miliciens viennent chercher Jean Zay à la maison d’arrêt de Riom où l’ancien ministre du Front populaire est incarcéré depuis 1941 et l’assassinent dans un bois près d’une carrière à Molles, dans l’Allier.
Pour le régime de Vichy et la presse collaborationniste, Jean Zay est une figure honnie. Ce radical, né en 1904 à Orléans, issu d’une famille juive, mais élevé dans la foi protestante, franc-maçon et membre de la Ligue des droits de l’homme, est pour le camp nationaliste l’incarnation même de cette IIIe République abhorrée et rendue responsable du désastre de 1940.
11 septembre
Public Sénat - Après la nomination de Michel Barnier, les secousses continuent au PS
Depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, la ligne du Parti socialiste opposée à Olivier Faure multiplie les prises de parole tenant sa direction pour responsable dans l’échec de la nomination de Bernard Cazeneuve. Une accusation dont elle se défend, alors que le parti à la rose souhaite peser davantage à gauche.Les élus des quatre partis de gauche font leur rentrée parlementaire en promettant de tout mettre en œuvre pour censurer le futur gouvernement. La France insoumise veut même destituer le chef de l'Etat. Sans assurance, pour l'instant, d'arriver à ses fins.
10 septembre
Radio France - La gauche a-t-elle laissé passer sa chance ?
Le NFP est apparu victorieux lors du résultat des élections législatives, mais se présente désormais comme le grand perdant. En refusant tout compromis, la gauche a-t-elle manqué à son devoir de parti de gouvernement? A-t-elle encore seulement les moyens de gouverner?
Avec- Stéphanie Roza Chargée de recherches au CNRS, spécialiste des Lumières et de la Révolution française.
- Frédéric Sawicki Professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne
Lucie Castets n'a pas été nommée Première ministre par Emmanuel Macron. La candidate du Nouveau Front populaire va d'abord prendre un peu de champ et ne retournera pas travailler à la mairie de Paris, où elle était directrice des finances.
Après avoir été très présente dans les médias tout l'été, Lucie Castets va lever le pied sur les interviews. Elle en est consciente, avec l'arrivée de Michel Barnier à Matignon, jeudi 6 septembre, on est dans une autre séquence. Continuer à courir les plateaux télé histoire de faire campagne pour devenir Première ministre n'aurait pas grand sens. La candidate déçue, et en colère, du NFP, va donc profiter des prochaines semaines pour se reposer, après un été à un rythme effréné
France Culture - Lucie Castets : "J’ai tout de suite été indépendante des partis"
"Personne n'est prêt à ça. C'est une tâche immense, c'est vertigineux" a déclaré dans l'émission Sens politique, la candidate du NFP à Matignon à propos de sa propulsion sur le devant de la scène politique comme Première ministre putative de la Gauche.
7 septembre
Michel Barnier, issu des LR, a été choisi par Emmanuel Macron comme successeur de Gabriel Attal. Une décision contestée au regard du résultat des élections législatives.
Les chausse-trappes de la retraite à points, Publié le 05/09/2019 Par CFDT-Fonctions publiques
Dans l’article que nous reproduisons ci-dessous, « Alternatives Economiques » énumère « les chausse-trappes de la retraite à points ».
Guillaume Duval, journaliste à « Alternatives Economiques », dans son article daté du 4 septembre 2019 inventorie des questions sur le projet de réforme des retraites qui valident une partie des interrogations de la CFDT.
Même si l’analyse et les appréciations ne sont évidemment pas identiques, nous relayons cet article qui fait le choix de « nourrir le débat, sans condamner la réforme. »
4 septembre
Café Pédagogique - Lucie Castets : « La politique de Macron en matière éducative est un échec »
Que propose le NFP en matière d’éducation ? Alors que les deux ministres démissionnaires Gabriel Attal et Nicole Belloubet ont choisi de se déplacer -séparément- dans des écoles du 92 – deuxième département le plus riche de France-, Lucie Castets a passé la journée de la rentrée dans le 93, département le plus pauvre et le plus jeune de l’hexagone. La communauté éducative du 93, parents d’élèves et professeurs, luttent pour un plan d’urgence depuis des mois sans être entendus. La FCPE, lors de sa conférence de presse qui s’est tenue le matin-même, a fait le même constat de Bondy, dans le 93 également. C’est donc dans le 93 que la candidate du Nouveau Front Populaire Lucie Castets a présenté la vision et le projet du NFP pour l’école. Pour elle, c’est un changement de cap « de fond mais aussi de méthode ».
HuffPost - Lucie Castets assure n’avoir travaillé que bénévolement pour le Nouveau Front populaire
Dans un article, « Marianne » évoque un devis de 51 000 euros pour elle et ses équipes transmis aux quatre partis de l’alliance de gauche.
Pas un euro touché. Lucie Castets, désignée par le Nouveau Front Populaire pour revendiquer Matignon, assure n’avoir jamais été rémunérée par les partis de gauche pour sa nouvelle activité politique. Ce, alors qu’un article de Marianne évoquait un devis et une estimation de rémunération à partir de septembre.
3 septembre
Libé - Choix du Premier ministre : Thierry Beaudet, la surprise du chef ?
Le nom du président du Conseil économique social et environnemental (Cese) est apparu ce lundi 2 septembre dans la liste des prétendants pour Matignon. Selon «l’Obs», l’ancien patron de la Fédération nationale de la mutualité française a accepté le poste dimanche soir.
BFM - Pour Olivier Faure, Lucie Castets "incarne la société civile organisée"
Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, était l'invité ce lundi de Face à Face sur RMC et BFMTV.2 septembre
Le président de la République doit recevoir Bernard Cazeneuve, mais aussi Xavier Bertrand et Nicolas Sarkozy, toujours à la recherche d'un nouveau Premier ministre.Les courants minoritaires du PS souhaitent que le parti poursuive les discussions à l'Elysée et se montre "constructif" vis-à-vis d'Emmanuel Macron. Une stratégie rejetée par Olivier Faure, le patron des socialistes.A Blois, son nom était sur toutes les lèvres. Mais l’idée de voir l’ex-Premier ministre de François Hollande nommé à Matignon par Emmanuel Macron divise le Parti socialiste.
Il arrive sur le jingle des JO qui continue d’ambiancer le pays. « Le 26 juillet, en regardant la cérémonie d’ouverture, j’ai cru un temps que la gauche gouvernait la France. Et puis, je me suis réveillé », lance ce samedi 31 août Olivier Faure dans la Halle aux grains de Blois, en clôture du campus d’été du Parti socialiste.
1er septembre
Paris Match - Lucie Castets : « Je n’enterre rien du tout, je ne lâcherai pas »
Malgré le refus d’Emmanuel Macron de la nommer à Matignon ; malgré les premières failles dans l’union qui soutient sa « candidature », au sein du Parti socialiste ; malgré la rumeur Bernard Cazeneuve de plus en plus persistante, Lucie Castets affirme auprès de Paris Match qu’elle n’abandonnera pas. Entretien.
Avant un meeting organisé autour d’elle ce vendredi soir à Blois, Lucie Castets a multiplié les entretiens avec les responsables socialistes. Car le PS est tiraillé : une partie des dirigeants affirment désormais qu’il faut reprendre les discussions avec Emmanuel Macron, sans se limiter à son nom à elle pour trouver un Premier ministre…