L'issue d'une guerre fratricide au sommet de Podemos, le parti espagnol qui avait redonné espoir à la gauche radicale en Europe, se joue ce week-end, avec à la clef le maintien au pouvoir de son chef Pablo Iglesias.
Ce qui avait commencé comme un débat sur la stratégie entre Pablo Iglesias et le numéro deux Inigo Errejon, co-fondateurs de ce mouvement anti-austérité proche du grec Syriza, a tourné à la foire d'empoigne.
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