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Vidéo - Page 112

  • Héritiers de l'avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l'Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès. Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l'abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l'homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

  • La Grèce, archétype des aberrations du plan de relance européen [Olivier Passet]

    Sur le papier, le plan de relance européen est magnifique. C'est le cas d'école de la belle copie qui récite à la lettre ce qui peut mettre en pamoison les économistes de laboratoires. [...]

  • Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : Marie-Noëlle Lienemann

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Marie-Noëlle Lienemann, ancienne ministre, sénatrice, interrogée par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l'Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès. Marie-Noëlle Lienemann adhère au Parti socialiste en 1971. Conseillère municipale de Massy en 1977, élue conseillère générale en 1979, elle revient dans cet entretien avec Émeric Bréhier sur les nombreux et différents mandats qu'elle a successivement occupés par la suite. Elle décrypte sa trajectoire personnelle au sein du Parti socialiste, ses positionnements au sein des différents courants au fil des congrès internes, le secrétariat national à l'environnement occupé dans les années 1980. Députée européenne en 1984, elle revient longuement sur sa position face à la construction européenne et sur les rendez-vous manqués par les socialistes pour la réorienter.

  • Mondialisation : l'illusion du recentrage des chaînes de valeur [Olivier Passet]

    Quel effet aura la crise sanitaire sur les chaînes de valeur du monde ? Au cœur du cataclysme, les risques de rupture d'approvisionnement avaient mis en évidence la vulnérabilité des pays avancés à l'égard de leurs sous-traitants du grand large. Le débat s'est focalisé sur l'urgence de restaurer notre indépendance à l'égard des composants les plus sensibles, dans les domaines de la santé ou des puces notamment. [...]

  • Héritiers de l'avenir : Jean-Christophe Cambadélis

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Jean-Christophe Cambadélis, ancien député, ancien premier secrétaire du Parti socialiste, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès. Jean-Christophe Cambadélis évoque, dans cet entretien, son parcours politique. Entré en politique par l'extrême gauche après 1968, militant dans le syndicalisme étudiant, il rappelle le rôle majeur joué par la jeunesse dans l'élection du 10 mai 1981. La lutte contre l'extrême droite lui fait choisir de rejoindre les rangs du Parti socialiste au milieu des années 1980. Il revient sur les coulisses de la campagne de François Mitterrand de 1988, année lors de laquelle il devient député de Paris. Des Assises de la transformation sociale en 1994 à la Belle Alliance populaire en 2016 il a toujours œuvré pour que le Parti socialiste évolue et se transforme.

  • Johanna Rolland : "Notre meilleur pass sanitaire collectif sera la vaccination du plus grand nombre"

    Retrouvez notre invitée politique de ce mardi 18 mai 2021 : Johanna Rolland, Maire de Nantes, Présidente de Nantes Métropole et Présidente de France urbaine.

  • Olivier Faure : « La sécurité est un bien commun. »

    « La sécurité est un bien commun. Elle suppose non pas les surenchères démagogiques mais l’inébranlable détermination de la Nation », Olivier Faure lors de la séance de #QAG #DirectAN
  • Les entretiens du Printemps | Vincent Tiberj mardi 18 mai à 12h

    Nous vous donnons rendez-vous mardi 18 mai à 12h en direct sur Youtube pour un nouvel « Entretien du Printemps ». Isabelle This Saint-Jean reçoit Vincent Tiberj, professeur des universités en sociologie politique à Sciences Po Bordeaux, à l'occasion de la sortie de son ouvrage « Générations désenchantées ? Jeunesse et démocratie » (La Documentation Française).

  • Zap Parlementaire | Semaine du 10.05

    Pour voir ou revoir toutes les questions au gouvernement des socialistes au Parlement de cette semaine, regardez le Zap Parlementaire !

  • François Mitterrand et Anne Pingeot : un amour aux mille mots

    À la femme qu’il a aimée en secret pendant 34 ans, François Mitterrand a écrit plus de 1 200 lettres, parfois plusieurs par jour. Des poèmes, des armes de séduction massive, pour rire, s’émouvoir, partager les doutes et la conquête du pouvoir, s’enivrer de mots. Voici leur histoire, racontée par ces lettres, et par les mots de celle qui les a reçues, Anne Pingeot.