La raison ? Dans sa lettre de motivation, Gérald avait écrit : « je ne sais pas combien il y a d’aides sociales ni combien ça coûte, mais mon projet professionnel est de les réduire car il y en a trop ». Quant à Bruno, il avait voulu être plus précis (avec le même projet professionnel baptisé « la hache ») en écrivant que les aides sociales représentaient 50 % de la dépense publique.
Il faut croire que les universitaires qui ne les ont pas retenus sont des conservateurs appartenant à l’ancien monde, incapables de déceler une innovation totalement disruptive. Ou alors qu’ils ont attaché de l’importance à des bourdes factuelles des deux jeunes au lieu de retenir l’ambition du projet professionnel.
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