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Libé - Revenu de base : des départements PS attendent toujours un feu vert

Avant la révolution, l’expérimentation. Depuis 2018, 19 départements socialistes se déclarent volontaires pour mettre en place, localement, un revenu de base. «L’expérimentation, à notre échelle, permet une approche pragmatique, qui évite de faire peur», rassure Jean-Luc Gleyze, président PS du conseil départemental de la Gironde, à l’initiative du projet. En 2016, l’élu s’est associé à la Fondation Jean-Jaurès, au Centre pour la recherche économique et ses applications et à l’Institut des politiques publiques pour réfléchir à plusieurs pistes.

Après une consultation sur Internet, début 2018, et le traitement de 15 000 réponses, l’option d’un revenu «de base» – et non «universel» – issu d’une fusion du RSA et de la prime d’activité a été proposé : une allocation allant de 750 à 1 000 euros pour toute personne majeure ayant des revenus en dessous de ce socle. Ce revenu de base serait dégressif et automatique : aucune démarche administrative ne serait à effectuer. Cela serait d’autant plus facile avec la mise en place récente de l’impôt à la source : «Si on s’aperçoit qu’aucun salaire n’a été touché pendant un mois, on déclenche automatiquement le revenu de base», explique Jean-Luc Gleyze.

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