Nous vivons dans des sociétés et dans un monde où les pouvoirs économiques dominants restent ceux de la finance globalisée et des firmes multinationales. Tout ce que nous pouvons préconiser doit en tenir compte. En monétarisant, nous entrons dans leur domaine et nous ouvrons même la possibilité d’une financiarisation de la nature.
Leur stratégie actuelle vise à inventer des marchés pour des fonctions techniques remplies gratuitement par la nature ou « services écosystémiques ». Ces inventions sont d’une effroyable complexité technique. Tout concourt à ce que cela nous échappe. Il faut pourtant s’y mettre. Je m’appuie en partie dans ce qui suit sur le livre « La nature n’a pas de prix » publié par Attac et écrit par Geneviève Azam, Christophe Bonneuil et Maxime Combes.
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