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  • Le meilleur de 2018/19 - Le Vent se lève - 7. Le neuroscientifique : Thibaud Griessinger | Les Armes de la Transition

    Thibaud Griessinger est docteur en neurosciences et chercheur indépendant en sciences comportementales appliquées aux questions de transition écologique. Il a récemment fondé un groupe de recherche qui s'est donné pour mission de remettre par la recherche et le conseil, la composante humaine au centre de la problématique écologique. Il travaille avec le Ministère de la Transition écologique, ainsi que des villes et collectivités.

    Thibaud Griessinger nous éclaire sur le potentiel des sciences cognitives à guider le développement de stratégies de transition écologiques plus adaptées aux citoyens. Dans cette série de grands entretiens, nous avons choisi de poser les mêmes questions à des personnalités du monde de l'écologie ayant chacune une approche, un métier, différent. Un tel projet est inédit, et son but est de donner à voir comment chacun se complète pour esquisser les grandes lignes de l'urgente transition écologique. Chacun détient une partie de la solution, une partie des "armes" de la transition. La transdisciplinarité doit devenir une norme de travail, pas une exception.

  • Libé - Amazonie : aux racines des approximations

    Alors que de nombreux chefs d’Etat, l’ONU et la Commission européenne s’inquiètent des feux de forêt dévastant l’Amazonie, au Brésil, comme au Pérou et en Bolivie, les informations erronées et exagérées circulent largement sur les réseaux sociaux et dans les médias. Libération les décrypte.

    Pas réellement, révèlent les relevés de l’agence européenne Copernicus. Sur la totalité de l’Amazonie brésilienne, qui regroupe plusieurs Etats, les émissions de dioxyde de carbone provoquées par les incendies, du 1er au 20 août, ne se démarquent pas des précédents mois d’août. Et sont largement inférieures à celles relevées en 2010 et en 2005.

  • #CamPuS19 - Après la gauche plurielle, la gauche des combats communs ?

    A l’occasion des élections européennes, plusieurs mouvements de gauche se rapprochaient pour faire alliance autour de combats communs. Un été plus tard, les combats sont toujours d’actualités mais pourront-ils être communs ?
    Avec la participation de :
    - Corinne Narrassiguin : Secrétaire nationale du Parti socialiste à la Coordination et aux Moyens du parti
    - Boris Vallaud : Député des Landes, secrétaire national du Parti socialiste au Projet
    - Ronan Dantec : Sénateur écologiste de Loire-Atlantique
    - Laura Slimani : Conseillère municipale à Rouen, membre de la direction de Génération·s
    - Guillaume Lacroix : Président du Parti radical de gauche (PRG)
    - Frédéric Sève : Secrétaire national de la CFDT
    - Raphaël Glucksmann : Député européen, co-fondateur de Place publique

  • Le meilleur de 2018/19 - Fondation jean Jaurès - Le jour d’après : la fin de l’État islamique au Levant ?

    Matthieu Rey, chargé de recherche au CNRS et chercheur associé à l’IFAS-recherche (Johannesburg), revient sur le processus de conquête territoriale de Daech et sur la stratégie et les alliances organisées en vue de la reconquête de ces territoires, et s’interroge, une fois la guerre « gagnée », sur la réponse politique apportée – si réponse politique il y a eu.

    Alors que le dernier réduit syrien appartenant à l’État islamique vient de tomber aux mains des Forces démocratiques syriennes[1], il convient de revenir sur ce que peut signifier pour l’Irak et la Syrie, le jour d’après. De prime abord, une conclusion s’impose. Si une vaste coalition s’était formée en vue de détruire cette entité politique, nul but de guerre ni surtout d’après-guerre n’avait été énoncé laissant donc aux dirigeants locaux et étrangers une grande latitude dans l’interprétation de leur possibilité d’agir. Plus encore, cette « victoire » révèle plus que jamais comment la lutte contre l’État islamique se résume à un « plein guerrier » et un « vide politique ». Finalement, ce fut le choix des armes, des dispositifs techniques terrestres et aériens et des acteurs répondant aux schémas militaires qui ont primé sur toute autre considération écrasant en retour toute expression du politique. Aussi, le jour d’après se décline de part et d’autre par la mise à jour de contradictions fortes. Quelques repères permettent peut-être de mieux comprendre les défis de cet après-Daech pour les deux pays.

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