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  • Rassemblement en hommage à Samuel Paty, en soutien aux enseignants, pour la liberté et contre la terreur.

    Samedi 17 octobre 

    Samuel Paty, enseignant, a été assassiné pour avoir montré des caricatures de Mahomet à sa classe lors d’un cours d’éducation civique sur la liberté d’expression. Il est une nouvelle victime du terrorisme islamiste. Notre intransigeance et notre détermination sont totales contre la barbarie fanatique qui voudrait nous imposer son ordre. Cette fois, à travers lui, c’est l’école républicaine, laïque et émancipatrice qui a été visée.

    L’horreur absolue de ce crime suppose une réaction d’unité de la nation. C’est pourquoi Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste, a formulé la demande au chef de l’Etat d’associer l’ensemble des Françaises et des Français à des obsèques nationales et que soit décrété un deuil national.

    Aujourd'hui, dimanche 18 octobre un rassemblement se tiendra à 15h place de la République à Paris. Olivier Faure y sera présent et appelle les élus et militants socialistes à prendre part à cette initiative, et celles qui se tiendront partout en France, en hommage à Samuel Paty et en soutien aux enseignant.e.s, à l’école premier maillon dans la transmission des valeurs de la République.

  • Libé - «Monsieur Paty, il était trop drôle, on voulait tous l'avoir»

    Samuel Paty, le professeur d’histoire-géo assassiné vendredi, était apparemment un as en blagues. Charlotte (1), 13 ans, raconte combien il pouvait faire rire, en classe. «Il était trop drôle. Par exemple, quand il voyait que l’on s’endormait un peu, il disait d’un coup "Kinder bueno" assez fort. Forcément, on se réveillait.» Et Samuel Paty reprenait son cours… D’autres fois, il criait «allez hop, tous sur les PC…. En fait, non, je blague!» Charlotte se souvient aussi d’un «truc» qui la faisait rire par-dessus tout : «Quand il passait dans les rangs derrière nous et disait "hum, il n’y a pas d’interrupteur, c’est bien ce que je pensais". Gros blanc à chaque fois, et toute la classe rigolait.» Samuel Paty, 47 ans, enseignait depuis plusieurs années dans ce collège calme, d’un quartier pavillonnaire de Conflans-Sainte-Honorine. Il faisait partie des trois profs chouchous du bahut, à en croire Charlotte, «on voulait tous l’avoir».

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