À la mi-mars le Parti socialiste élit son premier secrétaire. Invité de Territoires d’Infos ce lundi, François Kalfon s’inquiète du manque de « propositions » et du « trop-plein de candidats. »
Usure du pouvoir ou erreur d’aiguillage politique. Chacun dresse son propre constat de l’échec historique du PS à l’élection présidentielle et aux législatives. Invité de Territoires d’Infos ce lundi, François Kalfon juge, lui, qu’il « faut tirer les bilans de notre échec et tracer des lignes pour le futur. » Proche du frondeur, Laurent Baumel et ancien directeur de campagne d’Arnaud Montebourg, François Kalfon a intégré la direction collégiale du PS après la présidentielle. À quelques mois du congrès socialiste – où sera élu le premier secrétaire du parti - il estime qu’il « y a un trop-plein de candidats et finalement un manque, un vide abyssal sur ce qu’il conviendrait de faire pour redresser la gauche. »
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