Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mittal

  • Rue 89 - Benjamin Coriat, économiste atterré : « Mittal s’en est bien tiré »

    Déçu par l’abandon de l’idée d’une nationalisation, Benjamin Coriat reproche au gouvernement de céder à « toutes les demandes des lobbys patronaux ».

    Il n’y aura pas de nationalisation temporaire du site sidérurgique de Florange. L’annonce de Jean-Marc Ayrault vendredi a cassé le projet d’Arnaud Montebourg. Une nouvelle couleuvre pour le ministre du Redressement productif. A tel point qu’il était légitime de se demander s’il n’allait pas démissionner.

    Lire la suite
    _________________________________________________________________________________
    _________________________________________________________________________________

  • QAG : Montebourg nationalisation Mittal Florange

    Questions au gouvernement du 26/11/2012
    A. Montebourg sur Mittal Florange : proposition de nationalisation temporaire


    QAG : Montebourg nationalisation Mittal Florange par idees_reves

  • Telos - Faut-il nationaliser Mittal ? Elie Cohen

    29 novembre 2012

    La nationalisation d’une entreprise localisée sur le territoire national est parfaitement légale dès lors qu’une loi est votée et qu’une indemnisation est prévue. Le périmètre de l’activité nationalisée est facilité par l’existence d’une entité juridique contrôlant l’ensemble des activités du site de Florange. Le gouvernement peut donc soumettre au Parlement une loi et il aura la majorité nécessaire pour la faire adopter. Mais est-ce la bonne solution ? C’est toute la question aujourd’hui.

    La motivation de la nationalisation peut poser problème. Les arguments du gouvernement sur les engagements non tenus par Mittal en matière de préservation des sites et des effectifs, des règles de gouvernance ou du volume des investissements sont assez faibles. Car de deux choses l’une : ou Mittal n’a pas respecté des engagements contractuels et il est du devoir de l’État de l’y contraindre par voie de justice, ou il n’y a jamais eu d’engagements à valeur juridique et, dans ce cas, le gouvernement ne peut en tirer argument pour poursuivre et a fortiori nationaliser.

    Lire la suite
    _______________________________________________________________________________________
    _______________________________________________________________________________________