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  • 8. Le sociologue : Stéphane Labranche | Les Armes de la Transition

    Stéphane Labranche est sociologue, membre du GIEC, chercheur indépendant et enseignant à Sciences Po Grenoble. Il est un des pionniers de la sociologie du climat en France. À ce titre, il s’intéresse tout particulièrement aux mécanismes d’acceptation sociale qui conditionnent la réussite de politiques publiques écologiques. Stéphane Labranche nous éclaire sur le rôle de la sociologie dans le cadre de la transition.

    Dans cette série de grands entretiens, nous avons choisi de poser les mêmes questions à des personnalités du monde de l'écologie ayant chacune une approche, un métier, différent. Un tel projet est inédit, et son but est de donner à voir comment chacun se complète pour esquisser les grandes lignes de l'urgente transition écologique. Chacun détient une partie de la solution, une partie des "armes" de la transition. La transdisciplinarité doit devenir une norme de travail, pas une exception.

  • Rue 89 - Le PS de Lyon change de braquet et s’oppose à l’Anneau des sciences

    A la veille des élections locales, chacun fourbit ses armes. Et il n’aura échappé à personne que l’argument environnemental et écologique est devenu central. Pourquoi pas dans le but de séduire du côté du parti qui a le vent en poupe, EELV -en vue de possibles rapprochements, autrement appelés « rassemblement ».

    Ce jeudi soir, à l’occasion d’un des multiples débats publics organisés autour du noeud ferroviaire lyonnais (voir notre article sur le sujet), Sandrine Runel, conseillère métropolitaine socialiste, a pris en charge le propos :

    « Ce qui pèse aujourd’hui lourdement sur la qualité de vie des habitants de Lyon, ce n’est pas la saturation ferroviaire, mais la saturation automobile. Pour y répondre, il faut commencer par ne pas développer le trafic automobile. Pour ces raisons,  je me réjouis de l’abandon de l’A45, et je demande l’abandon de l’Anneau des sciences. »

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  • Observatoire des inégalités - Une vague de mépris social

    Les milieux favorisés, de droite comme de gauche, tentent de détourner l’attention sur les inégalités sociales pour maintenir leurs privilèges. Ce mépris social soulève contre lui une vague de populisme qui menace notre démocratie. L’opinion de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    La France qui subit les inégalités est d’abord celle des flexibles au travail. Celle des huit millions de salariés à l’horizon de vie grignoté par la précarité ou le chômage. Des non-salariés qui vivent au gré de petits contrats. De ceux qui usent leur corps au travail à la chaîne, en oeuvrant dans la poussière ou en portant des charges lourdes. Cette France de l’insécurité sociale [1] a un visage : celui des employés et des ouvriers peu ou non qualifiés, des « uberisés », des indépendants (du bas de l’échelle). Pour une grande part, cette France a animé les manifestations des « gilets jaunes ».

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  • Le Progrès - Transport : « L’Anneau des sciences, c’est 15 kilomètres de bouchons en plus sur le périph »

    Le déclassement de l’A6-A7 met fin à un réseau routier mal configuré et source de pollutions, faisant converger sur les mêmes voiries circulations locales et transits internationaux vers le cœur de Lyon. L’Anneau des sciences, projet de contournement routier par l’ouest est prévu en partie pour absorber les flux. Une aberration pour la Coalition-Climat Rhône au regard des enjeux environnementaux d’aujourd’hui. Entretien avec l’un de ses porte-parole, Fabien Bagnon.

    Comment est-il possible de déclasser l’autoroute A6-A7 sans créer d’infrastructure routière supplémentaire ? Ça risque de coincer ?

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