En chanson - Page 18
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HK & LES SALTIMBANKS - "On Lâche Rien"
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Joan Baez - Le Déserteur (Boris Vian) - Paris 2014
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MON DRAPEAU ROUGE / MOUSSU T E LEI JOVENTS
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Leonid et ses invité(e)s dans : La révolution d'octobre
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Les Canuts (Aristide Bruant)
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Dis quand traverseras-tu ? - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
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La butte rouge
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"The Internationale" conducted by Arturo Toscanini--BANNED by U.S. censors!
In 1944, to honor the Allied victory in Italy, legendary counductor Arturo Toscanini--a refugee from Fascisim in his home country--decided to conduct a performance of Verdi's "Hymn of the Nations". "Hymn" is a composition that Verdi orginally built around the national anthems of Britain, France, and Italy. In order to honor all four of the major Allies, Toscanini decided to add "The Star Spangled Banner" for the U.S. and "The Internationale" for the Soviet Union.
The music was performed by the NBC Symphony Orchestra, with the Westminister Choir and the great tenor Jan Peerce as soloist; conducted by Toscanini. It was filmed as a featurette to be shown in movie theaters, and was narrated by Burgess Meredith. In the early 50's, at the height of the McCarthyism, U.S. censors excised the portion of this performance that featured the "Internationale".
For years the sequence in the original featurette was considered forever lost. But recently a copy of this missing piece of film was rediscovered, and now this rousing rendition of the Internationale--together with chorale and orchestra under the direction of a great conductor--can be enjoyed again.
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Dis quand traverseras-tu ? - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
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Gauvain Sers - Les oubliés
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Un groupe de rap défie la junte militaire en Thaïlande
Dans son clip, publié sur Youtube, le groupe Rap Against Dictatorship critique ouvertement la junte militaire thaïlandaise au pouvoir depuis un coup d’Etat en 2014. Corruption, népotisme, manque de transparence, suppression de la liberté d’expression, privilèges accordés aux plus riches… les rappeurs évoquent les sujets qui font mal.
Ce genre de critique du pouvoir est rare dans le pays. En Thaïlande, porter atteinte à l’image du pays est, en effet, puni de prison au nom de la « stabilité nationale ». Ce clip reflète le ras-le-bol de la population à l’égard des généraux et de leurs pratiques liberticides. La vidéo a déjà été vue plus de 22 millions de fois en une semaine. La police a d’abord menacé le groupe de rap et ceux qui osaient partager le clip.
Mais face à la popularité de la chanson, les militaires n’ont pu empêcher sa diffusion. En s’affichant tolérants, ils veulent éviter de se mettre à dos une partie de leur futur électorat. En effet, des élections libres doivent se tenir en Thaïlande en février 2019. L’armée compte s’y présenter comme un parti politique légitime. C’est en partie pour ça qu’ils laissent les rappeurs s’exprimer. Malgré les élections à venir, la Constitution devrait permettre à l’armée de continuer à garder le pouvoir directement ou indirectement.