Cette note Gambetta de Christophe Ramaux explique le caractère fallacieux de l’insistance sur les 56% du PIB de dépenses publiques. Cela laisserait à penser qu’il ne resterait plus que 44 % pour le privé, alors que c’est complètement faux : si’on calcule la dépense privée comme on calcule la dépense publique, elle atteint environ 200 % du PIB.
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