Par le groupe de travail "l'action publique et sa modernisation", présidé par Jacques Sauret.
Le 11/12/2013
L'annonce à la mi-novembre par le Premier ministre d'une remise à plat de la fiscalité conduit à ne pas s'interroger seulement sur la partie recettes des finances publiques mais amène à questionner le volet dépenses, c'est-à-dire le coût engendré par l'action publique.
Or la transformation de l'action publique a été récemment réduite à la dimension, étroite voire contre-productive, que lui conférait la Révision générale des politiques publiques (RGPP). La mise en place de la Modernisation de l'Action Publique (MAP) a traduit un premier tournant. La gauche a tout intérêt à réinvestir cette thématique. L'action publique touche à l'ensemble des modes de fonctionnement de l'Etat ; penser sa réforme revient donc à mettre en œuvre les conditions nécessaires à la réussite des réformes à venir.
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