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Le porte-parole du PS, Pierre Jouvet, assume sa prise de position concernant Amazon
Le Dauphiné Libéré - Le porte-parole du PS, Pierre Jouvet, assume sa prise de position concernant Amazon La position d’un des dirigeants d’Amazon qui s’interrogeait sur la pérennité de ses activités en France après que le tribunal de Nanterre ....l’élu de Saint-Vallier s’est fendu mercredi soir d’un post sur Facebook. Il s’en explique.
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La faillite financière de la pensée progressiste [Olivier Passet]
Dans les moments de crise, fleurissent les discours sur la catharsis. La crise devient la solution. Elle nous projette dans le monde d’après, écrasant tous les dogmes, tous les préconçus idéologiques. Elle nous oblige à nous réinventer pour paraphraser Emmanuel Macron dans son allocution de 13 avril. [...]
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Qui va payer la dette de la France ? [Christian Chavagneux]
Selon les données de la Commission européenne, avant le coronavirus, la dette publique des pays de la zone euro devait atteindre, 10 4000 milliards d’euros en 2020, soit 85 % du PIB de la zone. Un niveau qui va exploser avec la forte montée des déficits budgétaires. Qui va payer ? [...]
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"Nous vivons (...) la revanche des lieux où l’on dit que « tout est mort »" - Cécile Coulon
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Mediapart, Le blog de Henri Sterdyniak : Pour en finir avec la monnaie hélicoptère, 9 avr. 2020
Selon la théorie de la monnaie hélicoptère, en période de dépression, la Banque Centrale doit relancer l’économie en versant directement de l’argent à tous les ménages. Nous montrons ici que la monnaie hélicoptère est un leurre.
En fait, selon la macroéconomie keynésienne, en période de dépression, la politique économique doit relancer l’activité soit par la politique monétaire, soit par la politique budgétaire. La politique monétaire consiste à baisser au maximum les taux d’intérêt et à garantir aux banques qu’elles pourront se refinancer pendant longtemps à des taux très faibles. Elle a l’avantage de ne pas creuser la dette publique, de relancer spécifiquement l’investissement, mais elle peut être inefficace si le taux d’intérêt se heurte au plancher de zéro, si les perspectives de croissance et d’inflation sont médiocres (de sorte que la différence - taux d’intérêt moins taux de croissance – n’est pas assez négatif pas assez), si les banques se refusent à prêter compte tenu des risques de faillite des entreprises. La politique budgétaire consiste à augmenter les dépenses publiques, les prestations sociales ou à baisser les impôts. L’impact sur la demande est donc en principe plus direct. Il peut être ciblé sur les ménages précaires (tant parce qu’ils sont particulièrement frappés par la crise que parce que leur propension à consommer est la plus forte) ou sur les investissements verts.Lire la suite
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