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  • Le Lab - Yannick Jadot fustige "le mouvement de 1er juillet" : "c’était du Hamon 2022"

    Les histoires d'amour finissent mal en général. L'idylle entre Benoît Hamon et Yannick Jadot, née au début de la campagne présidentielle avec le ralliement du second au premier, n'échappe pas à cette triste règle. Après avoir retiré sa candidature élyséenne, l’écolo avait rejoint le vainqueur de la primaire organisée par le PS. Jusque dans la Bérézina du premier tour de la présidentielle. Mais il ne le suivra pas dans son "mouvement du 1er juillet", ayant eu le sentiment d’avoir été manipulé et utilisé par le désormais ex-socialiste.

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  • France Info - Le Parti socialiste "n'a pas d'autre choix que de donner un coup de barre à gauche"

  • PS : Emmanuel Macron a-t-il annoncé un Big Bang social ?

    Dans un entretien à Ouest France et à douze quotidiens régionaux allemands publié ce matin, le président de la République a annoncé le basculement en 2018 des cotisations sociales, salariales et patronales, maladie et chômage, vers la CSG.

    Les socialistes s’interrogent sur la portée de cette nouvelle annonce : soit sa pensée a été mal interprétée, soit le Président prépare sans crier gare et sans que cela suscite de réaction, un véritable Big Bang social.

    En effet, la protection contre le chômage et la maladie ne seraient plus financés par des cotisations, dont les taux étaient fixés par la négociation paritaire entre représentants des salariés et du patronat, mais par l’impôt uniquement, dont le taux sera fixé par Bercy.

    Les conséquences de cette reforme seraient considérables.

    L’Etat déciderait seul du financement de la protection sociale : il suffirait dorénavant d’un trait de plume de Bercy pour le revoir complètement et donc diminuer d’autant le niveau de protection.
    Elle reviendrait à faire porter le financement de la protection sociale sur les seuls salariés et retraités. L’employeur n’y contribuerait plus. Dans la mesure où le gouvernement a annoncé vouloir remplacer la fiscalité de l’épargne par un prélèvement forfaitaire unique de 30%, et supprimer l’ISF sur les valeurs mobilières, cela créerait une inégalité supplémentaire majeure, au bénéfice du capital, au détriment des travailleurs.
    Enfin, elle aurait un impact immédiat sur le pouvoir d’achat des Français, car on voit mal comment une telle mesure pourrait être financée par une hausse de la CSG limitée à 1,7%. Il faudra sans doute l’augmenter davantage. Rappelons par ailleurs qu’une partie de la CSG est imposable, ce qui constituerait une double peine pour les salariés et les retraités.

    Tout cela serait, pour les socialistes, profondément injuste et inacceptable. Ils demandent donc au Président de la République de clarifier son propos, lui qui n’a jamais fait mention, lorsqu’il était candidat, du transfert sur l’impôt des cotisations patronales. Souhaite-t-il réellement engager une telle réforme, dont l’esprit s’apparenterait fort à la TVA sociale en pire ?

  • France Info - Le Parti socialiste "adopte une position attentiste"

    Rémi Lefebvre, politologue, a évoqué le "problème" du Parti socialiste, lundi sur franceinfo, alors que sa direction collégiale provisoire se réunissait pour la première fois. 

    La direction collégiale provisoire du Parti socialiste (PS) se réunissait pour la première fois lundi 17 juillet. Pour Rémi Lefebvre, politologue et professeur de sciences politiques à Lille, spécialiste du Parti socialiste, le PS "adopte une position attentiste". "La stratégie des dirigeants est de voir ce que le gouvernement Philippe et la présidence Macron va donner en termes de popularité et d'orientation politique", a-t-il précisé.

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