Alors que le monde est suspendu aux résultats du vote du Congrès américain, qui doit se prononcer sur les frappes ciblées en Syrie, le débat sur l'opportunité d'une telle opération gagne la sphère intellectuelle. Si les "interventionnistes" comme André Glucksmann influencent encore les consciences, le scepticisme gagne une partie des penseurs contemporains, tels Edgar Morin, Tzvetan Todorov ou Edouard Luttwak, sensibles à la complexité de la situation syrienne et opposés à la solution militaire.
Lire la suite
_________________________________________________
_________________________________________________