Les signataires de ce texte sont Maya Akkari (responsable du pôle Education du think tank Terra Nova), Christian Baudelot (sociologue), Laurent Bigorgne (directeur du think tank Institut Montaigne), Anne-Marie Chartier (historienne), Roger Establet (sociologue), François Dubet (sociologue), Dominique Julia (historien), Marc-Olivier Padis (directeur de la rédaction de la revue « Esprit »), Antoine Prost (historien), Thierry Pech (directeur général de Terra Nova) et Benjamin Stora (historien)
La réforme du collège portée par la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, est accusée de sacrifier l’enseignement de l’allemand et des langues anciennes, et de pervertir les programmes d’histoire. On peut naturellement débattre de l’opportunité de cette réforme, ou discuter de la manière dont elle est conduite, mais il est inutile de lui faire dire ce qu’elle ne dit pas.
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