Le candidat à la primaire de la gauche souhaite articuler temps libre, pratique artistique, et démocratisation de l’accès aux œuvres et aux savoirs.
Les portes transparentes s’ouvrent, se ferment, sans jamais claquer, on croirait même que le son a été coupé. Les caméras se reflètent dans la cloison vitrée, de même que les lumières des faux plafonds, écrans flottants ou fantômes des smartphones... Dans ce décor graphique, on se croirait dans Playtime, de Jacques Tati, revisité au vingt-et-unième siècle. Sauf qu’on n’est pas à l’aéroport, mais au onzième étage de la tour Montparnasse, à Paris, au QG de campagne de Benoît Hamon.