11 mars 2014 - Des écarts énormes existent entre les Zones urbaines sensibles et le reste du territoire des agglomérations où elles se situent. La situation de l’emploi y est particulièrement difficile. Les niveaux de vie de ces quartiers sont très inférieurs à la moyenne. Le tour de la question par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Extrait du Centre d’observation de la société.
4,4 millions de personnes vivent dans une « zone urbaine sensible » (Zus), soit un peu moins de 7 % de la population française, selon les dernières données disponibles, qui datent de 2006. Les habitants des Zus vivent avec des revenus très inférieurs à la moyenne du pays et sont beaucoup plus souvent au chômage. Moins qualifiés, ils sont lourdement frappés par la crise.
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