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  • Du fair-play à l’Assemblée - Le billet de Nicole Ferroni

    Dans sa chronique, Nicole Ferroni nous raconte les coulisses de la loi ASAP, loi Accélération et simplification de l'action publique, une loi de 50 articles proposée par le gouvernement, et dont la validité était débattue la semaine dernière à l’Assemblée.

  • Numérique, complotisme, fake news : comment revaloriser les faits et le débat démocratique ?

    Chaque semaine, retrouvez le Replays des ateliers du RDV de la Gauche d'après !

    Animé par Maxime des Gayets, secrétaire nationale du PS aux élections et à la
    formation, 1ère adjointe à la mairie du 18ème arrondissement de Paris

    Intervenants.es :
    - Sylvie Guillaume, députée européenne, cheffe de la délégation
    écologique et sociale française
    - Rudy Reichstadt, directeur de l’Observatoire du conspirationnisme
    - Karim Bouamrane, maire de Saint-Ouen
    - Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre, directrice france de ONE
    - Gilles Filchenstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès
    - Paula Forteza, députée, coprésidente du groupe EDS

    Nous constatons depuis quelques années que la frontière est de plus en plus floue dans nos débats publics entre ce qui tient des faits et ce qui tient des opinions de ceux qui s'expriment. Cette confusion est souvent entretenue de manière délibérée. Et cela n'est pas que de la responsabilité des personnalités publiques, puisque les réseaux sociaux sont une caisse de résonance d'individus qui interviennent sur tout sujet en alimentant souvent cette confusion entre faits et opinions. La riposte y est possible mais difficile. Nos débats publics nécessitent de la clarté, car un débat c'est ce qui permet de se positionner par rapport à un enjeu, de choisir et d'agir. Un déficit de clarté dans le débat public c'est un maillon qui manque dans la chaîne démocratique. Revaloriser les faits et les distinguer des opinions constituent donc un combat contemporain, urgent et démocratique.

  • Fondation Jean Jaurès - Grand entretien avec François Hollande : la gauche et le pouvoir le 10 à 11h30

    Que nous apprennent les débats qui ont traversé la gauche lorsqu'elle a exercé le pouvoir ? Quelles leçons tirer des expériences précédentes ? François Hollande, ancien président de la République de 2012 à 2017, échange avec Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, dans le cadre des 23e Rendez-vous de l'histoire de Blois, dont le thème en 2020 est « gouvern

  • Gauche d'Après : Quel service public de la culture ?

    Animation : Clément Sapin, délégué national du PS à la Culture et Karine Gloanec-Maurin, Codirectrice de l’observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès.

    Intervenants :
    - Thierry Ardisson, animateur et producteur de cinéma et de télévision
    - Jacques Renard, ancien membre du cabinet auprès de Jack Lang et ancien directeur du centre national des variétés, de la chanson et du jazz
    - David Assouline, sénateur de Paris, membre de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication
    - Jérôme Montchal, directeur de la Scène Nationale d'Equinoxe de Châteauroux

    La crise sanitaire frappe de plein fouet le secteur culturel et son économie touchés durablement par le confinement, l’interdiction des rassemblements et la fermeture des lieux publics. Même si l’inventivité des artistes n’a pas cessé pendant cette période inédite, qui d’ailleurs n’est pas totalement terminée, c’est tout un secteur d’activités, d’emplois et d’influence qui risque d’être en grave difficulté au moment où les aides d’urgence prendront fin.
    Aussi, faut-il renforcer et prolonger ces aides et réfléchir à un modèle économique plus stable pour la Culture qui représente une diversité de métiers. Le Parti socialiste s’engage à considérer la Culture dans la « France d’après » et « l’Europe d’après » comme un pilier essentiel d’une sortie de crise aussi fondamental que l’éducation, l’écologie, la justice ou l’économie solidaire.
    Quelque soit la taille ou la situation de leur territoire, en France métropolitaine comme en outre-mer, nos concitoyen.ne.s ne doivent pas être privés de l’accès à l’art, à la poésie porteuse d’espoir, de cohésion sociale et d’émancipation.

    Si les médias et la lecture publique sont déjà considérées comme un service public, le parti socialiste place tous les secteurs de la culture à ce niveau d’accès pour tous. Aussi, plusieurs questions se posent :

    - Quels financements ? Alors que le ministère de la culture souffre d’un manque de budget évident ;

    - Le déséquilibre des financements de l’État entre l’Île-de-France et les autres régions françaises. Le rapport est de 1 à 10 par habitant ! Comment redonner un équitable accès à la culture à tous nos concitoyens partout sur le territoire français ?

    - Comment mieux répartir les aides entre toutes les disciplines artistiques et toutes les filières du secteur culturel ?

    - Santé – Éducation — Culture, même combat ?

    - Les partenariats du ministère de la culture avec les Collectivités territoriales et les autres ministères régaliens doit-il être repensé ?

    - Faut-il inscrire la compétence régalienne de la culture comme compétence obligatoire pour tous les niveaux de pouvoirs locaux ?

    - Doit-on créer un secrétariat à l’éducation artistique et culturelle ou un super-ministère comprenant l’Éducation Nationale et la Culture ?