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RYTHMES SCOLAIRES
20 minutes - Education: Le retour à la semaine de quatre jours permis dès la rentrée
Benoît Hamon était l'invité de Gérard Davet, Fabrice Lhomme, et d'Éléments de Langage. C'est à réécouter.
Gérard Davet et Fabrice Lhomme, grands reporters au journal Le Monde et auteurs d'"Un président ne devrait pas dire ça", interrogent les politiques tout au long de la campagne et tentent de les faire sortir des artifices de la communication.
La candidat socialiste à la présidentielle revient, avec un brin de tristesse, sur l'après-primaire à gauche et le manque de soutien des socialistes depuis la défaite.
Touché mais pas coulé, les traits à peine tirés. « C'est vrai que c'est un peu long », concède Benoît Hamon, dans un sourire. Voilà près de dix mois que le socialiste est en campagne ! Lancé dès août dernier dans la bataille pour la primaire de la gauche, il est désormais en pleine reconquête de sa circonscription des Yvelines.
Editorial. La transposition dans le droit commun de mesures techniques dont l’opinion publique ne se préoccupe guère ne rendra pas celle-ci plus indulgente envers le pouvoir si un attentat survenait après le 1er novembre.
La nouvelle ministre du travail Muriel Pénicaud a affirmé mercredi que « tous les pays européens » plafonnent les dommages et intérêts en cas de licenciement abusif. C’est faux.
Les figures du « renouvellement » affiché par le mouvement d’Emmanuel Macron ont-elles hérité de circonscriptions favorables pour les législatives ?
Le chef de file des Républicains continue les allusions à la rumeur d’une taxe sur les propriétaires, pourtant plusieurs fois démentie, que souhaiterait imposer Macron.
Le code du travail n'est pas trop gros (675 pages de lois) et il était lisible, avant la loi El Khomri. On doit rétablir la prééminence de la loi de la république, l'état de droit dans l'entreprise, l'ordre public social.
C'est très simple. Cela signifie réaffirmer que les droits de la femme et de l'homme au travail doivent l'emporter sur les besoins de l'entreprise et non pas l'inverse.
Le droit du travail se conçoit comme un droit universel, planétaire, relevant de l'OIT, de ses principes et de ses conventions, il est attaché aux humains, pas à chaque entreprise. Le droit du travail doit devenir constitutif du droit de la concurrence.
par Cyril Camu
PARIS (Reuters) - Sonné par le faible score de Benoît Hamon, son candidat à la présidentielle, le Parti socialiste avance vers les élections législatives affaibli et plus divisé que jamais.
Contraint de se réinventer, sous peine de tirer un trait sur plus de 100 ans d'histoire, le PS se trouve pris en tenaille entre la tentation de nombreux socialistes de se revendiquer "majorité présidentielle" et une France insoumise qui entend le remplacer comme force principale à gauche.
C’est la débandade au Parti socialiste. Après la dérouillée reçue par Benoît Hamon à la présidentielle, les législatives s’annoncent tout aussi réjouissantes : entre 20 et 35 sièges à l’Assemblée selon les sondages, on est plus proche du PCF de George Marchais de 1993 que de la défaite historique du PS de Laurent Fabius à ce même scrutin.
Pendant que le bateau coule, le capitaine "Camba" tente de remobiliser les troupes, en public en tout cas. Parce qu’en interne, l’ambiance est, comment dire, trèèès tendue.
«Les mammouths, leur tête est mise à prix.» Il le dit sans hargne, presque à regret. Place de la Solidarité, entre bistrots, bagnoles et scooters, à Wazemmes, quartier populaire de Lille, Naïm résume ce qui pourrait arriver à François Lamy, proche de la maire socialiste Martine Aubry : perdre le fief imperdable. Même dans la 1re circonscription du Nord (1), celle de Pierre Mauroy et de Bernard Roman, et avant eux de Roger Salengro, les socialistes sont une espèce menacée.
Europe 1 - Législatives : le PS dans l'angoisse d'une raclée historique
Déboussolés par leur score à la présidentielle, les socialistes se souviennent avec effroi de leur défaite record aux législatives de 1993. Mais redoutent une défaite plus cuisante encore.
Il y a encore quelques mois, les socialistes pensaient pouvoir éviter le pire. Le pire, c'était 1993, ces législatives en forme d'hécatombe et ce groupe réduit comme peau de chagrin à 57 députés. A une semaine du premier tour, pour le même résultat, les socialistes signeraient des deux mains. Les sondages leur promettent entre 20 et 30 unités, soit dix fois moins que sous le quinquennat Hollande. Avec un sens prononcé de l'euphémisme, Benoît Hamon, qui doit lutter pour sauver son siège, parle d'une "configuration compliquée" quand Bernard Cazeneuve, lui, se démultiplie au chevet des candidats moribonds comme pour leur administrer l'extrême-onction.
Le Monde - Dix-huit jours après la passation des pouvoirs, François Hollande sort du silence
L’ancien président a rompu ses vœux de silence pour regretter la décision de Donald Trump de quitter l’accord de Paris.
François Bayrou a présenté, jeudi, le projet de loi « pour la confiance dans notre vie démocratique », premier texte du quinquennat d’Emmanuel Macron.
Le costume cintré et le verbe ciselé, ils se ressemblent presque tous. À mille lieues de la vraie vie, ils n’ont, pour la plupart, jamais posé un orteil dans une entreprise ou une administration. Contrairement à leurs aînés, ils n’ont pas fait leurs classes à l’ENA, mais auprès d’un chef de parti ou d’un député-maire. Des «apparatchiks» comme on dit, qui excellent dans les coups de billard à trois bandes et l’art du placement. De François de Rugy (En Marche !) à David Rachline (FN) en passant par Razzy Hammadi (PS) et Guillaume Peltier (LR), les professionnels de la profession squattent tous les bancs. Or certains d’entre eux multiplient les dérapages incontrôlés et précipitent la mort des partis traditionnels : salaires en or, emplois fictifs, business trouble... Extrait de "La République des Apparatchiks" de Jean-Baptiste Forray aux Editions Fayard (1/2).
HAMON
Politis - Benoît Hamon et Cécile Duflot unis dans l’adversité
L’ancien candidat du PS à la présidentielle est venu soutenir son ex-collègue écolo du gouvernement Ayrault sur sa circonscription. Les deux candidats s’affichent ensemble dans une opposition claire au gouvernement, esquissant un avenir partagé.
ISLAM
Le Figaro - Castaner, Daech appartient bien, hélas, à la sphère musulmane »
Christophe Castaner a déclaré qu'il ne fallait plus parler d'État islamique parce que les « djihadistes » n'avaient rien à voir avec l'islam. Pour Pascal Bruckner, il s'agit pourtant d'un des visages, pas le principal et fort heureusement pas le seul, de la religion musulmane.
FIGAROVOX. - «Cessons de parler d'État Islamique, ils trahissent la religion qu'ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins» a déclaré, sur Europe 1, Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement. Faut-il cesser de parler d'État islamique?
Atlantico - Pourquoi les jeunes musulmans deviennent de plus en plus religieux
Le modèle d’assimilation français a-t-il encore un avenir ? La démographe Michèle Tribalat répond par la négative après une analyse en trois points. Tout d’abord démêler le vrai du faux dans les chiffres qui circulent sur l’immigration étrangère, ensuite examiner en quoi l’islam change la donne et enfin constater que les classes moyennes refusent désormais massivement le modèle multiculturaliste préconisé par l’UE. Extrait de "Assimilation : la fin du modèle français : Pourquoi l'Islam change la donne" de Michèle Tribalat aux Editions du Toucan (1/2)